Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Un homme traque et poignarde le joueur qui l'a tué dans Counter-Strike

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Un homme traque et poignarde le joueur qui l'a tué dans Counter-Strike

    Julien Barreux, 20 ans, a inquiété tous ceux qui ont assisté à l'audience correctionnelle du tribunal de grande instance de Cambrai le 20 mai. Pas seulement parce qu'il est l'auteur d'un coup de couteau, moins de deux jours plus tôt, passé à quelques millimètres de la carotide de Mickaël, un ancien partenaire de jeux de guerre sur Internet. Parce qu'il a assuré pendant sa garde à vue, avec un aplomb à glacer un fiévreux : « Je veux le voir raide à terre. » Parce que, aussi, son intelligence, son sang-froid et sa détermination sont mis au service de l'idée qu'il se fait du respect.

    Il y a six mois, Julien, Mickaël et une autre connaissance partagent une partie en réseau de Counter-Strike, l'un des jeux de guerre les plus répandus sur la Toile. Counter-Strike, littéralement en français : contre-offensive. C'est exactement cela qu'a préparé Julien Barreux. Un soir de novembre 2009, Mickaël a virtuellement tué Julien. Fou de joie, il lui a écrit un message de trois mots : "Fils de p***". Pas très malin, pas très gentil, mais à ne pas prendre au premier degré.

    Alexiane Potel, l'avocate de la partie civile, a parfaitement résumé la pensée lue dans de nombreux regards, au cours de l'audience : « Vous êtes un danger public. J'ai peur de la réaction disproportionnée que vous aurez, la prochaine fois qu'une personne aura le malheur de vous jeter un regard. »

    Qu'elle se rassure un peu, Julien, dit The Snake dans Counter-Strike, ne crachera pas son venin dans les prochains mois. Il a été condamné, révocation du sursis comprise, à 2 ans et 1 mois de prison ferme et à six mois de prison avec sursis. Un sursis assorti d'une mise à l'épreuve comprenant une obligation, pendant deux ans, de soins psychiatriques, de soins psychologiques et de ne pas entrer en contact avec la victime. Game over.

    source : L'Observateur du Cambrésis

  • #2
    3ajeb La Matiz:22:
    ¸.¤*¨¨*¤.¸¸...¸.
    \¸.♥ ALGERIE ♥.¸¸.
    .\¸.¤*¨¨*¤.¸¸.¸.¤
    ..\

    Commentaire


    • #3
      à 20 ans il devrait penser à son avenir ce guignol ..

      Commentaire


      • #4
        malheureusement certains enfants en période de crise d'adolescence peuvent se laisser emporter par ce genre de jeu basé sur la violence à la tuerie , à tel point qu'ils ne font plus la différence entre le virtuel et le réel !!

        Commentaire


        • #5
          Heureusement qu'il ne l'a pas tué. L'avocate Alexiane Potel avait raison de dire que le jeune cinglé est un danger pour la société. Le pire est qu'après son acte lâche et criminel, le jeune homme n'a exprimé aucun regret et a maintenu son souhait de voir sa victime "raide à terre".

          En tout cas, le juge a été bien clément avec lui.

          Commentaire


          • #6
            on devrait l'enfermer dans un asile ce malade là !!

            Commentaire


            • #7
              C'est que justice, il voulait tuer l'homme qui l'a tué.

              Commentaire

              Chargement...
              X