Quelques questions simples pour les « souteneurs » de Bouteflika et du 4è mandat.
Nous n’allons pas trop demander, notre président candidat est malade et ne peut pas nous parler directement, c’est un luxe qu’il ne peut pas nous accorder malgré ses capacités providentielles.
Néanmoins puisque il est capable d’assumer un nouveau mandat, et pour nous rassurer, nous, les algériens très nombreux qui le réclamons, pourquoi ne pas nous présenter un certificat médical le concernant, délivré par trois médecins spécialistes choisis au hasard.
Puisque l’on jure publiquement que c’est le peuple qui le réclame, pourquoi ne pas lancer un sondage d’opinion par un organisme spécialisé, pour savoir le pourcentage réel de ceux qui lui font confiance.
Un tel sondage prouvera aussi que les élections auront été honnêtes, et démentir les accusations éventuelles de fraude.
Enfin, puisque l’on nous répète que c’est le bilan de gestion du président sortant qui lui sert de campagne électorale, on aimerait avoir l’avis de spécialistes indépendants sur les bons et les mauvais résultats de cette gestion sur les plans économique, financier, politique et social.
Il semblerait, selon ses détracteurs, que si l’argent mal dépensé du Pays ( projets excessifs, surévalués ou inutiles, argent détourné, ristournes inévitables sur les contrats et gaspillages) avait été convenablement investi dans des projets plus utiles et rentables, l’Algérie aurait doublé pratiquement ses revenus avec sa production hors hydrocarbures.
Cette affirmation est capitale car c’est l’avenir de nos jeunes et de nos enfants qui est compromis, peut-être définitivement, selon le stade d’épuisement de notre savoir-faire et de nos réserves de gaz et de pétrole.
Nous n’allons pas trop demander, notre président candidat est malade et ne peut pas nous parler directement, c’est un luxe qu’il ne peut pas nous accorder malgré ses capacités providentielles.
Néanmoins puisque il est capable d’assumer un nouveau mandat, et pour nous rassurer, nous, les algériens très nombreux qui le réclamons, pourquoi ne pas nous présenter un certificat médical le concernant, délivré par trois médecins spécialistes choisis au hasard.
Puisque l’on jure publiquement que c’est le peuple qui le réclame, pourquoi ne pas lancer un sondage d’opinion par un organisme spécialisé, pour savoir le pourcentage réel de ceux qui lui font confiance.
Un tel sondage prouvera aussi que les élections auront été honnêtes, et démentir les accusations éventuelles de fraude.
Enfin, puisque l’on nous répète que c’est le bilan de gestion du président sortant qui lui sert de campagne électorale, on aimerait avoir l’avis de spécialistes indépendants sur les bons et les mauvais résultats de cette gestion sur les plans économique, financier, politique et social.
Il semblerait, selon ses détracteurs, que si l’argent mal dépensé du Pays ( projets excessifs, surévalués ou inutiles, argent détourné, ristournes inévitables sur les contrats et gaspillages) avait été convenablement investi dans des projets plus utiles et rentables, l’Algérie aurait doublé pratiquement ses revenus avec sa production hors hydrocarbures.
Cette affirmation est capitale car c’est l’avenir de nos jeunes et de nos enfants qui est compromis, peut-être définitivement, selon le stade d’épuisement de notre savoir-faire et de nos réserves de gaz et de pétrole.
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