Les recherches s'orientaient vers une femme vêtue de noir après la disparition mardi d'un bébé de deux jours à la maternité d'Orthez, a indiqué dans la nuit de mardi à mercredi le procureur de la République de Pau.
Dès la disparition du nourrisson, le plan "Alerte enlèvement " a été déclenché.
La mère du bébé, un petit garçon prénommé Diango, a constaté vers 16H30 sa disparition dans sa chambre en sortant de la salle de bains où elle était occupée à prendre sa douche. "La personne en a profité à ce moment-là", a souligné le commandant Ponty, chargé de la communication de la gendarmerie d'Aquitaine.
La maman, 31 ans, est originaire de Biarritz. Le nourrisson était vêtu d'une grenouillère orange et verte.
Des témoins auraient vu une femme "de type européen, âgée de quarante à cinquante ans" vêtue d'un manteau noir, emmener le bébé, a indiqué à l'AFP en fin de journée le procureur Erick Maurel.
"Nous avons travaillé d'ores et déjà sur l'entourage familial, mais l'axe principal d'effort, c'est les témoignages que nous avons reçus sur cette femme qui aurait pénétré dans l'établissment et qui aurait emporté l'enfant", a expliqué à la presse Erick Maurel, devant l'hôpital d'Orthez, dans la nuit de mardi à mercredi.
"Nous commençons a avoir un certain nombres d'informations", a-t-il ajouté, sans autres précisions. "Nous ne fermons aucune hypothèse de travail", a toutefois affirmé M. Maurel.
D'après le colonel de gendarmerie Xavier Ducept, "depuis 20H00 de très nombreux témoignages nous arrivent et doivent être exploités au plus vite". Il a aussi souligné "l'excellente participation de la population".
"La maman est en état de choc", ajoutait mardi M. Maurel, évoquant une famille sans histoires. L'alerte a été donnée vers 17H30 à la gendarmerie d'Orthez qui a été chargée de l'enquête, selon le parquet.
Le plan "Alerte enlèvement", un dispositif d'alerte massive et immédiate pour rechercher un enfant enlevé, a été déclenché peu après 20H00.
Adopté en France en février 2006, ce plan consiste à lancer à la radio, à la télévision et sur les panneaux des gares et autoroutes, une alerte massive pour mobiliser la population à la recherche d'un enfant enlevé et de son ravisseur présumé.
Le message d'alerte précise que la suspecte est une femme "de grande taille et corpulente de type européen, cheveux courts foncés, vêtue d'un manteau noir". "Si vous localisez l'enfant ou la suspecte, n'intervenez pas vous-même mais appelez la gendarmerie au numéro 0800 36 32 68 ou 0800ENFANT", ajoute le message.
Dès l'alerte donnée par la mère, la gendarmerie a mis en place un dispositif de recherche dans l'enceinte de l'hôpital, à proximité de l'établissement et à la gare d'Orthez. Simultanément, des patrouilles avec contrôles d'identité ont été organisées à toutes les sorties de la ville.
Un plan Epervier a également été mis en place dans les Pyrénées-Atlantiques, puis étendu aux départements voisins ainsi qu'aux postes frontières, selon la gendarmerie.
Une quarantaine d'enquêteurs s'occupent de l'audition des témoins et une centaine de gendarmes ont été déployés sur le terrain.
Dès la disparition du nourrisson, le plan "Alerte enlèvement " a été déclenché.
La mère du bébé, un petit garçon prénommé Diango, a constaté vers 16H30 sa disparition dans sa chambre en sortant de la salle de bains où elle était occupée à prendre sa douche. "La personne en a profité à ce moment-là", a souligné le commandant Ponty, chargé de la communication de la gendarmerie d'Aquitaine.
La maman, 31 ans, est originaire de Biarritz. Le nourrisson était vêtu d'une grenouillère orange et verte.
Des témoins auraient vu une femme "de type européen, âgée de quarante à cinquante ans" vêtue d'un manteau noir, emmener le bébé, a indiqué à l'AFP en fin de journée le procureur Erick Maurel.
"Nous avons travaillé d'ores et déjà sur l'entourage familial, mais l'axe principal d'effort, c'est les témoignages que nous avons reçus sur cette femme qui aurait pénétré dans l'établissment et qui aurait emporté l'enfant", a expliqué à la presse Erick Maurel, devant l'hôpital d'Orthez, dans la nuit de mardi à mercredi.
"Nous commençons a avoir un certain nombres d'informations", a-t-il ajouté, sans autres précisions. "Nous ne fermons aucune hypothèse de travail", a toutefois affirmé M. Maurel.
D'après le colonel de gendarmerie Xavier Ducept, "depuis 20H00 de très nombreux témoignages nous arrivent et doivent être exploités au plus vite". Il a aussi souligné "l'excellente participation de la population".
"La maman est en état de choc", ajoutait mardi M. Maurel, évoquant une famille sans histoires. L'alerte a été donnée vers 17H30 à la gendarmerie d'Orthez qui a été chargée de l'enquête, selon le parquet.
Le plan "Alerte enlèvement", un dispositif d'alerte massive et immédiate pour rechercher un enfant enlevé, a été déclenché peu après 20H00.
Adopté en France en février 2006, ce plan consiste à lancer à la radio, à la télévision et sur les panneaux des gares et autoroutes, une alerte massive pour mobiliser la population à la recherche d'un enfant enlevé et de son ravisseur présumé.
Le message d'alerte précise que la suspecte est une femme "de grande taille et corpulente de type européen, cheveux courts foncés, vêtue d'un manteau noir". "Si vous localisez l'enfant ou la suspecte, n'intervenez pas vous-même mais appelez la gendarmerie au numéro 0800 36 32 68 ou 0800ENFANT", ajoute le message.
Dès l'alerte donnée par la mère, la gendarmerie a mis en place un dispositif de recherche dans l'enceinte de l'hôpital, à proximité de l'établissement et à la gare d'Orthez. Simultanément, des patrouilles avec contrôles d'identité ont été organisées à toutes les sorties de la ville.
Un plan Epervier a également été mis en place dans les Pyrénées-Atlantiques, puis étendu aux départements voisins ainsi qu'aux postes frontières, selon la gendarmerie.
Une quarantaine d'enquêteurs s'occupent de l'audition des témoins et une centaine de gendarmes ont été déployés sur le terrain.
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