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Son altercation avec le chef du groupe PJD à la Chambre des représentants a été diffusée en direct à la télévision.
Suite à ses altercations verbales avec Abdellah Bouanou, le président du groupe PJD à la Chambre des représentants, diffusées en direct à la télévision, la députée USFP a affirmé à Lakome que ses propos étaient «d'ordre politique, non soumis à un quelconque cadrage juridique».
Elle a souligné qu'elle avait critiqué «le gouvernement et sa gestion des relations avec la Fondation Robert Kennedy, et aussi la manière avec laquelle il gère les affaires cruciales du peuple"
"Ainsi, poursuit-elle, quand le gouvernement a voulu retirer sa confiance à Christopher Ross, il a ameuté le peuple et les parlementaires et mobilisé tout le monde, mais quand il a voulu opérer un revirement et lui accorder sa confiance de nouveau, le gouvernement s'est arrangé pour créer les conditions ! (sic)».
Elle critique aussi le fait que le gouvernement est défaillant dans la promotion des réformes.
Abdellah Bouanou avait vertement répliqué à la députée USFP et estimé que l'opinion de Mme Abou Zaid à propos de l'affaire du Sahara ne reflétait pas la position de son parti et constituait un cas isolé en dehors du «consensus national».
Lakom mercredi 24 avril 2013
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Suite à ses altercations verbales avec Abdellah Bouanou, le président du groupe PJD à la Chambre des représentants, diffusées en direct à la télévision, la députée USFP a affirmé à Lakome que ses propos étaient «d'ordre politique, non soumis à un quelconque cadrage juridique».
Elle a souligné qu'elle avait critiqué «le gouvernement et sa gestion des relations avec la Fondation Robert Kennedy, et aussi la manière avec laquelle il gère les affaires cruciales du peuple"
"Ainsi, poursuit-elle, quand le gouvernement a voulu retirer sa confiance à Christopher Ross, il a ameuté le peuple et les parlementaires et mobilisé tout le monde, mais quand il a voulu opérer un revirement et lui accorder sa confiance de nouveau, le gouvernement s'est arrangé pour créer les conditions ! (sic)».
Elle critique aussi le fait que le gouvernement est défaillant dans la promotion des réformes.
Abdellah Bouanou avait vertement répliqué à la députée USFP et estimé que l'opinion de Mme Abou Zaid à propos de l'affaire du Sahara ne reflétait pas la position de son parti et constituait un cas isolé en dehors du «consensus national».
Lakom mercredi 24 avril 2013
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