Presse : la Société d’impression d’Alger refuse d’imprimer le quotidien El Fadjr, Echourouk évite une interdiction
La Société d’impression d’Alger (SIA) a décidé, ce dimanche 1er juin, de ne plus imprimer le quotidien arabophone El Fadjr, affirme à TSA, Abdelkader Metchat, son PDG. « Le journal a une dette de cinq milliards cinq cents millions de centimes. On lui a envoyé l’huissier et un délai lui a été donné. Le journal ne sera pas imprimé aujourd’hui à la SIA », ajoute-t-il.
Echourouk a évité une interdiction d’impression en déposant, au cours de cet après-midi, un chèque de 65 millions de dinars (6,5 milliards de centimes). « Echorouk n’avait pas respecté l’échéancier et avait d’abord envoyé des chèques sans provision. Je lui ai envoyé une mise en demeure il y a près d’une semaine. Aujourd’hui vers 16 heures, il les a remplacés par un chèque de banque de six milliards cinq cent millions de centimes », explique M. Metchat.
Contactée, Hadda Hazam, la directrice d’El Fadjr, indique n’avoir pas d’informations concernant ce sujet. « Je viens de sortir du bureau. On a fait notre travail et nous sommes en train d’envoyer le journal. Je ne suis pas au courant. Sauf si c’est une décision politique. Chose que j’écarte », ajoute-t-elle.
En 2013, El Fadjr a déjà été destinataire d’une mise en demeure pour payer ses dettes. Dans une précédente déclaration, sa directrice avait évoqué un échéancier qu’elle a toujours respecté. « À chaque fois qu’il y a un nouveau ministre, le directeur de la SIA (l’imprimerie) essaie de gagner du temps parce qu’il a peut-être une mauvaise gestion », avait-elle ajouté.
TSA 01 Juin 2014
La Société d’impression d’Alger (SIA) a décidé, ce dimanche 1er juin, de ne plus imprimer le quotidien arabophone El Fadjr, affirme à TSA, Abdelkader Metchat, son PDG. « Le journal a une dette de cinq milliards cinq cents millions de centimes. On lui a envoyé l’huissier et un délai lui a été donné. Le journal ne sera pas imprimé aujourd’hui à la SIA », ajoute-t-il.
Echourouk a évité une interdiction d’impression en déposant, au cours de cet après-midi, un chèque de 65 millions de dinars (6,5 milliards de centimes). « Echorouk n’avait pas respecté l’échéancier et avait d’abord envoyé des chèques sans provision. Je lui ai envoyé une mise en demeure il y a près d’une semaine. Aujourd’hui vers 16 heures, il les a remplacés par un chèque de banque de six milliards cinq cent millions de centimes », explique M. Metchat.
Contactée, Hadda Hazam, la directrice d’El Fadjr, indique n’avoir pas d’informations concernant ce sujet. « Je viens de sortir du bureau. On a fait notre travail et nous sommes en train d’envoyer le journal. Je ne suis pas au courant. Sauf si c’est une décision politique. Chose que j’écarte », ajoute-t-elle.
En 2013, El Fadjr a déjà été destinataire d’une mise en demeure pour payer ses dettes. Dans une précédente déclaration, sa directrice avait évoqué un échéancier qu’elle a toujours respecté. « À chaque fois qu’il y a un nouveau ministre, le directeur de la SIA (l’imprimerie) essaie de gagner du temps parce qu’il a peut-être une mauvaise gestion », avait-elle ajouté.
TSA 01 Juin 2014
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