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Prostitution au Maroc : renversantes réalités...

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  • Prostitution au Maroc : renversantes réalités...

    Les chiffres de l’enquête menée par l’Organisation panafricaine de lutte contre le sida (Opals-Maroc) et dévoilés récemment lors d’une journée d’étude organisée par le forum Ezzahra pour la femme marocaine au sujet des travailleuses du sexe et des maladies sexuellement transmissibles tirent la sonnette d’alarme. Les résultats choquent mais mettent à nu ce que la société tente de dissimuler.
    En proie à de nombreux aléas, les enfants sont de plus en plus concernés par la prostitution… et les MST ! De telles données jettent la lumière sur une enfance victime de conditions familiales difficiles, de pressions psychiques, d’exploitation sexuelle ou encore d’un mariage précoce raté.

    Sur un échantillon de 500 travailleuses du sexe ayant fait l’objet de cette enquête, 32.6% ont entretenu leur premier rapport à l’âge de 6 ans, 59.4% ont été payées pour la première fois entre l’âge de 9 et 15 ans et 90% des interrogées déclarent avoir intégré le monde de la prostitution avant l’âge de 20 ans. Menée dans les régions du Moyen Atlas, Souss et Rabat, l’enquête révèle que la prostitution des enfants et des mineures est plus répandue à Meknès, Beni Mellal, Azrou, El Hajeb, et moins à Rabat.

    13% de l’échantillon sont des petites filles vierges qui proposent sodomie, fellation ou encore «coups de pinceaux» à la-va-vite. «La prostitution des mineures menace désormais les bases de la société» constate Boutaina Karoui, présidente du forum Ezzahra pour la femme marocaine dans un entretien. Cette catégorie représente un terrain fertile pour les MST, pensant que la transmission du virus n’est possible que par pénétration et ne prenant donc jamais de précautions. Le chiffre est effarant ! 43.5% des prostituées ne se protègent pas. Les raisons de ce délaissement diffèrent mais le danger est là. Entre refus courant d’utiliser le préservatif chez les clients et l’absence de campagnes de sensibilisation, le coût trop élevé des moyens de précaution ne remédie pas à la situation. Trois préservatifs coûtent aujourd’hui 20 dirhams, «un luxe» que les professionnelles du sexe ne peuvent se permettre. Par ailleurs, lors de campagnes de ratissage de la police, un préservatif dans le sac à main d’une fille est une preuve que celle-ci se livre à la prostitution. De quoi jeter le préservatif aux oubliettes… et loin de son sac. Selon les chiffres du contrôle périodique pour l’année 2007, les travailleuses du sexe sont les plus touchées par le Sida. Certains facteurs inhérents à leur métier en font une catégorie particulièrement vulnérable comme le sentiment d’insécurité, l’autorité de l’homme qui a souvent le dernier mot quand il s’agit de la contrepartie financière, la pauvreté, l’analphabétisme…

    «Chikha» au lieu de «prostituée»

    234 des travailleuses du sexe interrogées dans le cadre de l’enquête menée sont âgées entre 21 et 25 ans et entre 26 et 30 ans. 81 cas sont âgés entre 16 et 20 ans. Sans oublier les enfants qui ne dépassent pas l’âge de 15 ans et qui ont déjà investi le métier. Selon Azzouz Ettaoussi, membre de l’équipe de recherche et psychosociologue de l’Opals, la femme jouit pendant sa jeunesse d’une attraction physique et autonome par rapport à sa famille. Il constate le faible taux de travailleuses du sexe âgées entre 36 et 45 ans dont l’état sanitaire et physionomique est détérioré à cause des méfaits de l’alcool, de la drogue et de la veille. Les plus chanceuses d’entre elles se convertissent en proxénètes ou deviennent propriétaires d’appartements qu’elles louent à de jeunes prostituées. Parmi les interrogées, 46.5% vivent hors familles, soit avec un partenaire, soit avec d’autres femmes prostituées, soit avec une proxénète dans des maisons closes ou toutes seules. Dans certains villages du Moyen Atlas, les habitants cohabitent avec le phénomène en faisant preuve de moins de discrimination et de stigmatisation que dans d’autres régions. Ainsi, pour désigner une travailleuse du sexe, on emploie le mot «chikha» au lieu de «prostituée». C’est que la prostitution constitue une ressource économique pour ces villages noyés dans la pauvreté. En effet, 226 femmes de l’échantillon affirment avoir des enfants à charge. Alors que le prix de la passe ne dépasse pas, dans le meilleur des cas, 50 dirhams, il ne leur reste qu’une misérable somme une fois qu’elles paient les frais de loyer et de nourriture aux personnes à leur charge. Sur la question du logement, les travailleuses du sexe craignent qu’elles soient reconnues. C’est ainsi qu’elles restent très discrètes et vigilantes quand il s’agit de dévoiler leur identité. Elles changent souvent de nom et cachent le lieu de résidence de leurs parents. 47.9% de l’échantillon affirment être issues de la même ville ou village où elles travaillent, 31.4% déclarent provenir d’une autre ville et 20.7 d’une autre campagne. La province de Beni Mellal vient en tête des villes en matière d’immigration des travailleuses du sexe arrivant de la campagne tandis qu’Agadir occupe la tête du classement des villes attirant des prostituées des autres villes.

    Hétérogénéité
    Et en cas d’apparition de symptômes d’une maladie sexuellement transmissible ? La moitié des interrogées préfère voir un médecin privé et 10% seulement optent pour la médecine traditionnelle ou à l’automédication. Selon Nadia Bezad, présidente de l’Opals, il y a chaque année 600.000 nouvelles infections sexuellement transmissibles. Les travailleuses du sexe font peu de cas de leur santé. L’enquête relève que ces femmes considèrent le corps comme une entité séparée de leurs personnes, comme une propriété publique même. Sauf qu’elles savent très peu sur les IST et le Sida. Par ailleurs, la situation familiale de l’échantillon interrogé est souvent indexée. Certaines familles sont même complices ! 483 interrogées révèlent entretenir des rapports sexuels avec un nombre allant jusqu’à 50 clients au cours de la semaine. 39.5% de l’échantillon sont divorcées, 4% sont mariées et se prostituent souvent en cachette pour subvenir aux besoins de la famille. Cette dernière catégorie se trouve principalement dans la région d’Agadir. Dans un autre contexte, l’enquête met en lumière le niveau intellectuel de l’échantillon. 31.5% des femmes interrogées n’ont jamais enjambé le seuil d’une école, 32.5% ont atteint le collège ou le lycée et 21.1% sont arrivées à l’enseignement supérieur. Cette dernière catégorie qui représente 4.8% de l’échantillon concerne principalement Rabat et Salé. Selon A. Ettaoussi, ce résultat indique une mutation dans la structure de la prostitution. Le commerce du sexe n’étant plus limité aux femmes au niveau d’études bas grâce aux transformations intellectuelles qu’a connues l’université, les changements de la société marocaine, l’augmentation du taux des diplômés chômeurs, de nombre de divorces et des familles prises en charge uniquement par des femmes. Et si 261 travailleuses du sexe interrogées sont prêtes à abandonner «le plus vieux métier du monde», 47% de l’échantillon déclarent que la prostitution est un choix. Pour 52.8%, il s’agit d’un travail provisoire. Mais pour 233 interrogées, l’activité est permanente. La majorité de cette catégorie réside dans les régions de Fès et Meknès et 55% à Beni Mellal. Et au psychosociologue d’ajouter que les travailleuses du sexe ne forment pas une catégorie homogène. Loin des chiffres flagrants et des résultats choquants, l’enquête de l’Opals souligne que la travailleuse du sexe, avant de le devenir, est une personne qui a sa personnalité, ses relations sociales et sa conception de l’environnement. Se rappeler ces facteurs est essentiel pour comprendre le rejet du préservatif par exemple, l’indifférence aux IST ou le refus de se faire dépister.
    Par Noura Mounib, L'Observateur.ma




    « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

  • #2
    Merci pour le cadeau de l'aid

    Je voulais bien retrourner ,mais je pense que je rebrousserai chemin!

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    • #3
      Ça décortique un petit échantillon de 500 malheureuses chikhates, j'aurais bien voulu savoir l'étendue du fléau et sa proportion dans la population dans le pays de Amir el Mouminines.
      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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      • #4
        Il n'y a pas de loi contre la pédophilie au Maroc ?
        Comme se fait-il qu'il y ait autant ?

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        • #5
          Ayrod,
          Aucune région de ce vaste monde n'échappe à la prostitution. L'Algérie suit la règle surtout ces dernières années après les problèmes en politiques interne et la prise du pouvoir par une caste pour le moins bizarre et étrangère au peuple.
          C'est temporel et bien minime ...
          Mais au Royaume du Maroc c'est une catastrophe sociale et ce depuis l'avènement du tourisme de masse et même bien avant.
          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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          • #6
            Okba,si ça continu à ce train là,dans moins de deux ans l'algérie deviendra un bordel à ciel ouvert.
            Le meilleur indice serait "l'interdiction de la Omra à la jeune algerienne".

            Je pense qu'il y a de la marge !

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            • #7
              Jawzia, tu viens de calmer pas mal de monde, merci

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              • #8
                Ayrod,
                Pendant les discussions des accommodements raisonnables à Montréal, un vieux a pris la parole pour défendre les musulmanes, et figures toi il ne se rappelait que des belles filles du Maroc.
                Aujourd'hui les attaques fusent de partout, même des citoyens des monarchies du Golf, tu ne trouves pas qu'il y ait réellement problème.
                On a le droit de savoir les habitudes des voisins ...
                وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                • #9
                  Arabie saoudite : les jeunes marocaines interdites de Omra
                  Le PJD considère le refus des autorités saoudiennes comme un affront à la dignité de la femme marocaine.
                  Le groupe parlementaire du Parti de la justice et du développement (PJD) dénonce avec vigueur l'exclusion des jeunes femmes marocaines de la Omra du Ramadan. Dans un communiqué de presse, le groupe, présidé par Mustapha Ramid, souligne que les services consulaires d'Arabie Saoudite à Rabat refusent de délivrer à de jeunes femmes marocaines le visa pour accomplir la Omra accompagnées de leurs familles.


                  «Certaines familles se sont retrouvées face à l'exclusion des autorités saoudiennes qui se sont obstinées à ne pas donner suite aux demandes de visas formulées de la part de leurs filles, sœurs ou petites-filles, malgré la régularité de leurs dossiers de candidature», précise-t-on dans ce communiqué.


                  «Selon les dires de certaines familles, l'explication avancée par ces services consulaires est liée soit au fait que les candidates sont jeunes, soit qu'elles ont une autre intention autre que la Omra en voulant faire ce voyage», ajoute-t-on. «Quatre cas se sont présentés au bureau du parti. Les filles en question devraient avoir entre 18 et 22 ans. Pourquoi exclure ces jeunes femmes d'accomplir leur devoir religieux sachant bien qu'elles seront accompagnées de leurs proches?», s'interroge Mustapha Ramid dans une déclaration à ALM. M. Ramid a fait part de son désagrément.


                  «Le Parti de la justice et du développement juge ce comportement inacceptable. Nous considérons cette démarche comme un affront à la dignité de la femme marocaine», dénonce-t-il. Et de poursuivre que «nous sommes parfaitement conscient que certaines femmes pourraient agir de façon inappropriée, mais ceci ne peut être généralisé sur l'ensemble des Marocaines. Certains jeunes Saoudiens se comportent au Maroc de manière obscène et pourtant personne ne réprimande leur droit de circuler au Royaume car nous savons qu'il s'agit bel et bien d'une minorité. Ils sont loin de représenter la jeunesse saoudienne que nous respectons».


                  Dans ce sens, le Parti de la justice et du développement invite les autorités marocaines à se mobiliser. «Nous appelons le ministère des Affaires étrangères marocain à intervenir dans l'immédiat pour faire cesser un tel abus dans le traitement des Marocaines ainsi que de rendre la dignité aux familles touchées par cette exclusion», souligne Mustapha Ramid. De même, le PJD demande aux autorités marocaines d'ouvrir le dialogue avec leurs homologues saoudiens pour éclaircir la situation.


                  Aujourdhui.ma
                  llah yahfadna

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                  • #10
                    Oudjda
                    Ca nous donne quoi d'en parler si les concernés ne tiennent pas à en parler ?

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                    • #11
                      oui kenzy que ca...arriver jusqua a interdire a des marocaines de faire la omra de peur quelles se prostituent ,cest grave et unique...

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                      • #12
                        Omra: Djellaba, String et petites Combines
                        Le pèlerinage religieux pendant le mois de Ramadan, connu sous le nom de la Omra ou le petit pèlerinage, est très prisé par les Marocains. Un rituel qui suscite chaque année un engouement de plus en plus important auprès des candidats des deux sexes. D’ailleurs, les agences de voyages réalisent une bonne partie de leurs chiffres d’affaires à cette occasion. Les plus sérieuses d’entre elles rivalisent d’innovation pour proposer des séjours bien ficelés avec une gamme de services variée. Comme dans une voiture, il y a l’entrée de gamme (produit de base) et puis les options qui font que le séjour gagne en confort et en luxe. Or, le voyage dans les lieux saints, c’est devenu un secret de polichinelle, n’est pas toujours mû par des considérations de piété et de recueillement. Certains, une fois en Arabie saoudite, se détournent du devoir qu’ils sont censés y accomplir en toute dévotion pour se livrer à d’autres activités qui ont très peu à voir avec la fonction originelle de la Omra. Nombre d’âmes vertueuses n’en reviennent pas. Choquées par ce qu’elles ont vu ou entendu à La Mecque sur la conduite de leurs compatriotes. De fil en aiguille, de confidence en aveu, l’image que l’on se faisait de ce devoir religieux a commencé à changer. On sait maintenant qu’il existe des habitués de la Omra, qui l’accomplissent plusieurs fois par an non pas par excès de dévotion mais par affairisme. Cette catégorie se rend à La Mecque pour faire des affaires. Chacun selon ses moyens. Certains achètent des produits de luxe comme les coupons de tissus d’inde et des bijoux du Golfe qu’ils revendent une fois de retour au Maroc à des prix intéressants. D’autres se rabattent sur des articles moins chers comme les parfums, les gadgets et les divers articles religieux… On est loin de la pureté qui est censée caractériser le comportement et l’itinéraire du pèlerin qui ne doit pas se laisser tenter par l’enrichissement et dont la meilleure provision est la piété. Autre profil du pèlerin, celui pour qui le voyage de la Omra n’est qu’un prétexte pour aller prendre l’aumône ( la Zakat) chez les nababs saoudiens. Une pratique qui, semble-t-il, rapporte gros. La rumeur publique fait ainsi état de plusieurs cas de personnes qui reviennent de là-bas avec des sommes substantielles pouvant aller jusqu’à 100.000 Dirhams et plus. Cela dépend, bien entendu, du degré de débrouillardise de chacun. C’est le cas par exemple de Y. Abdesslam qui a réussi à bâtir un joli commerce à Casablanca à partir de ses voyages fréquents en Arabie saoudite. Fonctionnaire à la retraite, H. Mohamed a tiré profit de la gratuité ou presque des billets d’avion à laquelle il a droit grâce à son fils qui travaille à la RAM pour faire la manche à la sortie des mosquées de La Mecque et de Médine. De plus en plus nombreux sont ceux qui ont fait de la mendicité en terre sainte un véritable métier qui ne rapporte certainement pas aussi gros que le plus vieux métier du monde. Aussi choquant que cela puisse paraître, le Maroc fournit aussi des filles de petite vertu pendant la période de la Omra. Sous couvert de petit pèlerinage, nombre de prostituées se sont incrustées dans ce circuit religieux pour aller égayer les nuits des adeptes des amours tarifées payées en dollars. Une fois sur place, les fausses pèlerines se rendent généralement chez leurs copines marocaines installées à Djeddah et qui dirigent et animent des réseaux de prostitution. Un commerce du corps juteux dont s’accommodent les autorités saoudiennes. Or, la débauche sexuelle sous couvert de pèlerinage a pris des proportions si alarmantes que les pouvoirs publics marocains ont réagi cette année pour trouver la parade à ce phénomène. Désormais, une femme de moins de 55 ans doit obligatoirement être accompagnée d’un “Mahram“, qui peut être soit son père, son fils, son frère ou son oncle. Cette mesure contraignante du ministère de l’Intérieur est censée protéger la Omra en la débarrassant des pseudo-candidates au pèlerinage. Or, il semble d’ores et déjà que l’on a trouvé l’astuce pour se jouer de cette loi. Certaines informations font état de situations jusqu’ici insoupçonnées qui ont de quoi révulser plus d’un. Il existe des pères de famille qui couvrent leurs filles. Ils savent d’avance qu’en terre sainte elles ne vont pas jouer les saintes-nitouches dévotes. Aucune loi ne peut rien contre une duplicité aussi honteuse. Un père complice à ce point de sa fille… Tandis que lui accomplit machinalement son rituel de la Omra, sa fille, elle, met religieusement le feu aux tempes à un pervers d’Arabie. Quel sens du partage… des tâches ! Voilà comment certaines personnes sans foi ni loi dévoient un des piliers de l’Islam et jettent le discrédit sur un devoir religieux de première importance. Ces personnes-là, qui n’ont aucune excuse, sont prêtes à tout pourvu que l’argent soit au rendez-vous.

                        Par
                        Abdellah CHANKOU
                        llah yahfadna

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                        • #13
                          ha ha tu veut dire comme c'est le cas au maroc !! impossible


                          au lieux de vous attaquer a celle qui poste l'article

                          allez vous occuper de vos femmes , elles ont le feu au ***
                          Et il est ou le problème? Le désir sexuel, c'est ce qu'il y a de plus humain. C'est de l'inverse qu'il faut s'inquiéter.

                          Tu imagines le nombres de tournantes qui occurrent dans ces contré de frustrations où les dogmes ont façonnés les pensées, et ou l'hypocrisie s'est érigée en modèle de société.


                          Chez nous, on croit dur comme fer et de plus en plus au dicton : "Vous êtes libre de votre c... Madame, Monsieur". Et ça nous réussi de mieux en mieux .. On sort de cette archaïsme qu'on vous laisse partager avec vos frères égyptiens.

                          Ce ne serait certainement pas chez vous que les femmes peuvent marcher toutes seules la nuit sans être inquiétés.

                          Y a du chemin chers algériens .. vous étiez précurseurs et vous voilà des cancres .. vous ne vous rendez même compte.

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                          • #14
                            Le problème c'est qu'il a un mélange de gens de mauvaise fois et de bonne fois...on discutera avec plaisir mais pas avec les gens qui cherche un point noir dans les fesses d'un bébé.

                            Sinon la prostitution existe au Maroc, peu t'être la plus avancée dans le monde arabe, mais les femmes marocains sont aussi les libre et les plus avancée dans tout les pays arabe.
                            Puisque la haine ne cessera jamais avec la haine, la haine cessera avec l'amour.

                            Commentaire


                            • #15
                              Oudjda
                              Ca nous donne quoi d'en parler si les concernés ne tiennent pas à en parler ?
                              Parlons on!

                              Je suis toute ouïe!

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