Enrico Macias,trouve la chaleur de l'Algerie chére à lui ,au Maro.Pour quand sa venu en Algerie
************************************************
Enrico Macias a chanté les 7 et 8 mars 2007 à Casablanca
à l’occasion de la journée de la femme. L’ambassadeur de paix
de l’Onu revient au Maroc pour la troisième fois. Entretien.
Enrico Macias a chanté les 7 et 8 mars 2007 à Casablanca
à l’occasion de la journée de la femme. L’ambassadeur de paix
de l’Onu revient au Maroc pour la troisième fois. Entretien.
“Le Maroc, ma nouvelle Andalousie”
Propos recueillis par
Loubna Bernichi
•Maroc Hebdo International: Quel souvenir gardez-vous de votre dernier passage au Maroc?
-Enrico Macias: Je suis content d’être de nouveau à Casablanca. J’ai gardé des souvenirs merveilleux de mon dernier passage au Maroc. Ma première pensée va à la famille royale et au Roi Mohammed VI. Je suis très heureux de la nouvelle de la naissance de la princesse Lalla Khadija. Comme on dit chez nous, quand une fille vient au monde, c’est une chance. Et quand un garçon vient au monde, c’est une continuité.
•MHI: Qu’est-ce que le Maroc représente pour vous?
-Enrico Macias: C’est un pays qui m’est cher, auquel je tiens particulièrement. Comment ne pas me sentir chez moi lorsque je viens chez le leader du Maaghreb. Le Maroc est la racine de ma civilisation algérienne. Je suis né dans la grande musique classique nord-africaine, notamment constantinoise. La source de cette musique n’est autre que le Maroc. Je suis très touché par l’hospitalité des Marocains. J’ai de la chance d’être accueilli comme un enfant du pays. Le Maroc représente, pour moi, la nouvelle Andalousie.
•MHI: Confirmez-vous votre réputation de chanteur des femmes?
-Enrico Macias: Les deux concerts que je donne les 7 et 8 mars 2007 à Casablanca à l’occasion de la journée de la femme le confirme bien. Je pense que la femme doit être fêtée toutes les secondes. Je chante les femmes et pas seulement Les filles de mon pays depuis plus de 40 ans. La femme est le noyau de la famille. C’est elle qui fait l’humanité. J’ai beaucoup de respect pour elle. Quand j’étais petit, ma grand-mère n’avait pas le droit à la parole avec mon grand-père, mais c’est elle qui dirigeait la famille dans l’ombre.
•MHI: Pourquoi l’Algérie a refusé de vous accueillir?
-Enrico Macias: Tout ce que je sais, c’est que le peuple algérien veut que je revienne. Je garde l’espoir de retourner un jour dans mon pays. Avec tout ce que j’ai connu dans ma vie, ce serait une grande frustration de quitter ce monde sans y retourner. Ce sera la plus grande consécration de me retrouver avec les miens sur la terre qui m’ a vu naître. Mon retour en Algérie me permettra de fermer la boucle de tout ce que j’ai pu semer dans le monde comme valeurs de paix et d’amour en dehors de toute considération politicienne.
•MHI: Est-ce qu’il y a des pays où vous refusez de vous produire?
-Enrico Macias: Après le Maroc, j’entame une tournée mondiale qui me mène aux Etats-Unis, au Canada, au Japon, en Israël, bien sûr, en Egypte. J’espère aussi chanter en Jordanie. Je vais là où on m’ appelle pour faire la fête ensemble. Je n’ai aucune préférence. Je découvre les contrées au fil de mes tournées. Je suis avant tout un citoyen du monde. Le monde n’a qu’une seule frontière, c’est celle du ciel. Je respecte les êtres humains quelles que soient leurs nationalités, leurs religions, la couleur de leurs peaux. Nous sommes tous différents, et c’est la richesse de l’humanité.
************************************************
Enrico Macias a chanté les 7 et 8 mars 2007 à Casablanca
à l’occasion de la journée de la femme. L’ambassadeur de paix
de l’Onu revient au Maroc pour la troisième fois. Entretien.
Enrico Macias a chanté les 7 et 8 mars 2007 à Casablanca
à l’occasion de la journée de la femme. L’ambassadeur de paix
de l’Onu revient au Maroc pour la troisième fois. Entretien.
“Le Maroc, ma nouvelle Andalousie”
Propos recueillis par
Loubna Bernichi
•Maroc Hebdo International: Quel souvenir gardez-vous de votre dernier passage au Maroc?
-Enrico Macias: Je suis content d’être de nouveau à Casablanca. J’ai gardé des souvenirs merveilleux de mon dernier passage au Maroc. Ma première pensée va à la famille royale et au Roi Mohammed VI. Je suis très heureux de la nouvelle de la naissance de la princesse Lalla Khadija. Comme on dit chez nous, quand une fille vient au monde, c’est une chance. Et quand un garçon vient au monde, c’est une continuité.
•MHI: Qu’est-ce que le Maroc représente pour vous?
-Enrico Macias: C’est un pays qui m’est cher, auquel je tiens particulièrement. Comment ne pas me sentir chez moi lorsque je viens chez le leader du Maaghreb. Le Maroc est la racine de ma civilisation algérienne. Je suis né dans la grande musique classique nord-africaine, notamment constantinoise. La source de cette musique n’est autre que le Maroc. Je suis très touché par l’hospitalité des Marocains. J’ai de la chance d’être accueilli comme un enfant du pays. Le Maroc représente, pour moi, la nouvelle Andalousie.
•MHI: Confirmez-vous votre réputation de chanteur des femmes?
-Enrico Macias: Les deux concerts que je donne les 7 et 8 mars 2007 à Casablanca à l’occasion de la journée de la femme le confirme bien. Je pense que la femme doit être fêtée toutes les secondes. Je chante les femmes et pas seulement Les filles de mon pays depuis plus de 40 ans. La femme est le noyau de la famille. C’est elle qui fait l’humanité. J’ai beaucoup de respect pour elle. Quand j’étais petit, ma grand-mère n’avait pas le droit à la parole avec mon grand-père, mais c’est elle qui dirigeait la famille dans l’ombre.
•MHI: Pourquoi l’Algérie a refusé de vous accueillir?
-Enrico Macias: Tout ce que je sais, c’est que le peuple algérien veut que je revienne. Je garde l’espoir de retourner un jour dans mon pays. Avec tout ce que j’ai connu dans ma vie, ce serait une grande frustration de quitter ce monde sans y retourner. Ce sera la plus grande consécration de me retrouver avec les miens sur la terre qui m’ a vu naître. Mon retour en Algérie me permettra de fermer la boucle de tout ce que j’ai pu semer dans le monde comme valeurs de paix et d’amour en dehors de toute considération politicienne.
•MHI: Est-ce qu’il y a des pays où vous refusez de vous produire?
-Enrico Macias: Après le Maroc, j’entame une tournée mondiale qui me mène aux Etats-Unis, au Canada, au Japon, en Israël, bien sûr, en Egypte. J’espère aussi chanter en Jordanie. Je vais là où on m’ appelle pour faire la fête ensemble. Je n’ai aucune préférence. Je découvre les contrées au fil de mes tournées. Je suis avant tout un citoyen du monde. Le monde n’a qu’une seule frontière, c’est celle du ciel. Je respecte les êtres humains quelles que soient leurs nationalités, leurs religions, la couleur de leurs peaux. Nous sommes tous différents, et c’est la richesse de l’humanité.
Commentaire