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Ingérences du Parlement européen : la main de la France

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  • #16
    La vidéo en question de Arena en copain copine avec Mediouni, au nom des deals gaziers passés.

    Dernière modification par ott, 26 novembre 2019, 05h45.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #17
      On va se marrer dans pas longtemps, un super tour de girouette... :smily50:

      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...32#post6500032
      Othmane BENZAGHOU

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      • #18
        Bonjour Ott, quelqu'un a-t-il intérêt à sortir la "farce secrète" ?

        Le suspens est insoutenable.

        L'étoile de la mort est prête, c'est dark vador qui me l'a dit.

        Des escadrilles de mouches vont redécoller et envahir à nouveau les RS.

        Sur tweeter, il y a beaucoup de comptes créés en novembre 2019.

        Très agressifs, en quantité au détriment de la qualité.....
        “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
        Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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        • #19
          Saha Chif,

          Le processus enclenché se déroule, cependant, ils vont comprendre que le serpent se mord la queue et qu'ils sont tombés dans leur propre piège... un peu d'épices a aidé le plat à mijoter...

          Il est fin prêt...

          Un échantillon de la macchina politique, qui a remplacé le machiavélisme politique du teigneux d'avant... digne de Cocteau et sa machine infernale, ou de Tarentino et son Kill Bill ou les 8 salopards ... ce que j'ai appelé en novembre 2018, le réflexe pavlovien d'un régime en fin de vie...oeilfermé


          LE MINISTRE DE L’ÉNERGIE HIER AU CONSEIL DE LA NATION
          “Les contrats gaziers post-2020 doivent être réadaptés”


          Liberté le 25/11/2019 - Le Ministre de l’Energie, Monsieur Mohamed ARKAB © D. R.


          Il est essentiel, pour Sonatrach, d’assurer que ses exportations gazières répondent aux évolutions futures du marché gazier, notamment dans son versant européen, avec adaptabilité et résilience. Cela ne semble toutefois pas possible sans une modification de l’aspect juridique de l’exportation. C’est ce dont a parlé, hier, le ministre de l’Énergie, Mohamed Arkab, à l’occasion d’une séance plénière consacrée à la présentation et au débat du projet de loi régissant les activités hydrocarbures au Conseil de la nation.

          Mohamed Arkab a déclaré que “les contrats d’exportation du gaz pour la période post-2020 devraient être rétablis dans un cadre juridique adapté permettant d’améliorer les conditions d’investissement du point de vue juridique, institutionnel et fiscal”. Sonatrach a commencé à intégrer les changements survenus sur le marché européen, son marché traditionnel, en s’inscrivant dans une nouvelle stratégie d’exportation gazière.

          Elle sait que la concurrence y est plus rude que jamais, que les places coûtent cher, surtout que le marché a accueilli de nouveaux venus, comme les États-Unis, l’Iran, la Chine ou encore l’Australie. Évidemment, les gros volumes de gaz en provenance de ces pays vont certainement exercer une forte pression sur les exportations algériennes.

          La production de gaz aux États-Unis a bondi de 11,5% en 2018, son taux de croissance le plus élevé depuis 1951, faisant du pays le plus gros contributeur à la croissance de la production de gaz dans le monde. Ainsi, l’équation offre-demande est une opération complexe sur ce marché. De fait, il restait peu ou pas de place pour les contrats à long terme dans ce contexte. Du reste, Sonatrach a tranché la question qu’il fallait régler : désormais, les nouveaux contrats gaziers ne porteront plus sur le long terme (20 ou 30 ans).

          La compagnie nationale a commencé à renégocier des contrats à long terme avec les clients européens, car la plupart des contrats expirent d’ici à 2021. Elle est parvenue à en renouveler une série. Ainsi, en plus des accords concernant le marché italien (des contrats signés avec ENI, Enel et Edison), Sonatrach a également renouvelé les accords portant sur l’approvisionnement en gaz naturel des marchés portugais, espagnol et turc.

          Ces contrats, dont certains sont établis sur une durée de 10 ans, ont été signés avec les compagnies Naturgy (Espagne), Galp (Portugal) et Botas (Turquie). L’Europe, en théorie seulement, tient à ce que le commerce de gaz mutuellement bénéfique se poursuive et se développe davantage.

          Le Vieux Continent met souvent en avant le fait que l’Algérie est un fournisseur majeur et fiable et le demeurera à moyen et long termes, et que l’Europe est le principal importateur de gaz algérien et le restera dans les prochaines années. Le problème est que, côté algérien, la compagnie nationale des hydrocarbures rencontre actuellement des difficultés à livrer du gaz naturel à ses clients, une situation que certains attribuent à une lourde bureaucratie, au manque d’expertise étrangère dans la chaîne des valeurs et au déclin de la production.


          Youcef Salami
          Dernière modification par ott, 26 novembre 2019, 09h11.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #20
            -BENGNINA a Tiré la meilleur blague sur le sujet ,


            -Coluche avait prédis ce genre de citations de politiciens comiques


            "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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            • #21
              Le remplaçant de Nekkaz qui sautille aussi bien que son autre amuseur... la carnaval va bientôt finir...
              Othmane BENZAGHOU

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              • #22
                Algerie 1 qui semble plutôt satisfaite de la déclaration du MAE français, comme disait l'autre clown, la France non officielle...

                Jean Yves le Drian : c’est aux algériens de décider de leur avenir

                Algerie 1 - Par Djamil Mesrer| 26 Novembre 2019 | 13:21

                Jean-Yves Le Drian, ministre français des Affaires étrangères, s’est exprimé, de nouveau, sur la situation politique en Algérie, à quelques jours de l’élection présidentielle pour dire que la solution à la crise est entre les mains des algériens.

                Pour Jean Yves le Drian, le souhait de la France « c’est que les Algériens trouvent ensemble les chemins d’une transition démocratique », dit-il ajoutant que . « C’est à eux seuls qu’il revient de décider de leur avenir »,

                La chef de la diplomatie française affirme dans ce cadre que son pays continuera « de se tenir aux côtés des Algériennes et des Algériens » tout en respectant la souveraineté du pays

                « J’ai eu plusieurs occasions de le dire à mon homologue algérien. La solution, c’est le dialogue démocratique, dans lequel chacun puisse exprimer sans crainte ses opinions. Et que les libertés d’expression, de religion, de la presse et de manifestation soient pleinement respectées. Quant aux modalités de la transition, il appartient aux Algériens qui font preuve d’une maturité exemplaire, de les définir », a conclu JEAN Yves le Drian.

                Les propos du chef de la diplomatie française interviennent dans un contexte de crispation entre l’Algérie et la France, suite aux propos de l’Eurodéputé Raphaël Gluksmann qui est derrière l’initiative du Parlement européen d’inscrire à son agenda la situation politique en Algérie.

                Une initiative qui a provoqué à juste tire un tollé en Algérie, en cela qu’elle est considérée , comme la quasi totalité de la classe politique nationale comme une ingérence dans les affaires internes du pays
                Othmane BENZAGHOU

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                • #23
                  ....erreur

                  désole erreur
                  Dernière modification par katiaret, 26 novembre 2019, 21h13.
                  dz(0000/1111)dz

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