Pourquoi ce Sieur ne demande t-il pas asile politique à l'Algérie afin de bénéficier d'une aide pécuniaire?
- C’est un ramadan loin de leur famille et plein d’incertitudes que sont en train de vivre plus de 22 000 Marocains bloqués à l’étranger depuis la fermeture des frontières. Pour certains, le mois sacré s’est transformé en véritable cauchemar. Témoignages.
Mohamed Ali, 46 ans, n’a pas pu retenir ses larmes. Dans un message vocal envoyé depuis Alger, où il est coincé depuis bientôt deux mois, ce père de famille s’effondre. “On pensait qu’on nous laisserait rentrer pour le ramadan. Mais non. Être éloigné de ma famille, de mes enfants… Je n’aurais jamais cru que la douleur puisse être aussi atroce, ni que je puisse être si impuissant face à cette situation”, témoigne-t-il-.
Arrivé en Algérie début mars pour une formation d’un mois, il s’est retrouvé au bout de quinze jours dans l’incapacité de rentrer au Maroc, après la décision de fermeture des frontières. “Au-delà des soucis financiers — nous n’avons reçu aucune aide de la part du consulat —, le fond du problème, c’est l’éloignement, la solitude, la tristesse et le fait de ne pas savoir ce qui va se passer"-.
Tel Quel.ma
- C’est un ramadan loin de leur famille et plein d’incertitudes que sont en train de vivre plus de 22 000 Marocains bloqués à l’étranger depuis la fermeture des frontières. Pour certains, le mois sacré s’est transformé en véritable cauchemar. Témoignages.
Mohamed Ali, 46 ans, n’a pas pu retenir ses larmes. Dans un message vocal envoyé depuis Alger, où il est coincé depuis bientôt deux mois, ce père de famille s’effondre. “On pensait qu’on nous laisserait rentrer pour le ramadan. Mais non. Être éloigné de ma famille, de mes enfants… Je n’aurais jamais cru que la douleur puisse être aussi atroce, ni que je puisse être si impuissant face à cette situation”, témoigne-t-il-.
Arrivé en Algérie début mars pour une formation d’un mois, il s’est retrouvé au bout de quinze jours dans l’incapacité de rentrer au Maroc, après la décision de fermeture des frontières. “Au-delà des soucis financiers — nous n’avons reçu aucune aide de la part du consulat —, le fond du problème, c’est l’éloignement, la solitude, la tristesse et le fait de ne pas savoir ce qui va se passer"-.
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