En francais:
Le Polisario et Ban Ki-moon
Samedi, 17 Avril 2010
Mohammad El-Ashab
Les perdants en compétitions sportives accusent souvent l'arbitre d'être décentrés vers leurs adversaires. Pourtant la situation de sécrétaire général Ban Ki-moon de l'ONU en faisant face à l'issue de la Sahara occidental dépasse sa responsabilité en tant qu'arbitre, comme il doit surveiller la conduite des concurrents même en dehors de du stade. L'évidence de ceci est le fait que son délégué personnel Christopher Ross, lors d'examiner les difficultés gênant des négociations directes, a réclamé les entretiens sans cérémonie, qui seraient équivalents au jeu en dehors des limites d'une allumette formelle. Peut-être il, comme Ban Ki-moon, aura besoin d'une plus grande ampleur de la formation psychologique et physique pour continuer avec des allumettes des concours violents unsportsmanlike.
Entre la position prise par Rabat, qui tend à être plus détendue, et l'apparence de Polisario a augmenté l'irritation en ce qui concerne le dernier rapport du sécrétaire général, se trouve encore une autre divergence approfondissant plus loin l'abîme. En effet, Ban Ki-moon a reconnu la situation fâcheuse reflétée par les deux parties s'accrochant à leurs positions, pourtant le son étant accusé de la polarisation par le Polisario ajoute des briques et les pierres au mur d'exister conteste.
Plus d'une fois dans après les parties concernées ont dirigé la critique aiguë aux médiateurs internationaux qui ont essayé de traiter l'issue de la Sahara occidental sur de nombreuses bases avec les milieux politiques et légaux. Envoy Peter Van Walsum n'était pas le premier et dernier sur qui souffle est tombé le jour où il a reconnu que l'indépendance de la province était une option « peu réaliste ». De même, le médiateur James Baker a marqué le temps entre l'approbation du Maroc et la colère de l'Algérie et du Polisario, puis la relaxation des derniers deux et la critique de Rabat, jusqu'à ce qu'il ait été finalement forcé de démissionner.
Pourtant c'est la première fois dans ce que le sécrétaire général des Nations Unies se trouve parmi un torrent des réactions négatives. L'origine de ceci peut être que la période séparant la publication de son rapport et du Conseil de sécurité d'ONU convenant au-dessus d'une nouvelle résolution a conduit vers l'exercice d'une certaine pression, particulièrement car les expériences antérieures ont décisivement prouvé que le Conseil de sécurité approuve souvent l'ébauche des recommandations du sécrétaire général, puisque le conflit tombe sous des tensions régionales ce qui devrait être résolu consensually, et pas par les solutions imposantes d'en haut. Et pour autant qu'une partie de cette critique semble équivalente réchauffer des exercices en vue de futures allumettes, la croyance est devenue indélogeable que l'option des négociations fait face à de véritables difficultés, pas moins dont est le fait que les responsabilités de le commanditer sont devenues exposées à être démantelé.
Ceci signifie que la situation fâcheuse ne s'applique plus seulement aux positions contradictoires, entre l'engagement du Maroc pour avancer avec les négociations sur la base de son plan d'accorder l'autonomie élargie par province et le Polisario faisant ce contingent sur retourner pour discuter l'option de référendum, mais s'applique maintenant également au cadre d'organisation des négociations. En outre, il est peu susceptible que n'importe quel progrès soit réalisé vers le règlement étant négocié à la lumière des doutes continuant à être jeté sur le rôle du corps commanditant ces négociations, soit elles formelles ou sans cérémonie. Quand le Polisario a parié sur la carte de droits de l'homme, qui est une préoccupation de quelques activistes dans la province tombant sous la commande du Maroc, elle avait cherché par ceci à augmenter les puissances de la mission de MINURSO (les nations Unies de DES de mission versent l'Occidental du Sahara d'Au de Référendum de d'un de l'Organisation) d'inclure surveiller la situation de droits de l'homme. Le fait de la matière est qu'une telle tâche demeure la responsabilité de la Commission de l'ONU à Genève, hormis le fait que les tâches de la mission, qui sont à l'origine reliées à consolider l'exécution du cessez-le-feu, sont placées par des résolutions publiées par le Conseil de sécurité.
Ce qui a tracassé le Polisario était que, au lieu du rapport de Ban Ki-moon comprenant une recommandation à cet effet, il a franchement réclamé un recensement des réfugiés d'origines de Sahrawi résidant dans les camps de Tindouf. La logique des choses nécessite que des droits de l'homme ne peuvent pas être réduits en fragments en utilisant des doubles standards. Et si Ban Ki-moon exprime ses inquiétudes au-dessus de la situation en Sahara occidental, il jusqu'au même degré réclame un recensement de population de l'autre côté.
En effet, on ne peut pas parler strictement d'une situation de droits de l'homme sans savoir d'abord qui les personnes incluses par de telles normes sont, au moins au niveau humanitaire, à longtemps car la grande solution presque ne semble pas. Il n'est pas dans l'intérêt du Polisario de se pencher vers l'isolement, as, dans les développements politiques que cela a menés au début de la négociation directe, il est allé bien à un associé dans la solution, juste comme de tels développements formaient le faire appel de Christopher Ross à l'Algérie pour coopérer avec les Nations Unies aux issues liées à la sécurité et humanitaires pour consacrer la dimension régionale en résolvant le conflit de la Sahara occidental. Il n'y a aucun doute que ces développements mèneront certainement à un règlement, si les « bonnes intentions et la gestion politique » comme spécifique par Ban Ki-moon. Pourtant la leçon qui doit être instruite réside dans le fait qu'il est impossible à aller à reculons.
En effet, l'issue de la Sahara occidental, ensuite après avoir été tirée dans le cadre des négociations auxquelles il n'y a aucune alternative, n'est plus identique comme elle était pendant les phases qui ont précédé approuver cette option, la solidité dont est renforcé par le fait qu'il demeure contingent sur l'armature de la référence consensuelle et pas sur n'importe quelle autre condition.
Source: Alhayate
Version orginale a suivre...
Le Polisario et Ban Ki-moon
Samedi, 17 Avril 2010
Mohammad El-Ashab
Les perdants en compétitions sportives accusent souvent l'arbitre d'être décentrés vers leurs adversaires. Pourtant la situation de sécrétaire général Ban Ki-moon de l'ONU en faisant face à l'issue de la Sahara occidental dépasse sa responsabilité en tant qu'arbitre, comme il doit surveiller la conduite des concurrents même en dehors de du stade. L'évidence de ceci est le fait que son délégué personnel Christopher Ross, lors d'examiner les difficultés gênant des négociations directes, a réclamé les entretiens sans cérémonie, qui seraient équivalents au jeu en dehors des limites d'une allumette formelle. Peut-être il, comme Ban Ki-moon, aura besoin d'une plus grande ampleur de la formation psychologique et physique pour continuer avec des allumettes des concours violents unsportsmanlike.
Entre la position prise par Rabat, qui tend à être plus détendue, et l'apparence de Polisario a augmenté l'irritation en ce qui concerne le dernier rapport du sécrétaire général, se trouve encore une autre divergence approfondissant plus loin l'abîme. En effet, Ban Ki-moon a reconnu la situation fâcheuse reflétée par les deux parties s'accrochant à leurs positions, pourtant le son étant accusé de la polarisation par le Polisario ajoute des briques et les pierres au mur d'exister conteste.
Plus d'une fois dans après les parties concernées ont dirigé la critique aiguë aux médiateurs internationaux qui ont essayé de traiter l'issue de la Sahara occidental sur de nombreuses bases avec les milieux politiques et légaux. Envoy Peter Van Walsum n'était pas le premier et dernier sur qui souffle est tombé le jour où il a reconnu que l'indépendance de la province était une option « peu réaliste ». De même, le médiateur James Baker a marqué le temps entre l'approbation du Maroc et la colère de l'Algérie et du Polisario, puis la relaxation des derniers deux et la critique de Rabat, jusqu'à ce qu'il ait été finalement forcé de démissionner.
Pourtant c'est la première fois dans ce que le sécrétaire général des Nations Unies se trouve parmi un torrent des réactions négatives. L'origine de ceci peut être que la période séparant la publication de son rapport et du Conseil de sécurité d'ONU convenant au-dessus d'une nouvelle résolution a conduit vers l'exercice d'une certaine pression, particulièrement car les expériences antérieures ont décisivement prouvé que le Conseil de sécurité approuve souvent l'ébauche des recommandations du sécrétaire général, puisque le conflit tombe sous des tensions régionales ce qui devrait être résolu consensually, et pas par les solutions imposantes d'en haut. Et pour autant qu'une partie de cette critique semble équivalente réchauffer des exercices en vue de futures allumettes, la croyance est devenue indélogeable que l'option des négociations fait face à de véritables difficultés, pas moins dont est le fait que les responsabilités de le commanditer sont devenues exposées à être démantelé.
Ceci signifie que la situation fâcheuse ne s'applique plus seulement aux positions contradictoires, entre l'engagement du Maroc pour avancer avec les négociations sur la base de son plan d'accorder l'autonomie élargie par province et le Polisario faisant ce contingent sur retourner pour discuter l'option de référendum, mais s'applique maintenant également au cadre d'organisation des négociations. En outre, il est peu susceptible que n'importe quel progrès soit réalisé vers le règlement étant négocié à la lumière des doutes continuant à être jeté sur le rôle du corps commanditant ces négociations, soit elles formelles ou sans cérémonie. Quand le Polisario a parié sur la carte de droits de l'homme, qui est une préoccupation de quelques activistes dans la province tombant sous la commande du Maroc, elle avait cherché par ceci à augmenter les puissances de la mission de MINURSO (les nations Unies de DES de mission versent l'Occidental du Sahara d'Au de Référendum de d'un de l'Organisation) d'inclure surveiller la situation de droits de l'homme. Le fait de la matière est qu'une telle tâche demeure la responsabilité de la Commission de l'ONU à Genève, hormis le fait que les tâches de la mission, qui sont à l'origine reliées à consolider l'exécution du cessez-le-feu, sont placées par des résolutions publiées par le Conseil de sécurité.
Ce qui a tracassé le Polisario était que, au lieu du rapport de Ban Ki-moon comprenant une recommandation à cet effet, il a franchement réclamé un recensement des réfugiés d'origines de Sahrawi résidant dans les camps de Tindouf. La logique des choses nécessite que des droits de l'homme ne peuvent pas être réduits en fragments en utilisant des doubles standards. Et si Ban Ki-moon exprime ses inquiétudes au-dessus de la situation en Sahara occidental, il jusqu'au même degré réclame un recensement de population de l'autre côté.
En effet, on ne peut pas parler strictement d'une situation de droits de l'homme sans savoir d'abord qui les personnes incluses par de telles normes sont, au moins au niveau humanitaire, à longtemps car la grande solution presque ne semble pas. Il n'est pas dans l'intérêt du Polisario de se pencher vers l'isolement, as, dans les développements politiques que cela a menés au début de la négociation directe, il est allé bien à un associé dans la solution, juste comme de tels développements formaient le faire appel de Christopher Ross à l'Algérie pour coopérer avec les Nations Unies aux issues liées à la sécurité et humanitaires pour consacrer la dimension régionale en résolvant le conflit de la Sahara occidental. Il n'y a aucun doute que ces développements mèneront certainement à un règlement, si les « bonnes intentions et la gestion politique » comme spécifique par Ban Ki-moon. Pourtant la leçon qui doit être instruite réside dans le fait qu'il est impossible à aller à reculons.
En effet, l'issue de la Sahara occidental, ensuite après avoir été tirée dans le cadre des négociations auxquelles il n'y a aucune alternative, n'est plus identique comme elle était pendant les phases qui ont précédé approuver cette option, la solidité dont est renforcé par le fait qu'il demeure contingent sur l'armature de la référence consensuelle et pas sur n'importe quelle autre condition.
Source: Alhayate
Version orginale a suivre...
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