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La victoire égyptienne n’a pu se concrétiser –et par un tel score- que grâce au coup de pouce d’un arbitrage scandaleux du Béninois Koffi Codjia.
Dans sa demi-finale face à l’Algérie, l’équipe d’Egypte a joué seule sur le terrain. Elle a réussi à se qualifier sur le score de 4 buts à 0 face à une équipe qui a terminé le match avec huitjoueurs, trois éléments ayant été expulsés, deux défenseurs et le gardien de buts.
Plus clairement, la victoire égyptienne n’a pu se concrétiser –et par un tel score- que grâce au coup de pouce d’un arbitrage scandaleux du béninois Koffi Codjia.
Le président de la Confédération africaine de football (CAF), Issa Hayatou, a finalement fini par réagir clairement pour remettre en cause l’arbitrage du Béninois Koffi Codjia le qualifiant de « scandaleux », d’après l’agence qatarie de presse (QNA). Il a ajouté que Koffi Codjia a « commis beaucoup de fautes qui ont influencé sur le cours du match, et aussi qu’il devra s’expliquer prochainement devant la commission d’arbitrage de la CAF».
Maillon faible d’une partie de football qui aurait pu fournir un grand match de demi-finale de coupe d’Afrique des nations, l’arbitre a faussé le match et contribué grandement à « casser » l’équipe algérienne qui a la réputation d’être un groupe solide et solidaire. L’arbitrage de Codjia a donné une grande première à l’Egypte qui remporte sa première victoire sur l’Algérie… hors du Caire.
Pour beaucoup, M. Kodjia « aurait dû évoluer sur le terrain avec le maillot rouge égyptien…» Même l’arbitrage du Sud-Africain Jérôme Damon lors du quart de finale entre l'Égypte et le Cameroun sur le score de 3 but à 1 a.p a également été jugé négatif par le président de la confédération africaine de football Hayatou.
D’après lui, dans ce match, l’arbitre avait accordé un but aux Égyptiens sur un coup-franc direct d’Ahmed Hassan, mais le ralenti a montré que le ballon n’avait pas franchi la ligne. Mais malheureusement et, du coup, c’est encore une fois l’Egypte qui tire une victoire et réalise un grand pas vers le sacre final grâce, non pas à sa prestation et à la qualité de son jeu, mais à «un coup de pouce» de l’arbitre.
Ouest-Tribune.
Dans sa demi-finale face à l’Algérie, l’équipe d’Egypte a joué seule sur le terrain. Elle a réussi à se qualifier sur le score de 4 buts à 0 face à une équipe qui a terminé le match avec huitjoueurs, trois éléments ayant été expulsés, deux défenseurs et le gardien de buts.
Plus clairement, la victoire égyptienne n’a pu se concrétiser –et par un tel score- que grâce au coup de pouce d’un arbitrage scandaleux du béninois Koffi Codjia.
Le président de la Confédération africaine de football (CAF), Issa Hayatou, a finalement fini par réagir clairement pour remettre en cause l’arbitrage du Béninois Koffi Codjia le qualifiant de « scandaleux », d’après l’agence qatarie de presse (QNA). Il a ajouté que Koffi Codjia a « commis beaucoup de fautes qui ont influencé sur le cours du match, et aussi qu’il devra s’expliquer prochainement devant la commission d’arbitrage de la CAF».
Maillon faible d’une partie de football qui aurait pu fournir un grand match de demi-finale de coupe d’Afrique des nations, l’arbitre a faussé le match et contribué grandement à « casser » l’équipe algérienne qui a la réputation d’être un groupe solide et solidaire. L’arbitrage de Codjia a donné une grande première à l’Egypte qui remporte sa première victoire sur l’Algérie… hors du Caire.
Pour beaucoup, M. Kodjia « aurait dû évoluer sur le terrain avec le maillot rouge égyptien…» Même l’arbitrage du Sud-Africain Jérôme Damon lors du quart de finale entre l'Égypte et le Cameroun sur le score de 3 but à 1 a.p a également été jugé négatif par le président de la confédération africaine de football Hayatou.
D’après lui, dans ce match, l’arbitre avait accordé un but aux Égyptiens sur un coup-franc direct d’Ahmed Hassan, mais le ralenti a montré que le ballon n’avait pas franchi la ligne. Mais malheureusement et, du coup, c’est encore une fois l’Egypte qui tire une victoire et réalise un grand pas vers le sacre final grâce, non pas à sa prestation et à la qualité de son jeu, mais à «un coup de pouce» de l’arbitre.
Ouest-Tribune.