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Sahara Occidental occupé: Le ministre des Finances de l’Afrique du sud appelle à prendre les armes contre le Maroc

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  • #16
    Envoyé par mehdi1111
    Hagrouna, Hagrouna !
    Tindouf and Bechar always Algerian cities + Tifariti, Mehaires, Bir tirrissit, Mijek, Amgala, Bir lehlou, Dougaj,...
    ---------------
    Un territoire a figuig occupé par l'Algerie depuis la guerre des sables


    H2 en 1963

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    • #17
      Le traumatisme post-appartheid a fait des ravages dans l'esprit des politicards de l'anc.
      Ils se croiraient les nouveaux seigneurs de l'Afrique, ils ont oublié que sans les descendants des européennes et les relations et connexions économiques et industrielles de ceux-ci avec leurs lieu d'origine l'Afrique du Sud serait aussi sous développée que le reste des pays du continent, sinon un des pire.
      Des ivrognes complexés polygames voilà ce qu'ils sont.
      Dernière modification par Anzoul, 15 octobre 2020, 09h46.

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      • #18
        n oubliez pas que l afrique du sud a une tres mauvaise reputation en afrique,les attaques xenophobes contre les etrangers principalement africains ,ont gravement terni l image de l afrique du sud en afrique et dans le monde.

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        • #19
          "allez lire ce que les sud africains commentent sur le tweet en question..."

          Mentionnez le lien.

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          • #20
            L'armée de libération du Sahara Occidental ne devrait pas recontrer de gros problèmes en cas de conflit avec les FARces.

            Il s'agit d'une guérrilla comme fut l'armée vietnamienne ou algérient qui avaient vaincu la France et les USA et la France pour l'ANP.

            - Le Maroc a perdu un bataillon et quatre cents tonnes d’armes à la bataille de Mahbes

            Le dimanche 14 octobre, à 6 heures du matin, les 1 200 hommes qui composent le quatorzième bataillon rim d’infanterie des forces armées marocaines, stationnés à Mahbes depuis quatre ans, sont secoués dans leur sommeil, ou à l’intérieur des tranchées, par une importante salve de coups de feu de divers calibres. Avec sa connaissance proverbiale du terrain, le Polisario a réussi à se rapprocher de ses Land Rovers par le champ de tir. Les défenseurs de première ligne seront saisis dans quelques minutes.


            Leurs corps, criblés, certains en décomposition avancée, se trouvent toujours au même endroit où ils sont tombés, neuf jours plus tard. Un petit groupe de journalistes, composé de correspondants de presse occidentaux accrédités dans la capitale algérienne, a pu marcher pendant plusieurs heures à travers la ville dévastée, d’où émerge seul l’ancien fort de la Troisième, presque intact. Dans cet endroit, ils ont essayé de se réfugier les troupes du bataillon marocain qui ont vu leur évasion entravée. Les combattants sahraouis nettoieront complètement toutes les lignes de défense en six heures; quatre heures de plus suffiront à mettre fin à toute résistance sur le périmètre de Mahbes. La journée du 15 sera consacrée au suivi des environs à la recherche de ceux qui ont réussi à s’échapper. Certains militaires marocains viendront se promener dans le désert à environ soixante-dix kilomètres avant d’être capturés, et on peut supposer que plusieurs d’entre eux se rendront en sécurité dans la garnison de Zag.

            Le dimanche 14 octobre, à 6 heures du matin, les 1 200 hommes qui composent le quatorzième bataillon rim d’infanterie des forces armées marocaines, stationnés à Mahbes depuis quatre ans, sont secoués dans leur sommeil, ou à l’intérieur des tranchées, par une importante salve de coups de feu de divers calibres. Avec sa connaissance proverbiale du terrain, le Polisario a réussi à se rapprocher de ses Land Rovers par le champ de tir. Les défenseurs de première ligne seront saisis dans quelques minutes.

            Drogues, homosexualité et déserations

            L’un de ces documents, datés de Rabat et envoyé par l’état-major général, met en garde la garnison contre l’augmentation du trafic et de l’usage de drogue parmi les forces marocaines basées au Sahara occidental. En dehors de cela est une annotation qui se lit comme suit: « Comme l’une des affaires les plus criminelles, nous citons celle du caporal Mohamed Bukhaari, qui a été découvert en photographiant un groupe d’hommes militaires échangeant kif avec certains membres de la 2ème RIM ... ». Diverses notes de service concernent les désertions. L’un d’eux, signé à Mahbes le 27 mars 1979 par le sergent Ali Hadir, fait référence à la " disparition " du soldat de seconde classe El Jonssi..., " qui a quitté son poste de gardien du dépôt de munitions « .

            L’un des documents capturés par le Polisario est la copie d’un message, reçu à Mahbes le 17 juillet 1979, envoyé par l’état-major général, particulièrement significatif de l’humeur de la haute officialité à la veille du sommet africain de Monrovia. Le texte se lit comme suit : « Nous savons que, profitant de la présence de Sa Majesté le Roi au sommet de l’OUA, les rebelles ont décidé d’intensifier leurs attaques contre des localités qui, connues, pourraient susciter l’intérêt international. Les cibles spécialement assignées sont Tan-Tan, Tarfaya, Laayun et tous les endroits au nord d’Uarkziz. »

            D’après les descriptions faites des circonstances de l’attaque, par une demi-centaine de prisonniers marocains soumis avant la visite de Mahbes, il est possible de déduire que le Polisario avait une concentration significative de forces, peut-être de l’ordre de 2 000 à 3 000 hommes.

            Armes puissantes

            Mais quand il s’agit d’armes, les prisonniers eux-mêmes reconnaissent que la garnison avait à revendre et que la garnison était supérieure à celle utilisée par les assaillants. La place avait un escadron de chars blindés, composé de huit AMX (seulement quatre d’entre eux étaient dans la ville au moment de l’attaque), un escadron d’artillerie lourde et un groupe de soutien spécial composé de batteries de fusées terre-sol des types TOW, fabriqués par la société américaine Hughes, et de fabrication soviétique SAM-9.

            Le Polisario a voulu démontrer, en attaquant et en occupant Mahbes, l’inefficacité de l’aviation marocaine, puisque la terre sur laquelle se trouve la garnison - totalement plate - facilite l’intervention éventuelle de l’armée de l’air. Mais ni le Mirage ni les F-5 n’ont pu changer le cours des événements. Mahbes est tombé en l’espace d’une seule journée, bien que des combats sporadiques se sont poursuivis, dans certains secteurs, pendant plus de 36 heures. Le colonel Chamsseddin n’était pas sur les lieux; son adjoint, le capitaine Mohamed Sakka, convaincu qu’il n’obtiendrait pas les renforts qu’il avait demandé à Zag, s’enfuirait, avec d’autres officiers, dans l’un des chars blindés.

            Plus de quatre cents tonnes d’armements divers, dont, complètement intacts, un missile TOW américain et son système de tir complet, ont été récupérés par le Polisario. Mahbes avait une valeur symbolique pour les Sahraouis. Dans cette ville, il a non seulement raisonné, dans le passé, un grand détachement des rzas nomades,mais il a été installé l’embryon de la première administration sahraouie et le Conseil national sahraoui a été constitué, composé d’une majorité de membres de l’ancien Yolka. Les forces marocaines ont achevé à Mahbes l’occupation de tous Les Suivre les Hamra-.

            https://elpais.com/diario/1979/10/28...19_850215.html

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            • #21
              Surprenant que la dictature marocaine n'ait pas rappeler son ambassadeur de Prétoria?

              - TOURNÉE AFRICAINE: LE ROI MOHAMMED VI BRISE L’AXE ALGER-ABUJA-PRETORIA
              (...).
              La dernière étape de la tournée africaine du roi Mohammed VI n’est pas passée inaperçue. Sa visite au Nigeria a particulièrement attiré l’attention des observateurs, notamment celle des ennemis de l’intégrité territoriale du royaume. C’est ainsi que le Maroc et le Nigeria ont annoncé officiellement, samedi 3 décembre, la signature d’un accord portant sur la réalisation d’un gazoduc pour transporter le gaz nigérian vers le Maroc, accord qui revêt une dimension régionale et internationale, rapporte le quotidien Akhbar Al Yaoum dans son édition du lundi 5 décembre.

              Le projet, une fois achevé, pourrait non seulement changer la face de l’Afrique de l’Ouest, mais également révolutionner les relations entre le Maroc et le Nigeria. Cet Etat a toujours été au centre d’un axe hostile au Maroc reliant l’Algérie à l’Afrique du Sud. Le Nigeria est également l’un des rares pays qui reconnaissent encore la fantomatique RASD et abritent même l’une de ses ambassades.

              Le 360.ma

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