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la manifestation contre "hors la loi"

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  • la manifestation contre "hors la loi"

    A chaque médicament, il y a des effets secondaires. Ceux du film "Hors la Loi" se sont traduits par la sortie des bons vieux militants du FN de la région Alpe-Maritime (soutenus par les élus locaux de l'UMP, méditons là-dessus).
    J'espère franchement que ce film remportera la palme, rien que pour donner une bonne claque à ces crétins (et aussi pour sauver le festival de cette année).

    Dernière modification par Blofeld, 21 mai 2010, 21h04.

  • #2
    Il lui faut une palme ce filme !

    Moi en tout cas, je donnerais cher pour le voir...

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    • #3
      Je viens de lire sur un autre sujet que ce film salie l'image du FLN et qu'il ne vaut rien. Que faut-il comprendre ? Pourquoi les manifestations dans ce cas ?

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      • #4
        Moi j'ai vu toute l'équipe du Film à la montée des marches et une Chafia Boudra3 avec un Karakou Algérois B'leqder !!!!


        ils ont été chez Denisot au grand journal de Canal ! c'était un Super Beau Moment !! toute l'équipe , Bouchareb en premier ont mis les points sur les "i"!

        Le reste on s'en fouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu chah fihoum !
        Dernière modification par absente, 22 mai 2010, 01h29.

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        • #5
          Rachid Bouchareb, ca c'est nom que épingle dans ma maigre liste des noms à part, titrée: gens vraiment spéciaux qui sortent du lot. très rusé en plus...
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          • #6
            Controverse au festival de Cannes : Le film qui remue la guerre des mémoires.

            La projection du film Hors-la-loi, en compétition officielle pour la Palme d’or du 63e Festival de Cannes, sous les couleurs et la bannière de l’Algérie, a drainé un aréopage massif de journalistes, de comédiens et d’hommes de culture. Dès les premières images, le nouveau film de Rachid Bouchareb Hors-la-loi ayant suscité une polémique en France, avant même sa sortie et sa vision – Rachid Bouchareb a été obligé d’adresser une lettre au directeur du Festival pour dépassionner le débat autour de son film –, vous tient en haleine et vous prend aux tripes pour ne pas dire « trip ». Un voyage, un flash-back sur l’histoire de la résistance nationale et le mouvement révolutionnaire contre le colonialisme français.


            Rachid Bouchareb signe, ici, sans complaisance ou autre flagornerie, une œuvre majeure d’excellente facture, surtout au niveau de la mise en scène. C’est que ce réalisateur, après Indigènes et London River, est en train de s’affiner et de se bonifier, filmiquement parlant. La preuve ! Il traite d’un pan de l’histoire algérienne sous l’occupation française. Mais pas d’une manière manichéenne, frontale et déclarée. Rachid Bouchareb retrace une guerre, un combat d’un peuple s’affranchissant, se libérant et arrachant son indépendance. Et ce, de par une fiction mêlant drame, histoire et action.

            Trio infernal

            Le pitch du film ? Chassés de leur terre algérienne, leur humus natal, à Sétif, en 1925, trois frères et leur mère sont séparés. Messaoud s’engage en Indochine. A Paris, Abdelkader prend la tête du mouvement pour l’indépendance de l’Algérie et Saïd fait fortune dans les bouges et les clubs de boxe de Pigalle. Leur destin, scellé autour de l’amour d’une mère, se mêlera inexorablement à celui d’une nation en lutte pour sa liberté… Une histoire filiale d’une fratrie d’armes. Un film fait office de suite d’Indigènes, dont le scénario est de Rachid Bouchareb et Olivier Lorelle. Cette fois-ci, sans Samy Naceri, avec sa « dream team » : Jamel Debbouze, Sami Bouajila, Roschdy Zem, Bernard Blancan qui ont crevé l’écran. Avec une mention spéciale pour les comédiens algériens comme Chafia Boudrâa, Ahmed Benaïssa et Mourad Khan qui ont joué juste et avec générosité. Un thriller historique, mnémonique et chronologique digeste et galvanisé. 2 heures 11 minutes pour convaincre… les sceptiques, les détracteurs et les esprits chagrins. Du celluloïd d’une brillance, pas à l’effet bœuf, compulsant les interstices de l’histoire. L’exaction féodale, l’expropriation, les massacres du 8 Mai 1945 à Sétif (Guelma et Kherrata), la guerre d’Indochine en 1953, le déclenchement de la révolution de Novembre 1954, l’activisme nationaliste au bidonville de Nanterre (Paris), les actions révolutionnaires du FLN au cœur de la France, les manifestations d’octobre 1961 réprimés par la police de Papon, les exécutions sommaires de la Main rouge (escadrons de la mort, un service parallèle et clandestin français), des activistes du FLN et puis l’indépendance en 1962.

            Mise en scène au cordeau

            Hors-la-loi est émaillé par plusieurs référents et autres clins d’œil, de façon subliminale, de la cinéphilie de Rachid Bouchareb. Salvatore Giuliano de Francisco Rosi, Le Sicilien de Michael Cimino, 1900 de Bernardo Bertolucci, Le Parrain de Francis Ford Coppola, Bonnie and Clyde d’Arthur Penn ou encore Chroniques des années de braise de Lakhdar Hamina dans la chronologie. En fait, Rachid Bouchareb a évolué et cela se sent de par son élévation, voire épaisseur filmique universelle mâtinant des fondus enchaînés subtils entre les séquences documentaires en noir et blanc avec le détail artistique colorisé (le drapeau algérien vert, blanc, rouge et celui français, bleu, blanc, rouge), des plans à l’œil compas, des découpages au cordeau, et une trame déclinée comme du papier à musique. Bref, un film pas du tout mineur, émouvant, lacrymal, incisif, fluide, sans complexes et sans complexes. Hors-la-loi est un film élégant, quoi ! Il peut prétendre à une distinction quant à la mise en scène ou à un prix d’interprétation au Festival de Cannes. Hors-la-loi sortira en salle le 22 septembre 2010.

            Par K. Smaïl (El Watan).
            Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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            • #7
              “Hors-la-loi” : le film qui fait trembler la France.

              La projection du film de Rachid Bouchareb sous haute surveillance à Cannes
              Hors-la-loi de Rachid Bouchareb, le film qui a fait couler beaucoup d’encre durant plus de deux semaines à la 63e édition du Festival international de Cannes a été présenté, vendredi matin, devant plus de 4 000 journalistes et télévisions du monde entier.



              Pour éviter tout incident, les organisateurs et le gouvernement français ont pris des mesures exceptionnelles pour le bon déroulement de cette projection très spéciale, menacée par l’extrême-droite. Très tôt le matin, des cars de CRS se sont installés aux abords du Palais de la Croisette.
              Du jamais vu dans l’histoire du festival, nous expliquent les habitués. Un cordon de CRS a fermé également quelques rues adjacentes menant au lieu de la projection. Trois points de contrôle ont été installés pour les journalistes invités à la projection. Même les petites bouteilles d’eau étaient retirées à l’entrée. Dans l’immense salle de cinéma du Théâtre-Lumière, la polémique a enfin laissé place au débat constructif et surtout au cinéma…. le vrai.
              Plus de 24 ans après la dernière image prémonitoire de Mohamed-Lakhdar Hamina, l’Algérie retrouve enfin la compétition pour la Palme d’Or. À cette occasion, une importante délégation algérienne était présente à la Croisette composée par les principaux cadres du ministère de la Culture, conduite par Mme Zahera Yahi, chef de cabinet de la ministre Khalida Toumi et Ahmed Bedjaoui, conseiller auprès de la ministre pour le cinéma. Étaient également présents l’un des principaux producteurs du film Hors-la-loi, Mustapha Orif, directeur de l’AARC (Agence algérienne du rayonnement culturel), mais aussi des réalisateurs venus d’Alger et de Paris, invités pour soutenir le seul film algérien présent au plus prestigieux festival du monde.

              Car au-delà des fausses apparences, l’Algérie sera en force sur la Croisette, avec des journalistes dépêchés d’Alger, (en plus de ceux installés en France) représentant tous les médias (radio, presse écrite publique et privée et bien sûr la Télévision). Mais l’événement majeur pour la délégation algérienne, c’est surtout la présence de la comédienne principale du film, Chafia Boudraâ, qui plus de 44 ans après Keltoum qui était venue monter les marches en 1966 pour représenter Vent des Aurès de Mohamed Lakhdar Hamina, était là pour représenter, elle aussi, la douleur et le combat de la femme algérienne durant la guerre d’Algérie.
              Comme son équipe nationale de football en Suisse, la délégation algérienne sera sous haute protection, et ce, pour éviter des débordements qui peuvent intervenir de la part de l’extrême-droite, le jour de la projection.
              D’ailleurs, le maire de la ville de Cannes a invité les parlementaires de l’UMP et les associations de “rapatriés et de harkis” à déposer une gerbe de fleurs à trois kilomètres du lieu de la projection et à barrer toutes les routes qui mènent au Palais du Festival, et ce, pour empêcher l’arrivée de la marche silencieuse vers le lieu du festival. Au-delà du cachet politique du film, Hors-la-loi c’est aussi une production internationale dans laquelle l’Algérie a participé en force afin de rattraper probablement l’absence de l’Algérie dans la production de l’opus Indigènes du même Bouchareb. Ce film avait été entièrement financé par la France et soutenu par le Maroc, mais Bouchareb présentera sans rancune le film aux Oscars au nom de l’Algérie, ce qui a provoqué la colère des Français et des Marocains.
              Résultat pour le film Hors-la-loi, l’Algérie a mis le paquet : 4 millions d’euros, soit 20% du financement global du film qui a été évalué à 19,5 millions d’euros. L’aide algérienne a transité via le Fdatic (500 000 euros), le ministère des Moudjahidine (1,5 million euros), l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (1 million d’euros), Sonatrach et Sonelgaz (750 000 euros) et l’ENTV (250 000 euros). C’est le plus grand montage financier pour un film algérien, mais aussi pour un film africain, bien plus que les Égyptiens, qui dominent la planète du cinéma arabe.
              La presse française ne cesse de dire que la France est majoritaire dans la production du film de Bouchareb et pourtant en matière de financement public, l’Algérie reste majoritaire puisque les entreprises publiques françaises, le CNC (Centre national du cinéma représentant du ministère de la Culture française), n’a accordé qu’une aide sous la forme d’une avance sur recette de 650 000 euros. La commission de la diversité a apporté, quant à elle, 50 000 euros. Le reste de la production est soutenu par des opérateurs privés et semi-publics : France Télévision et Canal+, qui fournissent plus de 12 millions d’euros. Car l’objectif de ces télévisions, ce sont les reventes aux télévisions du monde. Plus de 20 pays avaient acheté l’opus de Bouchareb Indigènes.

              UN FILM ÉPOUSTOUFLANT

              Sur le plan cinématographique, Rachid Bouchareb a donné une dimension internationale et artistique pour le cinéma algérien avec ce film. Comme dans Indigènes et bien plus dans Hors-la-loi, le film de Bouchareb se rapproche beaucoup plus du cinéma américain de Coppola et de Sergio Leone que du cinéma français qui a été son formateur. Comme pour son film précédent, le film débute par une date historique 1925, début du mouvement nationaliste. Un plan large d’une contrée désertique, le Caïd joué par Larbi Zekal vient annoncer l’expropriation de la terre d’une famille de paysans algériens. C’est la seule scène du film qui est tournée en Algérie. La mère, jouée par Chafia Boudraâ et le père joué, par Ahmed Benaïssa nous rappellent le début de la fresque des Corleone de Coppola.
              Quand Jamel Debouze vient tuer au couteau le Caïd, sur le balcon de son jardin comme l’avait fait Robert de Niro dans le Parrain 2. Rachid Bouchareb, qui est habitué aux Oscars, ne cache pas ses références cinématographiques américaines. Puis vient la scène de toute la controverse : les massacres de Sétif en 1945. Dix minutes ont suffi pour les milliers de journalistes présents pour comprendre le début du conflit historique et la source de la polémique entre l’Algérie et la France.
              Sobrement filmé mais cinématographiquement réussi, le film ne s’attarde pas sur cet événement qui fait trembler la France. C’est à travers la saga de trois frères magnifiquement joués par Roshdy Zem, Jamel Debbouze et Sami Bouajaïlia et de leur mère Chafia Boudraâ, que Bouchareb raconte à sa manière l’histoire de l’Algérie entre 1945
              et 1962.
              Un scénario bien ficelé où Bouchareb joue l’équilibriste montrant aussi bien la lutte sans concession du côté FLN que la violence arbitraire du côté français. Le réalisateur, qui débute par une manifestation réprimée avec la violence et un match de boxe le 8 mai 1945, finit son film également par un match de boxe et une manifestation réprimée en 1961 dans la capitale française. Le tout à travers la parcours de trois frères que tout sépare mais que tout rapproche. Ce n’est pas un film de gangsters comme le disent certains nostalgiques de la France coloniale mais une saga familiale qui a pour fil rouge l’histoire de la Révolution algérienne. À la projection, c’est l’émotion, une jeune scénariste présente à nos côtés, très émue, essuie ses larmes.
              Les journalistes français sortent en silence sans commentaire, les étrangers sont sonnés par la grande qualité cinématographique du film. Comme cette journaliste allemande Barbara Shweizorhof qui ignorait que l’Allemagne avait contribué au soutien du FLN en armes et munitions. Pas d’applaudissements dans la salle, mais des cris “Vive l’Algérie” comme dans un stade, lancés par quelques Algériens invités à la projection. Comme l’avait dit un réalisateur algérien à la fin du film, on a envie de refaire le 1er Novembre. Ne pas récompenser Hors-la-loi serait une injustice pour certains critiques, mais le film, selon d’autres observateurs, se trouve sur son chemin vers la Palme d’Or. Un autre film sur l’Algérie, Des hommes et des dieux de Xavier Beauvois, qui raconte l’histoire des moines trappistes assassinés par le GIA. Le film, qui ne prend aucune position politique sur l’affaire des moines de Tibhirine, a reçu un accueil favorable de la part des critiques à Cannes.
              Ainsi, Hors-la-loi a été projeté malgré la paranoïa de ses détracteurs et les critiques injustes contre un film qui va être une œuvre référence en France. Pour les Français qui ignorent un pan entier de leur histoire coloniale en Algérie et surtout pour les jeunes Beurs qui risquent de comprendre parfaitement ce qu’avait nourri la Révolution algérienne, notamment dans sa lutte en France.

              Par : Tarek Bey (Liberté).
              Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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              • #8
                coalition ump-fn pour 2012

                c'est l'illustration flagrante de la stratégie des sarkosyste pour 2012 qui n'ayant pas réussit a récupérer les militants frontistes , et ne pouvant absolument plus prétendre gagner quoi que ce soit avec la seul ump, prépare l'opinion a une futur coalition de la "droite décomplexé".

                quand a mariani , le député ump candidat malheureux au régionale , l'instigateur de cette manifestation c'est quand même lui qui se décrit le mieux :
                "Comme beaucoup d'autres, Sarkozy m'a pris pour un con. Je reste un con "
                "tout a été dit , tout reste a penser"
                Alain

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                • #9
                  Robocop, la photo est trop petite (je ne peux pas en faire un fond d'écran).

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                  • #10
                    Robocop, la photo est trop petite (je ne peux pas en faire un fond d'écran).
                    Bonjour Blofeld,
                    Je l'ai inséré en taille réelle, zaama j'ai fais une tentative en l'enrégistrant à 24 bits en fichier bmp, j'ai essayé de l'agrandir, la résolution devient une horreur, peut être quelqu'un qui manipule bien PhotoShop saura le faire, j'avoue je suis nul en retouche d'images.


                    Dernière modification par RoboCop, 22 mai 2010, 11h24.
                    Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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                    • #11
                      Ah mince, étant fils d'une couturière, je peux te dire que l'agrandissement sur photoshop ne peux pas reproduire en détails l'ornement du karakou. C'est pas grave, on cherchera, merci pour la photo quand même.

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                      • #12
                        Ils manifestent contre qui? contre quoi?
                        La mauvaise conscience peut être...

                        Prétendre rendre hommage à cent morts alors qu'il y a eu des milliers de morts dans l'autre camp, qu'on ignore et être scandalisé uniquement parce qu'on en parle dans un film!!!

                        Ils revendiquent quoi? l'oubli?

                        On n'oublie pas ce genre de choses alors qu'on n'a pas réglé ses comptes avec l'histoire.

                        Il est grand temps pour la France de regarder en face, son coté sombre et d'assumer ses lourdes erreurs.

                        Ce n'est qu'un film mais ca fait mal, ca touche à un passé qu'on veut occulter, dont on a profondément honte, mais on ne peut pas cacher éternellement la vérité.

                        Bravo à Rachid Bouchareb et à ses amis d'avoir osé lever le voile sur un tabou!

                        Même si je n'ai pas vu le film, à voir juste les réactions qu'il suscite, on sait que c'est une bonne chose, un grand pas qui est franchi!

                        Bravo les gars!!


                        PS: moi aussi j'aimerai avoir cette photo en plus grand pour Admirer notre Chafia Boudraa nationnale dans son élégante tenue algéroise!
                        Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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                        • #13
                          Blofeld, je t'ai trouvé celle-là.

                          Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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                          • #14
                            toute cette polémique est une bonne chose pour le film , cela lui fait de la pub gratuite et en plus quand le film sortira en salle, ses détracteurs n'ont plus qu'a trouver un nouvel os à ronger car leurs propos et leur pseudo consternations n'auront plus lieu d'être
                            « Ça m'est égal d'être laide ou belle. Il faut seulement que je plaise aux gens qui m'intéressent. »
                            Boris Vian

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                            • #15
                              Il paraît que la dernière scène est la plus émouvante, où l'hymne national retentit sous les yoyous des femmes!!!

                              Ca doit être très touchant, je suis impatiente de voir ce film!
                              Je m'en remets à Dieu!

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