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Les enseignants échouent aux examens de leurs élèves en Thailande

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  • Les enseignants échouent aux examens de leurs élèves en Thailande

    Le système éducatif thaïlandais, réputé de mauvaise qualité, a pris conscience de sa médiocrité lorsque 80% des enseignants de certaines matières ont échoué aux examens proposés à leurs étudiants.

    L'échec des enseignants a atteint des proportions ahurissantes dans les disciplines scientifiques, avec notamment 88% en informatique, 84% en mathématiques, 86% en biologie et 71% en physique, selon le ministère de l'Education.

    "Si même les enseignants échouent, comment pouvons nous améliorer la qualité des étudiants", a déploré le ministre de l'Education Chinnaworn Boonyakiat dans le quotidien en anglais Bangkok Post.

    Au total, plus de 84.000 enseignants et directeurs d'établissements ont passé l'examen, le premier du genre.

    source : AFP

  • #2
    OHH WOW!!!
    Chaque personne qu'on s'autorise à aimer, est quelqu'un qu'on prend le risque de perdre.

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    • #3
      Ce serait intéressant si l'on faisait le même test en Algérie, histoire de mesurer le niveau des enseignants algériens!

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      • #4
        et bein !!

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        • #5
          Réédition ancien post:

          Des professeurs licenciés pour améliorer l'enseignement

          Publié le 05/03/2010 à 08:46 Le Point.fr

          Comment faire progresser les cancres ? En virant les profs ! C'est la méthode adoptée par la Commission scolaire de Central Falls, une petite ville de Rhode Island. La semaine dernière, elle a voté pour limoger les 93 enseignants et personnels administratifs du lycée local à la fin de l'année. Motif, 55 % des élèves seulement lisent correctement, 7 % en Première sont au niveau en math et sur les quatre dernières années, moins de la moitié des élèves ont achevé leur scolarité.

          Les enseignants et les syndicats se sont aussitôt mobilisés. La semaine dernière, ils ont organisé une grande manif. "Nous ne cherchons pas des excuses, mais il faut voir la réalité. Les enfants issus de milieux défavorisés arrivent au lycée avec plein de problèmes", a expliqué à la foule Jane Sessums, la présidente du syndicat. L'établissement est situé dans une zone très pauvre. Sur les 800 élèves, 65 % sont immigrés, d'origine hispanique, et 40 % parlent une autre langue que l'anglais à la maison.

          Licencier pour bénéficier de l'aide fédérale

          Tout a commencé lorsque, dans le cadre de la nouvelle réforme de l'Éducation, l'Académie de Central Falls a voulu mettre en place un nouveau plan qui prévoyait pour les profs un allongement du temps de travail, plus de soutien scolaire et la participation à des sessions de formation après les cours et en été. Selon le syndicat, les enseignants ont accepté les mesures mais les négociations ont achoppé sur le tarif des heures supplémentaires. La Commission scolaire a alors décidé de licencier tout le monde.

          C'est l'une des innovations de la réforme de l'Éducation de l'administration Obama. Pour bénéficier de l'aide financière fédérale, les établissements avec beaucoup d'échec scolaire ont quatre options : fermer, se transformer en établissement privé, augmenter la durée des cours et du soutien scolaire, ou remplacer la moitié au moins de l'équipe pédagogique. Le problème, estiment les opposants, c'est qu'il n'y a aucune preuve que le renouvellement du corps enseignant améliore les résultats des
          élèves.

          Obama s'en mêle


          Rhode Island a beau être l'État le plus petit des États-Unis, la décision de Central Falls a fait grand bruit et déclenché un débat national. Les syndicats ont condamné les licenciements, disant qu'il était injuste d'épingler les enseignants. Le ministre de l'Éducation, Arne Duncan, de son côté a déclaré qu'il "applaudissait" les responsables de la Commission pour leur "courage". Le président Obama lui-même s'en est mêlé, mentionnant, dans un discours, le lycée de Central Falls comme exemple d'un établissement public où l'on a limogé les enseignants "en dernier recours", laissant entendre que même si la mesure semblait radicale, c'était sans doute la seule solution possible. "Si une école a des problèmes, nous devons travailler avec le proviseur et les enseignants pour trouver une solution. Nous devons leur donner une chance d'améliorer les choses de manière significative. Mais si son taux d'échec scolaire continue à croître d'année en année, [...] alors il faut qu'elle rende compte de ses actions. Et c'est ce qui s'est produit à Rhode Island."

          Après une semaine d'impasse, les syndicats sont de retour à la table des négociations, et semblent avoir cédé sur les demandes de la Commission. Mais Central Falls n'est sans doute qu'un début. Comme le soulignait Barack Obama, aux États-Unis, "plus d'un million d'élèves abandonnent leurs études en cours chaque année, presque un sur trois. Plus de la moitié sont afro-américains et hispaniques".

          Adama 6/12/09 à 13h11

          La retraite anticipée sera supprimée

          En toute état de cause, je subodore leur manque absolue de réelles initiatives au demeurant patent. Là où le bas blesse, ne réside nullement dans la gestion du secteur privé, devant être laissé à l’initiative des seules négociations patronales et intersyndicales comme il est d’usage dans toute société normalement hiérarchisée et organisée dans son fonctionnement.

          Soit ! Ce fait qui n’est en faite que le rideau de fumer masquant de son mirage, la façade du seul véritable nœud, l’obstacle primordial à tout changement.
          Et des lors qu’il a était extirpé de la problématique générale. Attelons-nous à présent à l’unique charge abyssale qui plomb indéniablement le pays, la société,
          l’état. Soldant son avenir et celui de son peuple dans une chute sans fin le menant à la ruine depuis 48 ans, et de se faite ne produisant en vérité qu’une terre stérile.

          Cette entité corporatiste, nombriliste, incompétente depuis les origines, arc-boutée dans ses privilèges si nous pouvant l’affubler de ces termes désagréables « aux oreilles de certains », des principaux intéresser, ne serait être autre que la seul et unique « fabuleuse fonction publique algérienne ». Tel une pieuvre à l’agonie accrochait au reste du cadavre flottant d’un bateau dérivant dénommer « Algérie ».

          En principe, l’état dans sa mission régalienne charge des individus hommes et femmes « normalement » dûment formées aux plus hautes responsabilités et dépositaires de ses principes, ainsi que de son autorité face à tout à chacun, avec pour unique devoir la juste application des taches qui lui ont été assigné. La haute fonction publique ayant pour mission la gestion des affaires courante de son administration, de sa trésorerie, de sa justice, de sa sécurité, de sa santé et la formation de ses jeunes concitoyens par une éducation « d’excellence basée sur la seule méritocratie dans un esprit d’équité ». Bien évidemment, dans votre grande perspicacité vous l’aurez tous deviner la situation est aux antipodes de cet état de fait. Et puisque selon le clairvoyant adage « les chiens ne font pas des chats ». L’Algérie produit à la chaine par cycle continue depuis 4 décennies une marée d’êtres non fonctionnels qui viennent se rajouter à chaque nouveau reflue de marée à la précédente. Et que d’autres sous de meilleurs cieux plus éclairer nous envie du fait de leur grand nombre et de leur jeunesse. Des cerveaux dénaturés, défectueux et déstructurés dans leur ensemble, de manière totalement indépendante de leur volonté, impuissant devant la fatalité.

          Mais chut ! Ils risqueraient de nous entendre chuchoter. Ne disons surtout pas que nous devons en changer. Que tous ceci n’a que bien trop durer, en vérité. Qu’il serait grand dieu, totalement indécent de tous les remercier et les renvoyer à leurs logis où ils seraient bien mieux pour notre paix d’esprit.
          Comment allons-nous les rémunérer en monnaie sonnante et trébuchante de leur brave abnégation à leur très chère patrie et sa collectivité ? Par le fruit du travail acharné de nos jeunes descendants citoyens bien évidemment qu’ils ont eux même éduqué. Et ceci en amassant moults richesses et savoirs à travers différentes sauvages contrés, sans coup férir. Point de doute à ce sujet.

          Ah ! Non, non, non. Malheureux ! En vérité les caisses sont depuis toujours vides ! Faisons le plutôt comme à l’habitude par une substance visqueuse et mal odorante dénommée « pétrole », ainsi qu’une autre toute aussi mystérieuse, explosive, du nom de « gaz », en remerciement de leur dévouement emplie d’amour et de sacrifices pour leur mère patrie. Et après, lorsqu’il viendra le jour où nous en serons entièrement démunis? Que ferons-nous ??????

          Je présume que vous l’aurez deviné tout au long de ces lignes et diatribes. Triste présage pour notre funeste avenir. Rien ne va véritablement changé…

          ...


          Dernière modification par Adama, 10 juin 2010, 01h44.

          Commentaire


          • #6
            Suite 1.


            Citation 3:


            Adama 1/10


            Education en Algérie - les réformes sont elles judicieuses?


            Pour le primaire, le moyen-secondaire, le supérieur, les mêmes causes produisent exactement les mêmes effets. Quand on veut véritablement réformer un système, on commence par le haut de la pyramide pour descendre tout doucement vers le bas. Si la majorité des élèves sont médiocres. C’est qu’aux origines mêmes les professeurs sont tout simplement mauvais.

            Pour séparer le « bon grain de l’ivraie ». Il faut faire un tamis de plus en plus étroit à force que l’on monte vers le haut de la pyramide par un contrôle totalement implacable des compétences réelles par des épreuves aux normes internationales des pays les plus industrialisés.

            Ceux qui ne parviennent pas à passer les épreuves doivent être immédiatement excluent du système éducatif au fur et à mesure. Si il le faut par une retraite anticipée immédiate.


            Puis créer, un petit nombre restreint d’écoles primaires, de collèges, de lycées, d'universités élitistes égales à ceux des plus grands pays du monde, avec des pensionnats (des cocons) d’état où seront regroupés les meilleurs éléments de tout le pays par un contrôle drastique implacable. En leur fournissant les meilleurs professeurs compétant qui auront été trouvé et en important tous ceux qui manquent. Et ne venez pas me dire qu'ils existent déjà. Rien n'est tout simplement défectueux par magie.

            Dans 20 ans avec énormément de travail, et aussi de l'abnégation, du courage. Une élite « véritablement » à la hauteur des défis du 21e siècle sera née. Capable de diriger ce pays comme il se doit.

            Les rustines, les bricolages ne fonctionneront pas. Il n’y pas d’égalitarisme parfait. Il n’existe tout simplement pas… Certains sont nés pour être meilleur que les autres.



            Citation 4:

            Adama

            L’un des moyens imparable de voir l’état d’avancement scientifique et technologique d’une nation dite aux socles militarisés. Et d’observer méticuleusement son niveau international de production et de progression en recherche et développement dans le complexe militaro-industriel.Car il a accès à certaines technologies d’excellence qui font office tout naturellement de double usage militaire et civil.

            Si les généraux « de pacotille », à la manière édulcorée modèle dictature militaire bolchévique (aux prétentions ratées) de ce pays, posséderaient déjà ces ensembles rationnels élitistes pour eux-mêmes et les cerveaux de leurs merveilleuses progénitures, tout aussi analphabètes. Ils seraient une véritable élite dirigeante.

            Ce pays serait indubitablement militaro-industrialisé et technologiquement aussi avancé que l’est la Russie ou bien la Chine. Se qui n’est bien évidemment en tout état de cause absolument pas le cas.


            ...
            Dernière modification par Adama, 10 juin 2010, 01h49.

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            • #7
              Le soucis de l'enseignement en primaire comme en secondaire est de donner les cours à des BAC +3. Le niveau est trop faible pour assurer un cours. Et ce dans tous les pays. Un Bac +5 est une limite normalement, avec ou sans concours d'enseignement. Et quid de l'enseignement ayant réussi son concours avec uniquement un BAC +3!

              On ne peut laisser des classes à des gens qui n'ont pas le niveau malheureusement c'est le cas partout. Face à la crise la première chose sacrifiée: l'enseignement....


              ....

              ... que dire de la recherche :22:

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