Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Sagesses quotidienne

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    c ça

    ce texte est magique
    des que tu le lis, ooooooooooop ça y est toute la haine
    et les sarcasmes s'évaporent
    c'est vrai que tout y est dans notre propre regard.....sure
    une très bonne mélodie d'amour et de fraternité.....ok
    une jolie morale à tirer pour traiter avec l'humanité........certes

    mais dites surtout pas que ça a quoi que ce soit
    à faire avec l'Affaire

    Algérie, Égypte
    Si tu oublies de rire de tout, la vie te fera pleurer d'un rien.....

    Commentaire


    • #17
      Le mari répondit :
      "PERSONNE.
      Je me suis levé tôt ce matin et j'ai lavé les vitres de notre fenêtre..."
      La maline, elle trouvé le moyen de lui faire faire une corvée...

      Commentaire


      • #18
        merci aygher pour l'histoire elle m'a plu pleine de sagesse
        bien dit 10/10 faut qu'on aprenne a vivre ainsi mais bon ....
        etawkab 100% les femmes sont connu pour ça les hommes ne font pas attention a ces trucs la .
        Quand c'est beau comme dans un rêve ,c'est encore plus beau parce que ce n'est pas un rêve .

        Commentaire


        • #19
          Sagesse quotidienne Facture acquittée

          Sagesse quotidienne Facture acquittée

          Un soir, pendant que maman préparait le souper, son petit garçon arrive dans la cuisine et lui présente un morceau de papier. Maman s'essuie les mains sur son tablier et commence à lire ce qui était écrit.
          Pour avoir tondu le gazon: 5 euro
          Pour le nettoyage de ma chambre cette semaine: 1.00 euro
          Pour avoir fait des emplettes pour toi: 0.50 euro ...
          Pour avoir gardé mon petit frère pendant que tu était au magasin: 0.25 cents
          Pour avoir obtenu un bon bulletin: 5.00 euros
          Pour avoir sorti les déchets: 1.00 euros pour nettoyage et râtelage de la cour : 2.00 euros
          TOTAL: 14.75 euros

          Sa mère le regarda droit dans les yeux. On pouvait voir, dans ses yeux étincelant, défiler une foule de souvenirs. La maman prit alors une plume, tourna la fueille et se mit à écrire au verso.

          Pour t'avoir porté pendant 9 mois: gratuit
          Pour toutes les nuits passées auprès de toi à prier et te soigner: gratuit
          Pour tout le temps et toutes les larmes dépensées pour toi depuis ta naissance: gratuit
          Pour toutes les inquiétudes: gratuit
          Pour tout les conseils, les connaissances transmise et le prix de tes études: gratuit
          Pour tes jouets, nourriture, tes vêtements et même t'essuyer les larmes et te moucher: gratuit
          Mon fils, si tu fais l'addition, tu constateras que le prix de mon amour pour toi est... gratuit
          Eh bien, quand le fils eut terminé de lire ce que sa maman avait écrit, deux grosses larmes coulaient sur ses petites joues.
          Le petit bonhomme regarda sa mère et lui dit :
          "MAMAN, COMME JE T'AIME!"
          C'est alors qu'il prit la plume et inscrivit en grosses lettres sur sa facture...
          PAYÉ AU COMPLET

          Fraternellement,
          Chahinez

          "Prévenir la trahison, débusquer le faux ami, le jaloux, le traître avant qu’il inocule son venin est une opération délicate, mais comme il est agréable après de savourer le doux parfum de la liberté"
          Ekram Majrouh
          "L'habit ne fait pas le moine", certes... mais... "si tu cherche un moine, cherche-le parmi ceux qui portent l'habit"...

          Commentaire


          • #20
            Il était une fois une course de grenouilles. L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour. Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les "soutenir". La course commença.

            Les gens ne croyaient vraiment pas possible que les grenouilles puissent atteindre la cime, et l’on pouvait entendre :

            ¨ Quelle peine !!! . Elles n’y arriveront jamais ! ¨

            Les grenouilles commencèrent à se résigner, sauf une qui continua de grimper avec fougue et enthousiasme et les gens continuaient :

            Quelle peine !!! Elles n’y arriveront jamais !

            A les entendre, toutes les grenouilles s’avouèrent vaincues, toutes ? sauf une qui continuait à insister.

            À la fin toutes se désistèrent, sauf notre amie la grenouille qui, seule et avec un énorme effort, atteignait le haut de la cime. Les autres voulurent savoir comment elle avait fait.

            L’une d’entre elles s’approcha et lui demanda son secret. A leur grande stupeur ils découvrirent que cette grenouille était sourde !
            Comme quoi, il faut croire en ses rêves et ne pas se laisser décourager par des personnes bêtes et méchantes. Personne d’autre que vous ne connait vos limites… Vous êtes, après Dieu, les seuls maîtres de votre destin.[/font]

            Fraternellement,
            Chahinez

            "L'amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l'emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus".

            Paulo Coelho .
            Dernière modification par aygher, 06 février 2010, 07h59.
            "L'habit ne fait pas le moine", certes... mais... "si tu cherche un moine, cherche-le parmi ceux qui portent l'habit"...

            Commentaire


            • #21
              Il était une fois un Imam, nommé Haselhoef. Un matin il arriva a la mosquée avec une vielle cage d'oiseau rouillée et la posa sur une chaise. De nombreux sourcils furent froncés


              L'imam Haselhoef commença à raconter :

              "Hier, alors que je marchais dans la ville, je vis un petit garçon avec cette cage à la main. Au fond de la cage, deux petits oiseaux grelotaient de peur.

              Je me suis arrêté et je lui ai demandé : "Qu'as-tu là mon enfant?"

              Le petit garçon répondit : "Deux vieux oiseaux".

              Et que vas-tu en faire?"

              Il répondit : "Je vais les prendre à la maison et m'amuser avec. je vais leur retirer les plumes et les laisser se battre ensemble, c est tellement amusant!"

              "Et quand tu auras assez de ces oiseaux, que comptes-tu en faire?", demandais-je.

              "Oh, j'ai deux chats qui aiment beaucoup les oiseaux", dit le petit garçon.

              J'en étais bouche bée. Je lui demandai : "Combien veux-tu pour ces oiseaux?"

              Il demanda : "Pourquoi voulez-vous ces oiseaux monsieur?, ils sont laids, vieux et ne chantent plus".

              A nouveau, je lui demandai : "Combien en veux-tu?".

              Il me regarda en pensant, sans doute, "Il est fou!" et dit "Cinq Euros".

              Je lui remis 5 Euros et parti immédiatement.

              Je suis allé jusqu'au jardin se trouvant au bout de la rue, j ai posé la cage sur le sol et j'ai libéré les oiseaux. Voila pourquoi cette cage est vide...

              L'imam continua :

              On peut comparer cette histoire à une éventuelle conversation entre un prophète et Satan! Satan rentre d'une visite sur terre et se vante :

              "Je viens juste d acheter la terre et tous ses habitants. J ai un piège auquel aucun d'eux ne résistera!"

              "Mais que vas-tu faire d eux?" demanda le prophète.

              Satan répond : "Oh, je vais m'amuser avec eux! Je vais m'amuser avec eux! Je vais leur apprendre comment se marier et ensuite divorcer, comment se haïr, comment abuser des autres, comment boire et fumer. Je vais leur apprendre comment faire des armes et des bombes et comment s'entretuer! Je vais vraiment m'amuser avec eux!!!"

              "Et que feras-tu d'eux quand tu en auras assez?", demanda le prophète.

              "Oh, je vais les tuer!", dit satan fier.

              "Combien demandes-tu pour eux?", demanda le prophète.

              Que veux-tu en faire?", demande satan. ils sont mauvais. Ils te détestent et te crachent à la figure. Ils te maudissent et te tuent. Tu ne veux pas de ces gens!!!".

              "Combien" demanda à nouveau le prophète.

              Satan regarda le prophète en souriant. "Toutes tes larmes et ton sang", lui dit-il.

              Le prophète répondit : "Marché conclus" et paya le prix.

              Ensuite l'imam prit la cage et s'en alla. N'est-il pas naïf de penser qu'Allah est la cause de la dégradation de ce monde? N'est-il pas triste de croire à tout ce que les journaux disent tandis que l'on se pose des questions sur ce qui est écrit dans le Coran?

              N'est-il pas triste de voir que tout le monde desire aller au paradis, alors que nous n'avons pas la foi et que nous n'y pensons pas et que nous ne faisons pas ce que Allah nous demande?

              N'est il pas triste d'entendre certaine personne dire : "je crois en Allah", pendant qu'ils suivent le chemin de satan, le même satan qui croit en ALLAH!!

              Il est aussi triste de constater qu'il est simple d'envoyer des milliers de blagues par e-mail et qu'ils seront transférés par tous mais que lorsqu'il s'agit de la parole d'Allah, peu d'entre nous les transmettront.

              N'est-il pas triste de constater que les vulgarités, les grossièretés, les choses ordinaires et le porno passent facilement alors qu'une discution sur Mohamed, au travail ou a l'école, est si difficile?

              N'est-il pas triste que tu te préoccupes plus de ce que les gens vont penser que de ce qu'Allah pense de toi?
              Fraternellement,
              Chahinez

              "Plus que la faim, la soif, la souffrance, le désespoir, la défaite, le pire de tout, c'est de sentir que la personne que vous aimiez le plus en ce monde, vous a trahi"



              "L'habit ne fait pas le moine", certes... mais... "si tu cherche un moine, cherche-le parmi ceux qui portent l'habit"...

              Commentaire


              • #22
                Sagesse quotidienne : Le paysan et ses 3 ânes

                Sagesse quotidienne : Le paysan et ses 3 ânes





                Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché pour vendre sa récolte. La ville était loin et il lui faudrait plusieurs jours pour l'atteindre.


                Le premier soir, il s'arrête pour bivouaquer non loin de la maison d'un vieil ermite. Au moment d'attacher son dernier âne, il s'aperçoit qu'il lui manque une corde. Si je n'attache pas mon âne se dit-il, demain, il se sera sauvé dans la montagne! Il monte sur son âne après avoir solidement attaché les 2 autres et prend la direction de la maison du vieil ermite.

                Arrivé, il demande au vieil homme s'il n'aurait pas une corde à lui donner. Le vieillard avait depuis longtemps fait voeux de pauvreté et n'avait pas la moindre corde, cependant, il s'adressa au paysan et lui dit:

                "Retourne à ton campement et comme chaque jour fait le geste de passer une corde autour du cou de ton âne et n'oublie pas de feindre de l'attacher à un arbre."

                Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce que lui avait conseillé le vieil homme. Le lendemain dès qu'il fût réveillé, le premier regard du paysan fût pour son âne. Il était toujours là! Après avoir chargé les 3 baudets, il décide de se mettre en route, mais là, il eut beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n'y fit. L'âne refusait de bouger. Désespéré, il retourne voir l'ermite et lui raconte sa mésaventure.

                "As-tu pensé à enlever la corde?" lui demanda-t-il.
                "Mais il n'y a pas de corde!" répondit le paysan.
                "Pour toi oui mais pour l'âne..."

                Le paysan retourne au campement et d'un ample mouvement, il mime le geste de retirer la corde. L'âne le suit sans aucune résistance.

                Ne nous moquons pas de cet âne.

                Ne sommes-nous pas, nous aussi, esclave de nos persuasions (imaginer qu'on "se doit" de faire ceci, ou qu'on " doit être" comme cela, ou la crainte le regard des autres, etc) et pire encore : esclave de nos habitudes mentales (peurs, jalousies, orgueil, envie, etc) ?

                Tout ceci n'est pourtant qu'imagination de notre part... car rien ni personne ne nous oblige à quoi que ce soit en réalité, c'est nous qui nous obligeons à certains actes... Dans tous nos actes, nous avons toujours le choix, il ne s'agit que de le vouloir vraiment...

                Demandez-vous donc quelle(s) corde(s) invisible(e) vous empêche(nt) de vous exprimer, de vivre, de vous épanouir et de progresser...
                "L'habit ne fait pas le moine", certes... mais... "si tu cherche un moine, cherche-le parmi ceux qui portent l'habit"...

                Commentaire


                • #23
                  Voici l'histoire de deux frères qui s'aimaient beaucoup et vivaient en parfaite harmonie dans leur ferme… jusqu'au jour où… Un conflit éclata entre eux. Les deux frères vivaient du travail de leurs champs. Ils cultivaient ensemble et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun.

                  Tout commença par un malheureux malentendu entre eux…. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu'au jour où il y eut une vive discussion entre eux …. Puis un silence douloureux qui dura plusieurs semaines.

                  Un jour, quelqu'un frappa à la porte de Louis, le frère aîné. C'était un homme à tout faire qui cherchait du travail…. Quelques réparations à faire …?

                  -"Oui, lui répondit-il, j'ai du travail pour toi. Tu vois, de l'autre côté du ruisseau vit mon jeune frère. Il y a quelques semaines, il m'a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me venger. Tu vois ces pierres à côté de ma maison? Je voudrais que tu en construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir".

                  L'homme répondit: "je crois que je comprends la situation".

                  L'homme aida son visiteur à réunir tout le matériel de travail puis il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine.

                  Quelques jours plus tard, lorsqu'il revint de la ville, l'homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise! Louis fut totalement bouleversé.

                  Au lieu d'un mur de deux mètres de haut, il y avait plutôt un pont.

                  Précisément à ce moment, le jeune frère sortit de sa maison et courut vers Louis en s'exclamant: -"Tu es vraiment formidable! Construire un pont après ce que je t'ai fait! Je suis fier de toi!

                  Pendant que les deux frères fêtaient leur réconciliation, l'homme à tout faire ramassa ses outils pour partir.

                  -"Non, attends! Lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi". Mais il répondit: "Je voudrais bien rester, mais j'ai encore d'autres ponts à construire!

                  Auteur inconnu


                  Fraternellement,


                  "Un bonheur sans atteinte ne supporte pas le moindre coup. Mais dès qu’on a à lutter sans trêve contre les malheurs, on s’endurcit à leur rigueur, et l’on ne cède pas au mal ; et même si l’on tombe, on combat encore un genou à terre".

                  Seneque
                  "L'habit ne fait pas le moine", certes... mais... "si tu cherche un moine, cherche-le parmi ceux qui portent l'habit"...

                  Commentaire

                  Chargement...
                  X