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Les marchands de bébés !

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  • Les marchands de bébés !

    Bonjour,

    Le commerce de nouveau-nés, un phénomène «un Vampire» inquiétant qui se développe…et dont l’envahissement dépasse les frontières d’un seul pays.. . les têtes de réseau repèrent «des jeunes femmes enceintes, de condition très modeste», les influent pour abandonner leurs bébés, pour que ces derniers soient vendus ensuite (des fois même, avant l’accouchement) a des couples «5 000 euros s'il s'agit d'une fille, 6 000 euros pour un garçon», alors que les mères biologiques ne touchent que 400, 800, 1 000 ou 2 000 euros.

    Un réseau de marchands de bébés démanté.
    Une enquête de plus d'un an dans le milieu tsigane a permis de récupérer sept enfants vendus.
    Le commerce de nouveau-nés, un phénomène «un Vampire» inquiétant qui se développe…et dont l’envahissement dépasse les frontières d’un seul pays.. . les têtes de réseau repèrent «des jeunes femmes enceintes, de condition très modeste», les influent pour abandonner leurs bébés, pour que ces derniers soient vendus ensuite (des fois même, avant l’accouchement) a des couples «5 000 euros s'il s'agit d'une fille, 6 000 euros pour un garçon», alors que les mères biologiques ne touchent que 400, 800, 1 000 ou 2 000 euros.
    Sept bébés vendus par des Bulgares à des couples «adoptifs» ont été retrouvés en bonne santé hier matin en région parisienne et en province par la police judiciaire et les gendarmes qui enquêtent depuis plus d'un an sur ce trafic en milieu tsigane. Les quatorze pères et mères de substitution qui ont acheté ces nourrissons voilà dix-huit mois ont été placés en garde à vue. Ces acquéreurs de nouveau-nés, tous issus de la communauté du voyage, ont dû payer «5 000 euros s'il s'agit d'une fille, 6 000 euros pour un garçon», selon un enquêteur. Les mères biologiques, «souvent prostituées et de condition très modeste», ont touché 400, 800, 1 000 ou 2 000 euros chacune pour livrer leurs bébés à une famille tsigane, en partie sédentarisée en Seine-Saint-Denis et originaire également des bords de la mer Noire.

    Sur le même sujet
    · Un commerce qui se développe

    «Chef de réseau». C'est là-bas, non loin de la frontière turque, que les membres de cette famille «chef de réseau» prospectent. Ils repèrent «des jeunes femmes enceintes, tsiganes elles aussi, de condition très modeste», selon un enquêteur, avant de les transférer en France. Les futures mères qui marchent dans la combine se présentent au dernier moment aux urgences d'un hôpital pour accoucher. Soit sous l'identité de la mère «adoptive». Soit sous leur vrai nom, puis l'acquéreur part aussitôt en mairie reconnaître l'enfant. «Par le bouche à oreille au sein de la communauté des gens du voyage en France et en Italie», les marchands de bébés cherchent ainsi à les vendre à l'avance à des gens du voyage.

    S'agit-il de couples stériles ? Ont-ils tenté les procédures légales d'adoption ? Les enquêteurs qui interrogeaient hier sept couples d'acheteurs sont perplexes. Ils croient plutôt que les futurs parents ont trouvé dans le réseau criminel «une possibilité plus pratique» d'obtenir un bébé : «Le plus dur est de savoir pourquoi. Certains ont déjà un ou plusieurs enfants. Parfois ils n'ont que des filles, et ils achètent un garçon.» En tout cas, ces gens du voyage interpellés dans des camps en Seine-Saint-Denis ­ mais aussi dans les régions de Lille, Marseille et du Centre ­, ont bien traité les bébés. L'Office central pour la répression du trafic des êtres humains (OCRTEH) aussi, qui a acheté des couches, du lait et de la nourriture pour les petits, ramenés avec leurs parents dans ses locaux à Nanterre. «On les chouchoute, on les promène.» Le temps que les juges des enfants décident de leur sort : soit leur placement, avec ou sans droit de visite pour les parents adoptifs, soit leur en confier la garde avec une obligation de suivi éducatif. Pour le parquet de Bobigny, il s'agit de «trouver des solutions conformes à l'intérêt de l'enfant», car en dehors de la fraude à la filiation imputable aux adultes, «une séparation à cet âge-là peut être dommageable».

    Usurpateur. Ce trafic de bébés venus des Balkans a été mis au jour le 7 juillet 2004 à la suite d'une plainte de Maya, Bulgare de 23 ans, pour l'enlèvement de son nourrisson. Celle-ci a raconté que des compatriotes lui ont proposé, avant l'accouchement, d'acheter son bébé. Face à son refus, ils ont kidnappé son enfant. Intrigués par le fait qu'elle ait attendu deux mois pour signaler le rapt, les enquêteurs envisagent plutôt l'hypothèse d'une transaction ratée. Ils ont exploré les registres d'état civil de la mairie du XIXe arrondissement de Paris. Et découvert que le bébé disparu a été reconnu par un homme «au nom portugais». Ils localisent cet usurpateur à Montreuil (Seine-Saint-Denis) et le placent sur écoute. Ils repèrent une autre jeune Bulgare enceinte, Ginka, qui habite dans un squat au Blanc-Mesnil. En observant le réseau qui s'organise autour d'elle, ils interceptent des conversations téléphoniques entre la future mère, les marchands de bébés et les acheteurs potentiels. Ils interpellent tout le monde le 20 juillet 2004, à la sortie de l'hôpital Robert-Debré à Paris, où la jeune mère bulgare vient d'accoucher. Ils apprennent que le nourrisson, Johnny, a été acheté par un couple de nomades alors installé dans un camp à Chartres (Eure-et-Loir).

    Ramifications. Neuf hommes et femmes ont été mis en examen, certains écroués. L'OCRTEH a continué à enquêter avec les policiers bulgares, et à questionner les mères biologiques, «toutes dans la misère», sur les bords de la mer Noire. Puis ont trouvé des ramifications en Italie. Trois membres de la même famille tsigane qui continuaient le commerce de bébés ont été arrêtés l'été dernier. Dans ce dossier d'instruction à Bobigny, les acheteurs sont poursuivis pour «atteinte à l'état civil» et «provocation à l'abandon d'enfant», les intermédiaires pour «entremise lucrative commise à titre habituel pour abandon et adoption», les têtes de réseau pour «traite des êtres humains en bande organisée», un crime passible des assises. Les enquêteurs se sont attaqués hier aux derniers maillons de la chaîne ­ sept couples de parents «adoptifs» ­ mais le compte n'y est pas. Car «une vingtaine de bébés bulgares» ont été concernés
    . http://www.liberation.fr/page.php?Article=332044

  • #2
    thirga

    bonjour,
    je pense que c'est la faute aux agences d'adoption car ils sont très strictes et très exigents
    s'ils ont la chance d'êrte sur une liste d'attente, ce'st un soulagement mais encore il faut attendre plusieurs années
    certains ont recous à des agnces qui leur facilitent l'adoption
    deuxièmement, la pauvreté ets un profit pour certains, ils exploitent à bas prix pour s'enrichir
    les femmes tziganes ou quelque soit les femmes issues de famile pauvres vendent leur enfant
    je ne pense aps que l'on puisse associer les bébés à la pauvreté car mêm chez les musulmans, je ne pense pas (c'est mon point de vue) que els femmes vendent leurs bébés pour trois centimes
    peut-être qu'elles s'en débarrasseraient pour éviter des problèmes (dans le cas où bébé hors mariage)
    je pense que ces femmes pauvres n'ont aucune morale ou insticnt maternel car certains parents, meêm pauvres feraient tout pour leurs enfants
    " Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. "
    Proverbe Chinois

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    • #3
      Bonjour Thirga, Zlabiya,

      En entendant ce matin à la radio cette info, j'étais heureuse et dégoûtée. Heureuse de voir un réseau tombé et dégoûté par ce trafic. Je ne pourrais jamais comprendre le fait de vendre et de se séparer d'un enfant que l'on a porté. De même un enfant ou un être humain n'est pas une marchandise et pourtant c'est ainsi qu'il devient objet et non pas sujet.
      C'est révoltant et écoeurant et il faut pénaliser et réprimer sévèrement aussi bien le "vendeur" que "l'acheteur". Pour qu'un trafic subsiste c'est toujours la loi de l'offre et de la demande et les niveaux de responsabilités sont identiques. Il n’y a pas de clémence à avoir quand on marchande ainsi des innocents.
      Je partage l'avis de zlabiya quand à la pauvreté. Elle n'excuse en rien ce comportement et ce n'est pas un motif valable. On peut être pauvre et digne. Là c'est loin d'être le cas et ce n'est que par profit et appât du gain.

      Merci Thirga d'en avoir parlé.

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      • #4
        Bonjour thirga, Morjane, zlabiya
        Je pense que les familles adoptives contribuent pleinement au développement de cette pratique..

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        • #5
          Bonjour,

          @ Zlabiya et Morjane,
          Que vous soyez choqué qu'une mère puisse abandonner son bébé est louable et compréhensible. Cependant, dans ce cas précis, songez déjà que dans les pays en question, les protections sociales pour les mères célibataires ne sont sûrement pas les mêmes qu'en France aujourd'hui. Si ici une femme seule et sans ou quasi sans ressource peuvent bénéficier d'aides qui lui permettent de vivre (certaines d'ailleurs font des enfants pour pouvoir bénéficier d'un logement HLM qu'elles n'obtiendraient pas seules...), ce n'est surement pas le cas dans les Balkans...

          Si vous étiez une jeune mère seule et sans ressources suffisante (logement, travail, famille, éducation), préféreriez vous élever un enfant auquel vous ne pourrez peut-être pas donner d'éducation ou lui donner une chance, par le biais de l'adoption, de s'assurer un soutien familial et l'accès à une bonne (meillleure ?)éducation... ?
          Pouvez-vous imaginer que pour une jeune bulgare modeste, rien que de vivre en France représente une chance supplémentaire dans la vie et qu'elles sacrifent leur instinct et leur amour maternel pour donner à leur enfant une chance qu'elles mêmes n'ont pas ? J'occulte délibérement la question de savoir si la réalité est aussi idyllique qu'elles le croient ou pas...

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          • #6
            @virginie,
            Envoyé par virginie
            Les mères biologiques, «souvent prostituées et de condition très modeste», ont touché 400, 800, 1 000 ou 2 000 euros chacune pour livrer leurs bébés à une famille tsigane, en partie sédentarisée en Seine-Saint-Denis et originaire également des bords de la mer Noire
            Là tu parles d'abandon d'enfant en vue d'adoption mais dans le cas présent il s'agit de vente qui se sont déroulés en France et celà n'a rien avoir avec un abandon c'est un transaction commerciale à des fins lucratives et un enfant n'est pas une marchandise que l'on doit monnayer que l'on soit ou pas la mère.

            Envoyé par virginie
            Si vous étiez une jeune mère seule et sans ressources suffisante (logement, travail, famille, éducation), préféreriez vous élever un enfant auquel vous ne pourrez peut-être pas donner d'éducation ou lui donner une chance, par le biais de l'adoption, de s'assurer un soutien familial et l'accès à une bonne (meillleure ?)éducation... ?
            Et pour cette question, oui je ne pourrai pas l'abandonner et je préférerai l'élèver meme avec le peu de ressources dont je disposerai en faisant tout pour que la situation s'améliore mais certainement pas le vendre ou l'abandonner.

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            • #7
              ... c'est encore tres soft tout ca ...

              un etre humain n'est pas une chose, et ca ne se vend pas, aucun humain a une valeure marchande dans ce monde, surtout pas un nourisson, a part la valeure de bonheur illimité qu'il apporte ... mais malgres tout ca reste encore tres soft tout ca ... si l'enfant est bien traité et que les personnes qui l'élévent en prenne soin comme si c'etait le leur alors il aura au moins de l'amour.

              Mais cette année j'ai vu le fond de l'horreur humaine dans un reportage a la télé ... on aurait pu penser qu'il n'y a pas pire que la pédophilie ... hors j'ai vu un documentaire qui relate des faits réels se passant dans les pays de l'Est ou des prostitués se font mettre enceinte volontairement par des clients puis revendent pour " survivre " le nourrisson a sa naissance a des réseaux pedophiles privés ou des clients privés.

              Déja oser porter la main sur un etre innocent c'est la pire chose qui me répugne ... mais " procréer " des enfants destiné a etre d'office un objet sexuel ....

              On peut imaginer aisément comment ca se fini ... si l'enfant grandi, il vivra toute son enfance ( voir meme son age adulte , car traumatisé ) dans les pires vices humains ... rabaisser a un objet de vice , une sous creature , traumatisé a vie ... il ne connaitra ni les joies de parents qu'ils l'aiment pas plus qu'au moins la simple liberté.

              Et sinon ... c'est des malades qui se serviront d'un inocent bébé , s'amusant avec comme si c'etait une simple poupé gonflable ... ce le pretant, se l'echangeant, jusqu'a épuisement, je vous laisse imaginer tout ce qu'un adulte peut vouloir faire sur un bébé sans defense ...

              ... c'est a dire " tout ce qu'il veut, quand il veut " ... no comment!

              puis apres en avoir terminé le tuera.


              Apres on me dis que ce monde vaut encore la peine d'etre vécu.
              Dernière modification par Kalel_Angel, 19 octobre 2005, 16h43.

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              • #8
                Est-ce qu'une "jeune femme de condition très modeste" est une marchandise que l'on doit monnayer ?
                Faudrait-il que ces femmes soient plus morales que l'ensemble de la société et refusent par principe un peu de "confort" pour elles et leur enfant ?
                Je ne suis pas pour mais je peux imaginer leur position. C'est une situation dans laquelle il n'y a en apparence pas de bons choix. On ne nous parle pas dans cet article de ce que deviennent les enfants maintenant que le réseau est démantelé. En tout cas, surement aurait-elle du refuser cette proposition (je n'ai pas compris qu'elles avaient elles-même mis leur bébés en vente) et élver leur enfants dans la misère car la misère, matérielle et morale est très digne...


                400, 800, 1 000 ou 2 000 euros
                Sont-ce des fortes sommes ou symboliques ?

                Condamnez les si vous voulez, moi je ne peux ni cautionner, nin condamner... Je trouve ça infâme... Comme je trouve infâme qu'on puisse se trouver en position de se poser une telle question. Donc match nul.

                A hurler ce que tu as écrit Kalel... Oui, tu as raison, c encore très soft...


                oui je ne pourrai pas l'abandonner et je préférerai l'élèver meme avec le peu de ressources dont je disposerai en faisant tout pour que la situation s'améliore mais certainement pas le vendre ou l'abandonner.
                J'ai l'impression que tu n'imagines pas ce qui peut exister dans le pire et le plus abject de l'âme humaine... Moi je ne ferais ni l'un ni l'autre... Je crois plutôt que je refuserais une telle vie de soumission et d'infâmie autant pour mon enfant que pour moi...
                Dernière modification par Virginie, 19 octobre 2005, 17h07.

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                • #9
                  Envoyé par virginie
                  On ne nous parle pas dans cet article de ce que deviennent les enfants maintenant que le réseau est démantelé.
                  si on en parle, je te le met:
                  Le temps que les juges des enfants décident de leur sort : soit leur placement, avec ou sans droit de visite pour les parents adoptifs, soit leur en confier la garde avec une obligation de suivi éducation
                  Il n'est pas question de condanner les "mères" qui ont vendu leurs enfants, c'est l'ensemble du trafic de chair humaine qui est à dénoncer. Ce sont tous ceux qui organisent ces trafics immondes de bébés ou d'enfants.

                  Pour l'adoption, il y a des filliales légales qui sont à suivre et qui préservent certainement mieux l'intégrité futur de l'enfant. Un enfant ne doit jamais devenir un objet de consommation courante. Il ne peut se défendre, c'est à la société de le faire pour lui.

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                  • #10
                    Ces trafics cesseront avec ce qui les permet, à savoir une trop grande inégalité entre les individus et les peuples qui les composent. Autant dire qu'il sera difficile de les faire disparaître.

                    Que de vies bafouées, ça ne peux que me rendre... triste n'est même pas le mot. Quelle lourde histoire auront à porter ces enfants...
                    Dernière modification par Virginie, 20 octobre 2005, 09h24.

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                    • #11
                      parfois ce qui me choque c'est l'attitude des meres qui vendent leur enfants ,non pour la vente mais leur attitude apres la vente ,quelques jours ou mois apres elles reclament leur bebes .c'est pas que ca me choque mais je ne comprend pas ceux qui les poussent a les vendrent puis a les reclamaient aprés
                      laaslama a ya vehri , dacu ikd yiwin sya

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                      • #12
                        eh bien ce qui les poussent c'est la misère! et ce qui les font revenir en arrière c'est la culpabilité! je ne pense qu'il faille jeter la pierre à ces femmes! si elles ne souffraient pas de la misère elles ne penseraient jamais à faire de telles choses!la faute revient plutot à ces marchands qui jouent de leur malheur....
                        Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

                        Dionysios Solomos

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                        • #13
                          La misère et la détresse peuvent conduire à des comportements immoraux et immondes.

                          Je pense qu'il faut condamner fermement les trafiquants et imposer un suivi psychologique aux mères qui auraient accepté de vendre leurs enfants. Quel que soit le degré de pauvreté, une mère qui vend son enfant est forcément malade et devrait donc être soignée.

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                          • #14
                            Scandale : ventes d'enfants sur EachNet, l'eBay chinois

                            Mauvaise blague ou annonce gonflée d'un kidnappeur ?

                            Une histoire similaire s'est répétée récemment en Chine, mais cette fois aux yeux de tous les internautes. EachNet, racheté par Ebay il y a deux ans, a en effet servi de relais à des personnes peu scrupuleuses. Leur but : vendre des bébés "garantis" cent jours maximum à des parents certainement désespérés.
                            2900 euros pour des garçons, 1350 euros pour des filles. Il s'agit du prix proposé sur EachNet pour ces bébés volés. Retirées rapidement après de multiple plaintes des utilisateurs de ce service, ces annonces n'en restent pas moins floues. A l'heure qu'il est, personne ne sait s'il s'agissait d'une simple mauvaise blague consistant à tromper les internautes ou si elles étaient tout à fait sérieuses.
                            Le Shanghai Morning Post, qui a révélé cette information, précise que la police locale a dû transférer cette enquête au bureau d'investigation du district. Mais bizarrement, personne ne semble réellement au courant de cette affaire, comme si elle n'existait pas... De là à en tirer certaines conclusions...

                            Quant à EachNet, son porte-parole assure que sa société a réagi le plus rapidement possible et a contacté les autorités. Pourtant le Shanghai Morning Post rapporte que le site avait "comme but de répandre la bonne nouvelle à ces milliers de couples chinois qui sont incapables d'avoir des enfants".

                            La vente d'enfants est très sévèrement punie en Chine, puisque depuis son nouveau Code Pénal de 1997, la traite d'êtres humains, et notamment de femmes et d'enfants, est passible de la peine de mort. Les petits garçons, de part leur "valeur" en Chine, sont logiquement les cibles principales des kidnappeurs.....

                            Source: PcInpact

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