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Djeha: roublardises, bouffonneries, facéties et autres anecdotes

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  • #16
    Jha à Biskra.

    Un jour, les Biskris voulurent jouer un tour à Jha. Ils le défièrent de grimper un palmier, pour ainsi lui dérober ses babouches. Jha releva le défi, enleva ses babouches, les logea sous sa ceinture, et commencea à grimper. Les Biskris s'écrièrent: «Mais Jha, pourquoi tu prends tes babouches avec toi? c'est plus aisé de grimper sans.»
    Jha leur répondit: «Il se peut qu'une fois en haut, de palmier en palmier, je rentre chez moi.»
    ¬((P(A)1)¬A)

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    • #17
      "Si elle ne fait pas ceci, elle fera cela !" ( "idha ma jach, iji !") criait J'ha au souk une peau sur son épaule...
      Intrigués, les acheteurs firent des enchères et quand le prix fut assez haut, j'ha cèda sa peau...

      - Et c'est quoi le ceci et le cela qu'elle fera ? demanda l'heureux acquéreur.
      J'ha:
      - si ca ne fait pas une outre, ca fera un bendir....

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      • #18
        Comment donner à Dieu…

        Nasruddin Khodja, Mullah Nasruddin et Si Jha discutent de comment donner à Dieu.

        Khodja :
        - Chaque soir, je trace un cercle sur le sol. Je me mets au centre et je jette en l’air tout ce que j’ai gagné pendant la journée. Ce qui retombe à l’intérieur du cercle je garde ; tout ce qui est au-delà appartient à Dieu.
        Mullah :
        - Je fais un peu comme toi, Khodja… seulement je garde ce qui retombe à l’extérieur du cercle, l’en-dedans appartenant à Dieu.
        Si Jha :
        - Mes chers collègues, moi aussi je fais de façon assez semblable à la votre, avec toutefois une petite différence; chaque soir, je jette tout ce je gagne la journée vers le ciel, et je dis à Dieu : «Seigneur, tout T’appartient ; Prends tout ce que Tu veux.» Tout ce qu’Il daigne laisser retomber par terre, je garde.
        ¬((P(A)1)¬A)

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        • #19
          hahahahahaha
          C'est la meilleure !
          je ne la connaissais pas celle-là non plus

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          • #20
            ya Si Bachi, tu ne la connaissais pas parceque matrouza...
            ¬((P(A)1)¬A)

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            • #21
              Quel âge as-tu?

              - Jha, quel âge tu as?
              - 2 ans de moins que l'Imam.
              - et comment sais-tu cela?
              - l'année dernière, j'ai entendu le Qadi dire que j'avais 3 ans de moins que l'Imam.
              ¬((P(A)1)¬A)

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              • #22
                Un plaisir que de passer par ici!

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                • #23
                  A chaque nuit, J'ha entendait sa mère quitter sur la pointe des pieds la chambre commune pour aller rejoindre son amant. Il faisait comme s'il n'en savait rien...
                  Un jour la maman j'ha supplia son fils:
                  - j'Ha ya weldi, achète-moi des souliers! Mes pieds n'en peuvent plus...
                  J'ha prit alors un boite vide et des ciseaux et lui confectionna des sandales en carton.
                  - Mais j'ha, que veux-tu que je fasse avec ça ?
                  _ Mère, de la manière que tu marches la nuit, ca te tiendra des années.

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                  • #24
                    jeha en avait marre de ses 11 ânes , il décida alors de les vendre au souk dans un village voisin . Il monta un et les 10 autres suivaient , après quelques kms de marche il compta ses anes et il en trouve que 10 , croyant qu'on lui a piqué un il descent du dos de l'ane et recompta de plus près , et il trouva 11 , il monte , il recompte il y a 10 anes , il descend il recompte il trouve 11 , il a décidé de continuer le chemin à pieds en disant vaut mieux marcher et garder mes ânes que de monter et en perdre un .

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                    • #25
                      A chaque nuit, J'ha entendait sa mère quitter sur la pointe des pieds la chambre commune pour aller rejoindre son amant.
                      ... et un jour son amant lui donna une petite jarre pleine de pièces d'or... et la maman à Jha, craignant que l'amant ne changeasse d'avis, chargea son fils de cacher la jarre dans la colline et de bien marquer l'endroit. Quand Jha revint, sa maman lui demanda comment il avait marqué l'endroit de la cachette. Et Jha, tout fier, de répondre: «Maman, je n'ai même pas eu à m'en préoccuper. Louanges soient à Dieu le Très Haut qui l'a fait pour moi. Quand j'eut fini d'enterrer la jarre, un tout petit nuage marqua l'endroit de son ombre.»
                      ¬((P(A)1)¬A)

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                      • #26
                        Jha contrebandier

                        Il fut un temps où Jha traversait la frontière une fois par semaine. À chaque fois, il revint avec onze ânes, chaque âne chargé de deux bottes de foin. Et chaque fois, le douanier, convaincu que Jha y cachait quelque marchandise, fouilla le foin, mais dans le foin jamais ne trouva que du foin. Des années après, quand Jha se retira des affaires et que le douanier prit sa retraite, ce dernier demanda : «Dis-moi Jha, maintenant que tout ça est derrière nous, de quoi exactement faisais-tu la contrebande? » Jha : «Celle des ânes.»
                        ¬((P(A)1)¬A)

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                        • #27
                          hahahahaha hadi thani matrouza....

                          C'était à zouj bghal, le traffic ?

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                          • #28
                            C'était à zouj bghal, le traffic ?
                            beddat... bien que ça s'appelait thelt bghal avant que Jha n'y passa...
                            ¬((P(A)1)¬A)

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                            • #29
                              Saha ftourkoum


                              Un jour, le jeune Joha se demanda comment venait la mort,

                              il demanda donc à son père qui lui dit: "Ah tu sais, elle arrive par les pieds, ils sont d'abord tout froid, puis on ne les sent plus et la mort se propage le long du corp et tu n'y peux rien!".

                              Ayant sa réponse il ne posa plus de question.

                              Puis vint l'hiver et Joha devait aller dans la foret pour couper du bois, il faisait tres froid ce jour la et Joha travaillait depuis quelques heures maintenant,

                              il decida donc de faire une pause et s'endormi. Lorsqu'il se réveilla, il relira ses bottes et toucha ses pieds: ils étaient gelés! "Ca y est c'est la mort qui me prend!" pensa-t-il, puis il s'évanouit.


                              Des gens du village eux aussi venus chercher du bois le virent: "Au mon dieu mais c'est Joha! Il est mort! Ramenons le au village!" et ils l'emportère...

                              Ce jour la il y avait aussi beaucoup de bouillard et dans le froid et la fatigue les villageaois ne surent plus par où passer. C'est alors que Joha se leva et dit: "Moi quand j'étais vivant je suis passé par là-bas"

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                              • #30
                                Joha au marché:

                                Un jour au marché, il y avait un mendiant qui avait du pain mais rien à mettre à l'intérieur, et il y avait un stand où de merveilleuses merguez
                                se faisaient délicieusement dorer et qui avaient une odeur aléchante!


                                Alors vint l'idée au mendiant d'ouvrir son pain et de le mettre au dessus des merguezs pour imprégner le pain de l'odeur.

                                Lorsque le mendiant eu terminé son délicieux pain, le vendeur de merguez vint le trouver et lui demanda de payer l'odeur de ses merguezs . Bien entendu, le mendiant n'avait pas l'argent demandé et le vendeur s'énervait.

                                Joha, qui avait assisté à la scéne, demanda au vendeur quel était le prix qu'il demandait pour cette odeur. " J'en veut 3 pieces" répondit le marchand.

                                Alors Joha pris 3 piéces dans sa bourse, et les mit une par une dans la coupelle à piéces du marchand: glig; glig, glig !!!

                                Puis il les reprit. " Mais enfin! Pourquoi reprenez-vous mes pieces?! " s'écria le marchand!

                                Joha lui répondit alors: "Hé bien je vous ai payé Monsieur: J'ai payé l'odeur des merguezs avec le bruit que font les pièces!"

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