Il semble bien admis depuis quelques temps que «le bébé est une personne». Une personne peut-elle être battue sans se sentir humiliée, abaissée? Bon, d’accord, disent les parents, alors on leur laisse tout faire? Bien sûr que non, sinon la vie de parents devient vite infernale.
Qu’est-ce qui peut inciter fortement un enfant à respecter les règles ? Sans doute le modèle de comportement qu’il reçoit de l’entourage dans lequel il est inséré. Mais en cas de transgression, que faire ?
L’exemple : L’enfant apprend énormément par imitation. Il va reproduire vos comportements comme un petit singe, ravi de voir, lorsque vous répétez ce comportement, que c’est bien ce qu’il a copié. Vous voulez que votre enfant soit poli, soyez polis entre adultes et avec lui, en y mettant une certaine ostentation.
La réparation : La réparation tient compte du dommage subi par la victime. C’est elle qui négocie avec le transgresseur la mesure de réparation raisonnable. Ce qui permet au responsable d’un acte répréhensible de se réinsérer dans le cercle des règles en s’étant fait pardonner par la victime. Les victimes diverses (le père, la grand-mère, le copain, la voisine…), dont les exigences seront variées, demanderont directement réparation à l’enfant du préjudice qui leur a été porté. Qu’est-ce qui peut inciter fortement un enfant à respecter les règles, les lois de la famille et de la société dans lesquelles il vit? Sans doute le modèle de comportement qu’il reçoit de l’entourage dans lequel il est inséré. Mais en cas de transgression, quelles possibilités s’offrent aux responsables qui ont la charge de cet enfant?
La punition corporelle : Elle est supprimée au niveau de l’État (armée, prison), puis de l’école, il est conseillé de l’abolir au niveau de la famille. Il semble qu’elle est nocive et ne prévient pas les actes délictueux puisque ceux-ci sont plus nombreux chez les individus qui ont été élevés avec ce type de punition.
La punition non corporelle : Elle fait entrer dans un système punition - récompenses, dit «de la carotte et du bâton», qui a beaucoup d’adeptes. Mais la punition (vas dans ta chambre, tu seras privé de télé, tu n’iras pas chez ton copain demain, je te diminuerai ton argent de poche ce mois-ci…) établit un rapport de force entre le parent et l’enfant, qui, humilié, n’a aucune possibilité d’agir pour sa réhabilitation. Il n’y a aucun rapport entre le délit commis (tu as tapé ton petit frère) et la punition (tu seras privé de télé).
Quel métier compliqué que d'être parent? Heureusement qu'on ne réfléchi pas à tout ça. Sinon ont finirai par "refuser" de faire des enfants? Faut 'il former les adultes au "métier" de parents?
Je complique? Non c'est la réalité qui est complexe.
Qu’est-ce qui peut inciter fortement un enfant à respecter les règles ? Sans doute le modèle de comportement qu’il reçoit de l’entourage dans lequel il est inséré. Mais en cas de transgression, que faire ?
L’exemple : L’enfant apprend énormément par imitation. Il va reproduire vos comportements comme un petit singe, ravi de voir, lorsque vous répétez ce comportement, que c’est bien ce qu’il a copié. Vous voulez que votre enfant soit poli, soyez polis entre adultes et avec lui, en y mettant une certaine ostentation.
La réparation : La réparation tient compte du dommage subi par la victime. C’est elle qui négocie avec le transgresseur la mesure de réparation raisonnable. Ce qui permet au responsable d’un acte répréhensible de se réinsérer dans le cercle des règles en s’étant fait pardonner par la victime. Les victimes diverses (le père, la grand-mère, le copain, la voisine…), dont les exigences seront variées, demanderont directement réparation à l’enfant du préjudice qui leur a été porté. Qu’est-ce qui peut inciter fortement un enfant à respecter les règles, les lois de la famille et de la société dans lesquelles il vit? Sans doute le modèle de comportement qu’il reçoit de l’entourage dans lequel il est inséré. Mais en cas de transgression, quelles possibilités s’offrent aux responsables qui ont la charge de cet enfant?
La punition corporelle : Elle est supprimée au niveau de l’État (armée, prison), puis de l’école, il est conseillé de l’abolir au niveau de la famille. Il semble qu’elle est nocive et ne prévient pas les actes délictueux puisque ceux-ci sont plus nombreux chez les individus qui ont été élevés avec ce type de punition.
La punition non corporelle : Elle fait entrer dans un système punition - récompenses, dit «de la carotte et du bâton», qui a beaucoup d’adeptes. Mais la punition (vas dans ta chambre, tu seras privé de télé, tu n’iras pas chez ton copain demain, je te diminuerai ton argent de poche ce mois-ci…) établit un rapport de force entre le parent et l’enfant, qui, humilié, n’a aucune possibilité d’agir pour sa réhabilitation. Il n’y a aucun rapport entre le délit commis (tu as tapé ton petit frère) et la punition (tu seras privé de télé).
Quel métier compliqué que d'être parent? Heureusement qu'on ne réfléchi pas à tout ça. Sinon ont finirai par "refuser" de faire des enfants? Faut 'il former les adultes au "métier" de parents?
Je complique? Non c'est la réalité qui est complexe.
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