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Lang, nouvel entraîneur de la JSK

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  • Lang, nouvel entraîneur de la JSK

    Suite au revirement inattendu de Moussa Saïb, le président Moh-Chérif Hannachi n’a pas perdu beaucoup de temps pour se remettre à la recherche d’un autre entraîneur. C’est ainsi qu’il a jeté son dévolu sur le coach Jean-Christian Lang, lequel a été approché par les dirigeants des Jaune et Vert juste après l’échec des négociations avec l’ancien coach de l’ESS, Bernard Simondi.


    Mais comme Saïb a montré sa disposition à revenir à la JSK, le premier responsable de la formation du Djurdjura a préféré récupérer son ancien driver que de poursuivre les négociations avec Lang. Mais ce n’était que partie remise, puisque Hannachi l’a relancé en fin de matinée. Il faut reconnaître que le chairman kabyle s’intéressait à Lang depuis l’intersaison.
    En effet, avant que la JSK ne concrétise avec le coach roumain, Moldovan, les dirigeants des Canaris ont pris langue avec Lang avant de se tourner vers la piste d’Alain Michel. Ayant déjà travaillé au Maroc, Lang est resté sans club depuis son départ de Fès en novembre 2008. Enthousiasmé par la proposition de la formation du Djurdjura, l’ancien coach du MAS sera le successeur de Younès Ifticène. Il avoue qu’il est très emballé de prendre en main la JS Kabylie qui participera à la Champions League africaine.

    Une invitation lui a été envoyée hier en fin d’après-midi
    Voulant à tout prix finaliser avec lui pour parer à la volte-face de Saïb, les dirigeants des Canaris ont envoyé une invitation hier en fin d’après-midi à Lang pour qu’il rejoigne l’Algérie le plus tôt possible. Etant emballé par l’offre de la JSK, le coach français ne s’est pas montré gourmand et c’est pour cela qu’il n’a pas tardé à trouver un accord avec Hannachi. Il sera à Tizi Ouzou dès qu’il aura son visa et c’est lui qui coachera sans doute l’équipe après le match face à l’ASO. Cette fois, la JSK a trouvé un entraîneur et le président Hannachi peut s’occuper désormais du volet recrutement.
    N. Boumali
    Le président Moh-Chérif Hannachi a du mal à comprendre la volte-face de Moussa Saïb, lequel a fait le déplacement avec lui, lundi, à Bordj Bou-Arréridj. Après avoir donné son accord de principe au chairman kabyle, l’ancien Auxerrois est revenu sur sa décision hier, en lui faisant savoir qu’il ne peut pas entraîner la JSK. Son revirement a mis Hannachi dans une situation embarrassante, d’autant que pour lui le successeur de Younès Ifticène était tout trouvé. «Il m’a appelé ce matin pour me dire qu’il ne viendra pas. Je suis surpris par sa décision, surtout que, lundi, je me suis déplacé avec lui à Bordj Bou-Arréridj. Maintenant, je suis obligé de chercher un autre entraîneur. On est revenu à la case départ, et cette situation ne m’arrange nullement», a martelé le président kabyle.

    «S’il ne nous avait pas donné son accord, on aurait déjà eu un entraîneur»
    Il était prévu que l’ancien Auxerrois débute sa mission aujourd’hui, mais celui-ci a décidé, contre toute attente, de décliner l’offre de la direction du club du Djurdjura. Saïb, qui a négocié lundi avec Hannachi, a rassuré ce dernier en lui disant qu’il rejoindra la barre technique dès son retour de France. Après avoir passé 6 jours en Hexagone, Saïb est revenu dimanche soir de Paris avant de se rendre le lendemain à Bordj Bou-Arréridj en compagnie du premier responsable du club. Bien qu’il ait été déçu par la prestation de l’équipe, Saïb a affirmé à Hannachi qu’il n’allait pas changer d’avis, même s’il sait que beaucoup de boulot l’attend. Toutefois, hier matin, Moussa l’a appelé pour lui annoncer qu’il ne viendra pas. «Pourtant, il m’avait donné son accord de principe pour entraîner la JSK. Son revirement nous a mis dans une situation délicate. S’il ne m’avait pas promis de rejoindre la barre technique, la JSK aurait déjà eu un entraîneur. Je ne m’attendais nullement à ce qu’il se rétracte de cette manière. Il m’a dit que les joueurs ont perdu confiance en eux, mais c’est à lui de leur redonner cette confiance. La JSK avait besoin de lui et, en principe, il aurait pu accepter de nous dépanner. On doit maintenant se tourner vers la piste étrangère et j’espère qu’on réglera ce problème au plus vite», a-t-il conclu.
    N. Boumali

  • #2
    LES SUPPORTERS veulent une réaction d’orgueil
    «JSK, relève-toi !»

    Avant-hier lundi, les coéquipiers du capitaine Abdeslam se sont inclinés une nouvelle fois en championnat. C’était à BBA devant la formation locale pour le compte de la mise à jour du calendrier. C’est la deuxième défaite en l’espace seulement de quatre jours. Après onze matchs joués en championnat, la formation kabyle n’a gagné que deux rencontres.
    Avec six matchs nuls et trois défaites, les hommes du président Hannachi occupent l’avant-dernière place du classement. A deux journées seulement de la fin de la phase aller et avec deux matchs en retard. Les Canaris se trouvent dans une position qui n’a jamais été la sienne. Depuis le début du championnat, la formation du Djurdjura n’assurait pas ses matchs à domicile, plus grave encore, les camardes de Meftah voyagent mal. Le moins que l’on puisse dire du parcours des Kabyles du moins jusqu’à maintenant est qu’il est catastrophique. La saison écoulée et à ce stade de la compétition, la JSK crachait le feu, elle gagnait ses matchs à domicile comme à l’extérieur. Bref, cette année ce n’est pas le cas. Le club phare de la Kabylie a été relégué en queue de caravane par les mauvais résultats. Les supporters kabyles, qui n’ont rien compris à cette situation, sont très déçus par les résultats de leur équipe.
    Au départ, le public jaune et vert croyait que la situation n’allait pas durer longtemps, surtout qu’au début du championnat l’équipe était engagée en coupe de la CAF. Cependant et après les mauvais résultats de ces derniers, le doute a gagné les supporters de la JSK qui sont très inquiets concernant l’avenir de leur équipe. La dernière défaite de lundi dernier devant le CABBA n’a fait qu’enfoncer le couteau dans la plaie. Au lendemain de ce match, le seul sujet qui revenait sur toutes les lèvres à Tizi Ouzou, c’était la défaite de la JSK devant le CABBA. Hier en début de matinée, trois bonhommes se sont rencontrés chez un buraliste au centre-ville, au moment où l’un de ces trois individus achetait un journal spécialisé, un autre l’attaque : «Tu peux lire le journal, on a touché le fond», le troisième ajoute : «Sincèrement, la situation est dangereuse, je crains que la saison prochaine on jouera contre Bentalha.» Cette phrase n’a pas été du goût du premier qui répondit : «Non, bien qu’on ne soit pas en bonne santé, on ne jouera jamais en seconde division.»
    Au milieu de la journée, alors qu’on était en pleine tournée dans les artères de la ville des Genêts, on a croisé un jeune supporter qui voulait s’exprimer sur la situation actuelle de son équipe : «La défaite de lundi dernier était prévisible.
    L’été passé, on n’a pas renforcé l’équipe par des éléments de valeur. Cela est devenu une habitude à la JSK, à chaque fois qu’on termine la saison avec un titre, on passera par la suite une mauvaise saison. Il faut renforcer les rangs de l’équipe par des éléments de qualité durant le mercato hivernal et faire la même chose en fin de saison. Chaque été, la direction devra renforcer l’équipe par des bons éléments capables de ramener un plus et de maintenir toujours l’équipe au sommet», dira Nourdine Tifoun, un jeune commerçant de 35 ans qui habite la haute ville. Une demi-heure après, un homme de 68 ans, qui répond au nom de Barèche Rabah et qui habite le centre-ville, tiendra presque le même langage que le premier questionné : «Moi j’ai été toujours proche de la JSK, je me souviens toujours qu’après un titre, on trouvait d’énormes problèmes la saison d’après.
    En ce qui concerne la défaite de lundi, elle est amère, je ne pouvais pas la digérer. On menait au score et au moment où il fallait faire tout pour préserver le score, les joueurs ont baissé les bras. Malgré ma grande déception, j’ai un espoir quand même. Enfin, je pense qu’un renfort de l’équipe est plus qu’urgent.»
    Pour sa part, Younès M., un jeune supporter, n’est pas allé de main morte pour dire ce qu’il en pense : «A ce rythme, on est en train de vivre le même scénario que celui du MCO la saison écoulée. Après chaque défaite, on pense au prochain match et les choses ne bougent pas. C’est la catastrophe, il faut bouger, les dirigeants ne doivent pas oublier qu’on est à deux journées seulement de la fin de la première manche du championnat.» Dans le centre-ville, plus précisément à la rue de La Paix, Madjid, 50 ans, était installé dans un café. Ce dernier n’arrive toujours pas à trouver des explications à cette situation que vit son équipe préférée : «Comme face au MCA, on menait au score avant de perdre en fin de partie. Je ne comprends et j’essaye bien de trouver les solutions, on est avant-derniers, je suis abattu.»

    LES PLUS CHAUVINS DES SUPPORTERS RESTENT CONFIANTS
    Parmi les supporters qu’on avait rencontrés et questionnés par la même occasion, quelques-uns d’entre eux restent confiants. Aziz Harzi, 32 ans, propriétaire d’une parfumerie au centre-ville, nous avoue : «Moi, je ne suis nullement inquiet. On a déjà traversé des moments pareils par le passé et on a toujours relevé le défi par la suite. Je suis sûr que d’ici la fin de la phase aller, l’équipe relèvera la tête. Contre le CABBA, je m’attendais à une défaite, car après la défaite de jeudi passé devant le MCA le groupe n’avait pas le moral. Et puis, il ne faut pas oublier qu’on joue sans entraîneur. Enfin, je dirais qu’à la fin de la saison, on terminera parmi les quatre premiers.» Un autre jeune de 33 ans qui répond aux initiales de A. M. est lui aussi confiant : «Vendredi face à l’ASO, on mettra une fin à cette série de mauvais résultats. La JSK a joué toujours les premiers rôles, et elle le fera encore cette saison. Malgré le mauvais départ en championnat, je suis persuadé qu’on va revenir en force. Et puis, il y a aussi la coupe d’Algérie. Enfin, je suis sûr qu’on terminera la saison en beauté», conclut ce jeune supporter.
    Khaled H.
    Hannachi : «Aucun joueur ne sera libéré pour l’instant»
    Lors d’une conversation téléphonique qu’on a eue hier avec lui, le président Moh-Chérif Hannachi nous a affirmé qu’aucun joueur ne sera libéré. «Au moment où je vous parle, on n’a pas encore arrêté la liste des libérés», nous a-t-il dit. Les joueurs doivent donc se concentrer sur les 4 matches restants et chacun d’entre eux doit donner le meilleur de lui-même, pour gagner sa place au sein de l’équipe et par conséquent, bénéficier de la confiance de ses dirigeants.»

    Face à l’ASO, la JSK compte sur son public
    En raison de la mauvaise passe que traverse l’équipe, les dirigeants, le staff technique ainsi que les joueurs espèrent qu’une seule chose, celle d’être soutenus par leur public dans ces moments difficiles. «On sait que les fans sont très déçus par nos derniers résultats, mais on a besoin de leur soutien pour tenter de relever le défi. Nous ne pouvons rien faire sans eux et c’est pour cela que nous comptons sur leur présence massive face à l’ASO. Nous leur promettons que nous ferons le maximum pour les satisfaire», nous ont-ils affirmé.
    N. B.

    Chaouchi perd sa notoriété
    L'une des déceptions de l'équipe kabyle lors des dernières semaines qui ont coïncidé avec la baisse de régime des Canaris est certainement le portier Fawzi Chaouchi.
    En effet, malgré le fait que la défense kabyle n'est pas aussi innocente qu'on le penserait, le rendement de l'enfant de Bordj Menaiel est très en dessous de ce qu'il a l'habitude de nous offrir.
    Les trois buts encaissés par l'ancien goal de la JSBM n'ont fait que confirmer que ce dernier est réellement en méforme. On pense notamment au premier but marqué par Hachoud, lundi, sur un coup franc direct. Les fans kabyles présents à Bordj n'ont pas manqué l'occasion d’exprimer leur colère et leur dégoût à Chaouchi à la sortie du stade. Ils lui ont dit des paroles qui lui donneront sans doute à réfléchir, dans la mesure où certains d'entre eux sont carrément allés jusqu'à l'accuser de tricherie et d'insouciance en le désignant comme principale cause de ce passage à vide et même de la crise qu'est en train de vivre la JSK.
    Depuis le départ d'Ifticène, les fans kabyles pensent que les malheurs de leur team proviennent tous de Chaouchi, d'où leur comportement à la sortie du stade de Bordj.
    Selon des échos provenant de la maison kabyle, la direction songe cette fois-ci sérieusement à recruter cet hiver un gardien de but qui sera capable de secouer le keeper rebelle des Jaune et Vert, une manière de préparer son possible départ vu que son contrat prendra fin au mois de juin prochain.
    S. M. A.

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    • #3
      anwali zithiss ma dhwin ousskitar

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      • #4
        saib,...n'en parlons plus!!!

        et c'est quand qu'on vire chaouchi ? ...(j l'aime po lui!!!)


        anwali zithiss ma dhwin ousskitar

        hihhiihi lol

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        • #5
          lorsque les joueurs de la jsk mangaient ezzith uzemmour, c'était la jumbo-jet, thoura ils mangent ezzith sangou

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          • #6
            je le connais pas cet entraîneur, on va voir ce qu'il vaut...
            Je suis une Légende, je suis l'Histoire: je suis BYLKUSDU94!

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            • #7
              t'inquiètes pas bylkus, parole de khalef

              C’est comme s’il était écrit quelque part que Jean-Christian Lang allait entraîner la JSK. Depuis tout ce temps que l’on annonçait le Français à la barre technique du club champion d’Algérie en titre, beaucoup d’eau aura coulé sous les ponts et plusieurs noms ont défilé. Les premiers contacts avec le coach français remontent à juin dernier lorsque Hannachi s’est mis sur la piste de Lang après que le départ de Moussa Saïb s’était confirmé. Tout allait dans le sens voulu et Lang était sur le point de donner son accord, avant que tout ne tombe à l’eau. A la JSK, on s’est dès lors mis à penser à la manipulation ! Quoi qu’il en soit, le CV de Jean-Christian Lang est ressorti de nouveau du placard après le départ de Younès Ifticen. C’est vrai qu’à ce moment-là, toute l’attention s’était focalisée sur l’ex-coach de l’Entente de Sétif, Bernard Simondi, mais il n’en demeure pas moins que Hannachi a laissé la porte entrouverte pour Lang. «Si on ne conclut pas avec Simondi, ce sera Lang», nous disait alors Hannachi. Les deux parties étant déjà tombées d’accord sur le principe, Lang était presque prêt à sauter dans le premier avion pour Alger, lorsque Moussa Saïb refait surface pour se faire propulser à la tête de la barre technique et ce contre toute attente. L’on croyait dès lors que la question de l’entraîneur était définitivement réglée, mais voilà que Saïb décide de faire machine arrière. Encore une fois, Hannachi s’est retrouvé obligé à «re»consulter les CV sous le coude et c’est le nom de Jean-Christian Lang qui aimante, encore une fois, allions-nous dire, l’intérêt. Etant déjà tombé d’accord sur le principe, une première fois, il ne restait plus à Hannachi qu’à relancer le Français. Chose qu’il fera mardi soir. Le contact étant de nouveau noué, il n’en fallait pas plus qu’un court instant à Hannachi pour convaincre Lang d’entraîner la JSK. La question financière qui faisait office de pierre d’achoppement entre les différents entraîneurs que la JSK voulait engager a vite été réglée. Les deux parties sont tombées d’accord sur un salaire à hauteur de 10.000 euros. D’autres indiscrétions avancent même le chiffre de 11.000 euros, sans qu’une confirmation de la part de la direction kabyle nous soit donnée. Enfin, peut importe. Jean-Christian Lang sera donc officiellement le nouvel entraîneur de la JSK. Il succédera à Younès Ifticen lequel avait pris la place d’Alexander Moldovan. L’accord étant trouvé, Jean-Christian Lang s’est afféré depuis hier à régler les formalités de sa venue en Algérie, prévue, si tout se passe bien, pour demain. Le désormais nouvel entraîneur de la JSK s’est présenté hier après-midi au consulat d’Algérie à Montpellier pour se faire délivrer un visa d’entrée, mais il a été prié de se revenir ce matin étant donné que le service en question ferme ses guichets à midi. Quoi qu’il en soit, Jean-Christian Lang n’a pas perdu son temps, puisque, entre-temps il s’est occupé de régler l’assurance voyage. Jean-Christian Lang espère embarquer tôt demain matin vers Alger a fin d’assister l’après-midi au match devant opposer la JSK à l’ASO.
              A. A. A.
              «J’espère être à Tizi vendredi»
              • On croit savoir que votre nomination à la tête de la JSK est désormais officielle ...
                Je crois que le président s’est exprimé à ce sujet, il est bien placé pour le faire. En ce qui me concerne, je peux vous dire que normalement tout est OK.
              • Où en êtes-vous avec les formalités de demande de visa ?
                Je me suis rendu en début d’après-midi (ndlr : entretien réalisé mercredi) à Montpellier pour récupérer mon visa, mais sur place, on m’avait dit que je devais me présenter le matin. Je dois donc y retourner demain. Mais je ne suis pas resté les bras croisés puisque en ce moment je suis dans une agence d’assurance pour souscrire une assurance-voyage.
              • Donc il y a possibilité que vous arriviez vendredi ?
                Bien évidemment, si je récupère mon visa demain et que j’ai le billet d’avion, je viendrai dès vendredi matin.
                Apparemment, vous avez hâte d’entamer votre nouvelle mission
                Bien évidemment car je crois qu’il y a urgence de commencer le travail. Ce que je veux avant tout c’est de pouvoir assister au match de vendredi pour me faire une idée précise sur l’équipe.
                Entretien réalisé par
                Ali Hamouche
              Khalef : «Lang est un bon choix»
              A l’intersaison, la JSK était tout près d’engager l’entraîneur Jean-Christian Lang. Les pourparlers étaient en bonne voie avant que le technicien français ne décline l’offre pour des raisons qui lui sont propres. Ce que beaucoup de gens ignorent, c’est que, tout comme pour le Roumain Alexander Moldovan, c’est Mahieddine Khalef qui avait conseillé au président de la JSK d’engager l’ex-entraîneur d’Al Djadida. Il était donc normal de prendre attache avec Mahieddine Khalef pour connaître son avis sur le choix de Lang. «A mon avis, Lang est un bon choix au vu de son vécu dans le monde du football. C’est quelqu’un qui a un nom dans le football français, il s’est fait surtout un nom lorsqu’il était au FC Sochaux», dira l’ex-sélectionneur national.
              «A Al Djadida, avec peu de moyens, il avait terminé 3e»
              «Lorsqu’il était en France, j’ai seulement entendu parler de lui, c’est au Maroc que je l’ai connu. Il avait pris une petite équipe qui s’appelle Al Djadida. Avec le peu de moyens dont il disposait, l’équipe a concurrencé les grands clubs marocains et elle a pu décrocher la troisième place à l’issue de la saison. Par la suite, il est parti car la direction du club ne s’est pas décidée à mettre les moyens comme il l’avait souhaité. Par la suite, il avait pris le MAS de Fès, mais il n’est pas resté longtemps pour des raisons que je ne connais pas»
              «Il peut relever le défi à condition qu’il commence par un bon résultat»
              «A présent, il débarque dans un moment un peu particulier car il y a une grande différence entre prendre une équipe à l’intersaison et le faire au milieu de la saison. A mon avis, sa mission sera difficile, et pour qu’il réussisse, il est impératif qu’il commence par un bon résultat, ce qui le mettra en confiance et dissipera le doute qui ronge les joueurs»
              «La responsabilité des joueurs est grande»
              «Il est clair que les joueurs auront une grande responsabilité dans la réussite ou non de Lang. Ils doivent tout mettre en œuvre pour aider leur nouvel entraîneur à s’adapter rapidement. Sans une entraide entre les deux parties, la JSK ne pourra pas sortir de cette zone rouge»
              «Ils doivent retrouver la hargne de la coupe d’Afrique»
              «Je ne crois pas que le problème de la JSK soit récurrent. Je ne comprends pas pourquoi une équipe qui a battu les meilleurs clubs africains, n’arrive pas à s’imposer en championnat face à des adversaires de moindre calibre. A mon avis, si les joueurs veulent renouer avec le succès, ils doivent retrouver la hargne dont ils ont fait preuve en coupe d’Afrique.»
              «Il faut un autre attaquant»
              «Tout le monde sait que le problème majeur de la JSK se situe au niveau de la ligne d’attaque. Je sais que le président a déjà recruté un attaquant de pointe, mais je pense que cela reste insuffisant. Il faut encore ramener un autre attaquant pour donner un réel plus.»
              M. S.

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              • #8
                c'etait l'entraineur du DHJ du Maroc,j'avoue que c'est un bon coach,il aime bien la qualité de jeu,et prend plaisir a attaquer plutot que de se replier.

                de tt les club marocain le dhj etait le club qui avait le jeu le plus complet et plus de "fraja"(zaama kif lbarça )

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                • #9
                  tu as raison carlos, mais dans le football, seuls les résultats comptent... le palmarès importe peu...
                  Je suis une Légende, je suis l'Histoire: je suis BYLKUSDU94!

                  Commentaire


                  • #10
                    c'etait l'entraineur du DHJ du Maroc,j'avoue que c'est un bon coach,il aime bien la qualité de jeu,et prend plaisir a attaquer plutot que de se replier.

                    de tt les club marocain le dhj etait le club qui avait le jeu le plus complet et plus de "fraja"(zaama kif lbarça )
                    merci midou, tu me rassures vraiment

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