On le savait va-t-en-guerre, mais s’agissant du Maroc, Bernard-Henri Lévy ne s’est jamais risqué à critiquer le royaume durant ce “Printemps arabe”. Pour BHL, la cause est entendue : “Mohammed VI n’est pas Bouteflika ni Kadhafi.” On peut alors s’interroger pourquoi une telle complaisance à l’égard du roi du Maroc.
La raison pour cet homme d’affaires avisé en est toute simple : BHL possède au Maroc un parc immobilier que beaucoup lui envient. Un placement astucieux qui semble être à l’origine de la retenue dont il fait preuve à chaque fois qu’il s’agit du Maroc. BHL est en propriétaire dans le royaume où il réside une partie de l’année dans de somptueuses demeures, notamment un immense riad à Tanger avec vue imprenable sur la Méditerranée, décoré et aménagé par l'architecte d'intérieur Andrée Putman, ainsi qu’un palais digne des contes des Mille et Une Nuits à Marrakech, baptisé Zahia. On comprend mieux alors cette conception “à géométrie variable” de la démocratie et des droits de l’homme, dont les soubassements ne sont que des intérêts bassement mercantiles.
Liberté
La raison pour cet homme d’affaires avisé en est toute simple : BHL possède au Maroc un parc immobilier que beaucoup lui envient. Un placement astucieux qui semble être à l’origine de la retenue dont il fait preuve à chaque fois qu’il s’agit du Maroc. BHL est en propriétaire dans le royaume où il réside une partie de l’année dans de somptueuses demeures, notamment un immense riad à Tanger avec vue imprenable sur la Méditerranée, décoré et aménagé par l'architecte d'intérieur Andrée Putman, ainsi qu’un palais digne des contes des Mille et Une Nuits à Marrakech, baptisé Zahia. On comprend mieux alors cette conception “à géométrie variable” de la démocratie et des droits de l’homme, dont les soubassements ne sont que des intérêts bassement mercantiles.
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