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Na Cherifa n'est plus

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  • Na Cherifa n'est plus

    La chanteuse Cherifa est décidée mardi soir à l'age de 82 ans


    مازال الموت يحصد أسماء من عمالقة الفن في الجزائر، فبعد الممثلتان، دوجة وفليفلة، اللتان وافتهما المنية منذ أيام، اليوم يفقد الوسط الفني واحدة من أهم الأصوات، التي صنعت أفراح ومجد الأغنية القبائلية الفلكلورية الأصيلة وهي خالتي شريفة، كما تلقب في الساحة الفنية، رحمها الله، التي انتقلت إلى جوار ربها، مساء يوم الثلاثاء، عن عمر يناهز الـ82 سنة. اسمها الحقيقي ''وردية بوشملات'' من مواليد 9 جانفي 1926 بمدينة ايلماين بأقبو بمدينة بجاية. بدأت الفن وعمرها لم يتعدى الثامنة، حيث كانت مختصة في آلة البندير، رغم رفض عائلتها دخولها عالم الفن. وفي سن الثامنة عشر، قررت ترك مدينة أقبو لتستقر في العاصمة وتترك أهلها الذين مانعوا احترافها الغناء والفن واشتهرت انذاك بأغنية ''أبقى والا خير اقبو'' في 1952 ومنها كانت انطلاقتها الفنية الحقيقية، حيث كانت كلما سجلت اسطوانة، إلا وتنجح بها، منها ''ايازرزور''، عام 1956 و''ازواو'' عام1972 و''أهيها''. سِجل المطربة المرحومة يضم أكثر من 800 أغنية، معظمها ناجحة ومازالت حية لليوم وأكبر المطربين مازالوا يصنعون أمجادهم بها على غرار المطربة حسيبة عمروش التي نجحت كثيرا بالأغنية القبائلة على طريقة خالتي شريفة مثل ''الورد ايفيرس'' و''مبروك العرس''.رحم الله المطربة وألهم ذويها الصبر والسلوان وأسكنها فسيح جنانه. وبهذه المناسبة الأليمة يتقدم طاقم ''النهار'' بتعازيه القلبية لعائلة المرحومة. إنا لله وإنا اليه راجعو

  • #2
    Que Dieu l'accueille dans son vaste paradis et qu'elle repose en paix.


    Une grande dame qui s'éteint. Je suis très triste.
    Ne soyez point en peine de moi, j'ai retrouvé mes ailes.

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    • #3
      Que dieu ait son ame. Une grande dame de la chanson algerienne qui nous quitte. Jèspere que les medias algeriens sauront lui rendre hommage.
      Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

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      • #4
        Tu es sur un site francophone et ce n'est pas tout le monde qui lit l'arabe alors le poster en français ou le faire traduire aurait été mieux.

        Bref, que Dieu lui accorde miséricorde et lui ouvre les portes de son paradis (ad sdyeldi rebbi thiboura neljenneth ) que Dieu allège la douleur de sa famille( ad dyefk rebbi sber imawlan -is)
        Je vis de sorte que personne ne se réjouisse de ma mort ..
        .................................................. .................................
        Llah yerhmek notre rico.

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        • #5
          Oh non! je suis degouté!!!
          Qu'Allah lui accorde le paradis,une pensée à la famille,nous partageons leurs douleurs,vraiment!

          Que dire...un monument de la culture algerienne et Amazigh,Na Cherifa
          Dernière modification par funky-dziri, 27 novembre 2008, 00h09.
          "Que choisir entre la vie et l'honneur?
          La première est plus belle mais l'honneur est plus eternel!"
          Ali Gouasmi (Allah y rahmou)

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          • #6
            je suis degouté!!!

            Il faut pas mon ami, ce sont des choses de la vie.
            Ne soyez point en peine de moi, j'ai retrouvé mes ailes.

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            • #7
              Abka âla Khir Ay Akbou

              Chérifa



              Chérifa, de son vrai nom, Ouardia Bouchemlal, née le 9 Janvier 1926 à Ilmayen, dans la région d'Akbou (Petite Kabylie), est une chanteuse de musique traditionnelle kabyle.

              Biographie

              Toute petite, on l'envoyait faire paître le troupeau familial et se découvre un joli filet vocal dès l'âge de sept ans. La simple écoute d'un roulement de bendir la poussait à se précipiter sur les lieux de la fête. Mais en Kabylie comme dans d'autres sociétés imbibées d'islam, si on apprécie les musiciens; on en souhaitait pas pour autant en avoir en famille. Chérifa, très tôt orpheline de père et placée sous la tutelle de ses oncles après le remariage de sa mère, recevait des corrections sévères pour ses escapades musicales.
              A l'âge de dix huit ans, celle qui n'a jamais été scolarisé et qui a grandi pieds nus en mangeant un jour sur trois et sans presque rien, décide de quitter sa région natale et de vivre de sa vocation ailleurs. Dans le train qui la conduisait vers Alger, elle compose Abka Wala Khir ay Akbou (« Adieu Akbou »), le titre qui fera sa renommée et qui demeure toujours aussi populaire.
              Dans les années quarante, elle chante à la radio en échange d'un cachet équivalant à 100€ (somme énorme à l'époque) et s'impose rapidement comme la maîtresse du chant kabyle. Pendant des années, elle tourne un peu partout en Algérie et enregistre de nombreux morceaux, soit de sa composition, soit puisés dans le patrimoine folklorique. Tous des succès.
              Chérifa ne se souvient plus du nombre mais approximativement, elle compte plus de 800 chansons dans son répertoire. Cependant, elle n'a pas vraiment bien vécu de sont art : dépouillée par le fisc alors qu'elle ne toucha aucun droit d'auteur, elle stoppe tout dans les années soixante dix. Pour vivre, elle se retrouve à faire des tâches ménagères à la télévision algérienne, oubliée de tous quand, pendant ce temps, les grands artistes de son époque (aujourd'hui encore) pillent sans vergogne son répertoire alors que sa notoriété est déjà grande. Ce n'est qu'au cours de la décennie suivante que les jeunes la redécouvre et la place en tête d'affiche lors de tournée.
              Chérifa n'a eu droit à la reconnaissance que tardivement. C'est la souffrance qui lui a inspiré ces chants tellement forts et traversés par une émotion indicible. Elle reste dans les mémoires comme la spécialiste des préludes (chouiq) et des chants d'amour (Ahiha). Les poèmes et les mélodies qu'elle compose s'inspirent des chansons traditionnelles mais aussi de sa propre expérience. Elle chante la vie sous tous ses aspects.

              Ses chansons [modifier]
              • Abka Wala Khir Ay Akbou (1952)
              • Aya Zerzour (1956)
              • Azwaw (1972)
              • Sniwa Dhi Fendjalen (1990)
              Aujourd'hui, Chérifa vit entre Paris, Alger et sa Kabylie natale et poursuit sa carrière en se produisant au gré des galas. A Paris à l'Olympia en 1993, l'Opéra Bastille en 1994 et plus récemment, en 2006 au Zénith de Paris où quelques treize mille personnes ont assisté à son concert.

              ps; la revanche: t'as raison
              Dernière modification par carlos, 27 novembre 2008, 00h18.

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              • #8
                je me suis mal exprimé,c'est vrai.
                On va dire que je suis triste,comprenez le ainsi.
                "Que choisir entre la vie et l'honneur?
                La première est plus belle mais l'honneur est plus eternel!"
                Ali Gouasmi (Allah y rahmou)

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                • #9
                  Quel parcours et quel destin.
                  Ne soyez point en peine de moi, j'ai retrouvé mes ailes.

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                  • #10
                    Lol fallait pas prendre la mouche pour si peu, en tout cas merci pour l'article
                    Je vis de sorte que personne ne se réjouisse de ma mort ..
                    .................................................. .................................
                    Llah yerhmek notre rico.

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                    • #11
                      Allah Yarhamha.

                      إنا لله و إنا إليه راجعون

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                      • #12
                        aterheme rebi
                        personne n'oublira. Elle sera toujours vivante au traver de ses chansons.

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                        • #13
                          Allah yarhamha, j'aime beaucoup cette dame.

                          Sniwa Dhi Fendjalen (1990)
                          1990 ? ça me paraît bien suspect ça.

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                          • #14
                            Sniwa Dhi Fendjalen (1990)
                            Complétement faux.
                            Je l'ai toujours connu cette chanson. C'est la plus jouée dans les fetes.

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                            • #15
                              je l'apprends à l'instant ... Nna ch'rifa est décédée ... quelle perte !

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