Cette femme est une créature diabolique. Le fait qu'elle eut planifié le massacre de ses enfants me fait dire qu'elle avait ses facultés mentales et savaient ce qu'elles faisaient. Logiquement, elle devrait être exécutée, mais en Belgique, la peine de mort est abolie.
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Une femme égorge ses cinq enfants en Belgique
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Ici en Belgique tout le Monde Parle Justement de Cette Flamande :22: , meme une Emission Radio a été consacré pour ce sujet et y'avait Pas mal d'interventions de la part du public .... Ca reste Incomprehensible .... Mais l'enquette est en cour pour détérminer les Causes de Cet Acte Barbare ....
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La Criminelle s'excuse auprès de son mari
Bouchaïb Moqadem a réfuté mardi devant la cour d'assises du Brabant wallon avoir jamais exercé au cours de leur vie commune la moindre violence à l'égard de Geneviève Lhermitte et de leurs cinq enfants que cette dernière a égorgé le 28 février 2007. Il a qualifié leur vie de "normale", une vision de leur couple qui contraste avec celle donnée par son épouse.
"Désolée de t'avoir arraché les enfants"
A l'issue de son audition, Geneviève Lhermitte a dit comprendre sa souffrance et lui a demandé pardon. "Je suis désolée d'avoir arraché les enfants à ta vie", a-t-elle dit. Interrogée par le président, Geneviève Lhermitte a expliqué qu'elle ne s'était pas rendue compte de la souffrance et de la peur qu'ont dû éprouver ses enfants quand elle les a tués. Ce n'est qu'à la vue des photos du dossier judiciaire que "je me suis rendu compte qu'ils ont dû souffrir, avoir très mal", a-t-elle dit. "C'est la réalité qui m'a éclaté en pleine figure", a-t-elle ajouté.
Idées suicidaires
Elle a confié que, peu avant les faits alors que son mari était au Maroc, elle avait des idées suicidaires. "Je voulais mourir mais ne pouvais pas laisser mes enfants à mon mari qui ne s'occupait absolument pas d'eux", a-t-elle dit, parlant d'un homme "qui ne foutait rien". Entendu, Bouchaïb Moqadem a expliqué qu'il ne s'était pas rendu compte de ce mal-être qui rongeait sa femme.
"Des hauts et des bas"
Il a nié avoir jamais été violent envers sa femme. Il a simplement parlé de "hauts et de bas, comme dans n'importe quel couple".
Aujourd'hui encore, il ne comprend pas pourquoi sa femme ne pouvait plus supporter la présence du docteur Schaar à la maison. "Le Dr Schaar, c'est un père adoptif. C'est un membre de la famille. On ne peut refuser quelqu'un de la famille", a-t-il dit. "Schaar ne voulait que notre bonheur et notre confort", a-t-il ajouté.
Confrontation
Geneviève Lhermitte a enfoncé le clou lorsque le président de la cour d'assises lui a donné l'occasion d'interroger son mari, citant une série de dépenses entièrement prises en charge par le Dr Schaar. Il a encore démenti avoir coupé Geneviève Lhermitte de sa propre famille. "C'est elle qui a fait le choix de ne plus aller chez ses parents car ils représentaient son enfance de tortures", a estimé Bouchaïb Moqadem. Il a dit n'avoir appris que tout récemment que son épouse voyait encore en cachette sa soeur.
Cette confrontation des points de vue a illustré le fossé qui s'est encore creusé entre le mari et la femme depuis l'assassinat des enfants. Bouchaïb Moqadem a estimé que Geneviève Lhermitte noircit leur vie commune. "Les enfants ont été massacrés. Il fallait massacrer le papa et effacer la mémoire des enfants", a-t-il estimé.
Geneviève Lhermitte a laissé entendre, qu'alors qu'elle était en prison, Bouchaïb Moqadem a voulu qu'elle masque certains des aspects de leur vie. "Pourquoi m'a-t-il dit de ne pas parler de Schaar? ", "Pourquoi m'avoir demandé de dire que je préfère l'internement aux assises? ", lui a-t-elle demandé, sans obtenir vraiment de réponse, via le président de la cour d'assises. Le Dr Schaar était entendu mardi après-midi.
(belga/CB) 09/12/08
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