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Le journaliste Mohamed Tamalt en danger

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  • Le journaliste Mohamed Tamalt en danger

    Le journaliste Mohamed Tamalt, en grève de la faim depuis son arrestation en juin dernier, risque de mourir à tout moment. Selon ses avocats, le journaliste, condamné à deux ans de prison ferme, n’est plus qu’un «morceau de chair couvert de tissu».

    Mohamed Tamalt croupit, depuis la confirmation de sa peine par la cours d’Alger, à la prison de Koléa. Il ne reçoit presque plus que ses avocats et quelques membres de sa famille. Mais lors de la dernière visite, ses mandataires lancent un cri de détresse: leur client risque de mourir. La preuve ? Les juristes rapportent que le journaliste qui se déplace grâce à un fauteuil roulant ne parvient même plus à s’exprime normalement. Pis, il aurait perdu sa lucidité.

    Mohamed Tamalt est en prison depuis le 27 juin dernier. Il est condamné à deux ans de prison ferme pour «atteinte à l’honneur» de responsables et «offense» au chef de l’Etat. La justice lui reproche notamment des écrits excessifs sur sa page Facebook et sur la page du journal en ligne, «El Siyyaq El Magharibi» (le contexte maghrébin).

    Les avocats attendent toujours un geste des autorités pour sauver le journaliste algéro-britannique de la mort.

    Essaïd Wakli
    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
    Socrate.

  • #2
    Coupable de crime de lèse-majesté
    On soigne bien les journalistes en Algérie

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    • #3
      On est loin, très loin du discours de Sellal (quand il recevait Valls) et ressassé ad nauseum depuis, à savoir qu'aucun journaliste ne sera emprisonné en raison de ses opinions. Bien sûr, pour contourner, on va chercher "l'offense" et "l'atteinte à l'honneur" du Chef de l'Etat, comme si celui-ci ne faisait pas suffisamment offense à lui-même d'abord, en se maintenant coûte que coûte à son poste, malgré son infirmité avérée...

      كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

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      • #4
        Salam,

        J’ai lu qu’il a insulté et a dit des vulgarités envers le président. Sa peine de prison est peut-être justifiée.
        Mais il y des gens qui insultent Allah à longueur de journée.. Et personne ne les inquiètent.

        A-t-il demandé un pardon.. ou la grâce. ?

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        • #5
          delit d'opinion -on ne condamne pas un homme a deux ans de prisons pour insulte -pour vole de 200 millions de dollars ok ou pour achat d'appartements a l'etranger avec des deniers publics la aussi ok -mais pas pour insulte ...il y a des amendes pour controler la diffamation.

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          • #6
            asdecoeur
            delit d'opinion -on ne condamne pas un homme a deux ans de prisons pour insulte -
            En France c'est jusqu’à 5 ans de prison, plus une amende qui va jusqu’à 45.000 Euros !!!


            ...il y a des amendes pour controler la diffamation.


            N'importe quoi !!!

            La diffamation est une insulte,d’ailleurs la loi les classe dans une seule catégorie de délit dénonciation calomnieuse .
            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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            • #7
              Ce gars n'est pas un journaliste.. mais un minable qui salit la profession
              Sa page facebook était basée sur le mensonge, la diffamation et l'indécence..
              Aucun de nous n'aurait était fier de l'avoir comme frère ou parent !!

              khmadj va !!

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              • #8
                On soigne bien les journalistes en Algérie
                Un journaliste en état d'ivresse, qui renverse un enfant qui traverse sur un passage pour piéton ne peut se prévaloir de son statut de journaliste pour se soustraire à la justice.

                Pareil lorsqu'on use de sa page Facebook pour user de vulgarités, mensonges et autres délits. Tu as beau être journaliste ...

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                • #9
                  un journaliste informe avec objectivité et respect sans
                  aucune animosité ou vindicte.
                  Ce monsieur n'est pas un journaliste, j'ai lu sa page facebook , je ne sais pas si elle toujours ouverte, aucune information, que des commérages et des insultes, une horreur.

                  on va dire que c'est un citoyen qui a été incarcéré pour insultes.
                  Une femme libre est exactement le contraire d'une femme légère. S.D.B

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                  • #10
                    je confirme que sa page est toujours active, et que des insultes,il y en a mis dans sa page, à la pelle !
                    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                    • #11
                      Un journaliste en état d'ivresse, qui renverse un enfant qui traverse sur un passage pour piéton ne peut se prévaloir de son statut de journaliste pour se soustraire à la justice.

                      Pareil lorsqu'on use de sa page Facebook pour user de vulgarités, mensonges et autres délits. Tu as beau être journaliste ...
                      L'analogie n'est pas juste. Ici le journaliste est représenté comme une personne en état d'ivresse, alors que ses adversaires comme un enfant innocent qui travers la rue.

                      L'analogie serai plus juste si on dit : une personne en état d'ivresse, qui renverse un voleur, voire un criminel, qui ne cesse de commettre des délits et crimes, sera poursuivi pour tentative d'homicide volontaire, mais qu'en est-il du voleur et criminel ? On lui présentera des excuse et on le laisse continuer ses forfaits ?

                      Pareil quand tu dénnonces des choses où tu exagères parfois. Tu peux être poursuivi pour la partie diffamation, mais ce n'est pas pour autant que tout ce que tu dis est systématiquement un mensonge.
                      "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                      Socrate.

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                      • #12
                        L'analogie serai plus juste si on dit : une personne en état d'ivresse, qui renverse un voleur, voire un criminel, qui ne cesse de commettre des délits et crimes, sera poursuivi pour tentative d'homicide volontaire, mais qu'en est-il du voleur et criminel ?
                        Je vais aller plus loin. Ce journaliste en état d'ivresse renverse Hitler en dehors des clous.

                        Il ne pourra invoquer son statut de journaliste pour ne pas répondre de ses actes( statut de journaliste qui reste à prouver parce qu'une page Facebook ne saurait être considérée comme un journal et celui qui l'alimente comme un journaliste. Sinon des journalistes, il y en à quelques milliards chez Zuckerberg). Quant à Hitler, il répondra de ses actes devant qui de droit.

                        Les délits ne s'annulent pas, ils s'ajoutent les uns aux autres.
                        Dernière modification par jawzia, 01 septembre 2016, 20h43.

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                        • #13
                          On pourrait arrêter les critères qu'on veut pour qualifier quelqu'un de journaliste. Cela restera du normatif. Mais objectivement parlant, ce gars est diplomé en journalisme de deux universités (algérienne et européenne). Il a exercé en tant que journaliste dans plusieurs organes de presse écrite et audiovisuelle.

                          En état d'ivresse, de colère ou de dépression, il demeure un journaliste.

                          Les délits ne s'annulent pas, ils s'ajoutent les uns aux autres.
                          C'est tout à fait juste.
                          Dernière modification par elfamilia, 01 septembre 2016, 20h55.
                          "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                          Socrate.

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                          • #14
                            En état d'ivresse, de colère ou de dépression, il demeure un journaliste.
                            Journaliste est une profession. Ce n'est pas un titre. Il doit surement exister des diplômés en journalisme et avoir préféré le commerce des Mhajebs.

                            Ce qu'il publie sur sa page Facebook engage sa personne et aucun rédacteur en chef n'oserait (autoriser à) publier la litanie d'insultes et de vulgarités qui meuble sa page.

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                            • #15
                              C'est vrai et c'est pas nouveau. La justice s'applique sur les vendeurs de mhadjeb et autres déshérités. Les criminels en col blanc ne sont pas concernés par cette justice.
                              "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                              Socrate.

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