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Est-ce que vous croiez en homéopathie?

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  • #16
    Quelqu'un pourrait il donner sa définition de l'homéopathie ?
    Car sur le web, c'est pas du tout une médecine à base de plante ou produits natrurels.

    définition : Méthode thérapeutique basée sur l'administration d'une dose infinitésimale de produits qui, à dose plus élevée, porduiraient les mêmes effets que la pathologie que l'on veut combattre
    Donc rien à voir avec les remèdes de grand mère.
    Dernière modification par sentenza, 07 juillet 2010, 10h08.

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    • #17
      voila se que j'ai trouvé

      L’homéopathie ou homœopathie (du grec όμοιος / hómoios, « similaire » et πάθος / páthos, « souffrance » ou « maladie ») est une médecine non conventionnelle, inventée par Samuel Hahnemann en 1796 qui consiste à administrer au malade des doses faibles ou infinitésimales obtenues par dilution et agitation (la dynamisation) d'une substance choisie en fonction de l'état physique et psychique du patient.

      Elle repose sur le principe dit « de similitude ». Ce principe énonce qu'une personne atteinte d'une maladie peut être traitée au moyen de la substance produisant des symptômes semblables à ceux de la maladie chez une personne en bonne santé.

      L'homéopathie est considérée par la majeure partie de la communauté scientifique internationale comme une pseudo-science sans validité scientifique ni efficacité clinique[1].

      L'homéopathie est en contradiction totale avec les principes fondamentaux de la chimie et de la physique contemporaines. L'effet supposé des médicaments homéopathiques est le plus souvent considéré comme le résultat de l'effet placébo[2].

      La pratique de l'homeopathie est inégalement répartie dans le monde. Le taux de recours annuel va de 2 % au Royaume-Uni à 36 % en France[3]. En France, les médicaments homéopathiques représentent entre 1,2 et 2 % des remboursements de la CNAM[3].

      L'industrie homéopathique est dominée au plan mondial par les Laboratoires Boiron qui sont aussi le deuxième plus gros fabricant de médicaments en vente libre de France.

      Histoire

      Samuel Hahnemann, théoricien de l'homéopathie

      Histoire de l'homéopathie.

      Utilisé dans l'Antiquité[citation nécessaire], le principe dit de similitude fut « redécouvert » par un médecin saxon, Samuel Hahnemann (1755-1843), lorsqu'il réalisa que l'écorce de quinquina provoquait les mêmes symptômes que la « fièvre tierce ».

      En 1796, il pose les bases de l'homéopathie dans un essai[4], puis c'est en 1810, qu'il finalise sa théorie avec « Organon der heilkunst » (Organon de l'art de guérir)[5].

      Dans les années 1830, l'homéopathie commença à se répandre en France, mais aussi aux États-Unis. Les pharmaciens refusant de produire ces produits[citation nécessaire], les disciples d'Hahnemann durent les fabriquer eux-mêmes.

      À la mort d'Hahnemann, en 1843, l'homéopathie déclina en Europe et, ce n'est qu'au début du XXe siècle, avec l'apparition des premiers laboratoires puis l'engouement pour les paramédecines, qu'elle commença son histoire industrielle et sa large diffusion auprès des patients.

      Efficacité thérapeutique

      En France, l'Académie de médecine dénonce une « méthode obsolète », figée depuis plus de deux cents ans et incapable de faire la preuve de son efficacité[6]. Il en va de même pour le Collège des médecins du Québec, pour lequel l'homéopathie n'a jamais prouvé de façon quelconque son efficacité, même face à un placebo.

      Aucune étude clinique n'a établi le moindre effet thérapeutique de l'homéopathie (comparativement à un placebo).

      Les procédés supposés de fonctionnement des traitements homéopathiques n'ont donc aucun fondement scientifique.

      Principes

      L'homéopathie est construite sur un principe et ses corollaires formulés ensemble par Hahnemann à la fin du XVIIIe siècle.


      * Le principe de « similitude » : la cure d'un ensemble de symptômes est apportée par une substance (végétale, minérale ou animale) qui provoque des symptômes semblables chez un sujet sain : Similia similibus curantur.
      * L'« adaptation » du traitement au patient : l'application du principe de similitude, puis sa vérification, ont lieu chaque fois que la recherche du remède le plus semblable a été effectuée de manière consciencieuse par le praticien : c'est « l'individualisation ». Chaque traitement est ainsi personnalisé à chaque patient, quel que soit le nom de la maladie, la recherche de la « totalité » des symptômes présentés par le patient étant au centre de la méthode. Elle explique la longueur du dialogue entre le médecin et le patient. L'étape d'observation des symptômes provoqués par une substance chez l'individu sain, qui précède toujours l'application du principe de similitude, et sa retranscription correspond à l'établissement d'une pathogénésie. Dans la pratique, les médicaments homéopathiques les plus connus (Oscillococcinum, Sédatif PC...) sont au contraire produits à échelle industrielle et prescrits à de nombreux patients.

      * La « dynamisation » : après chaque dilution la préparation est secouée (succussions) énergiquement, manuellement ou mécaniquement, ce qui permettrait à la préparation homéopathique de conserver ses effets pharmacologiques malgré des dilutions importantes.

      L'homéopathie s'oppose à l'allopathie, terme également inventé par Hahnemann et qui désigne tout traitement médicamenteux qui ne s'appuie pas sur la similitude lors du choix thérapeutique, mais sur le « principe des contraires ». Ainsi, la phytothérapie est une méthode de soin allopathique. Néanmoins, les notions de « principe des contraires » ou « principe de similitude » ne possèdent pas de fondements scientifiques ou même empiriques.

      L'adjectif correspondant est « homéopathique » et la personne appliquant cette méthode est un « homéopathe ». Par glissement sémantique, « homéopathique » désigne souvent dans le langage courant une dose minime d'un produit, par référence aux caractéristiques actuelles de l'homéopathie, alors que la signification originelle du terme homéopathie est traiter par similitude : la substance choisie pour traiter la personne malade est dite « homéopathique du malade ».

      L'homéopathie repose sur le principe de similitude formalisé par Hahnemann après la seule observation de l'effet de l'écorce de quinquina : le paludisme s'accompagne de fièvre et l'écorce de quinine quinquina à forte dose provoque une intoxication également accompagnée de fièvre, Hahnemann a supposé que celle-ci activait un mécanisme de défense contre la fièvre, quelle qu'en fût la cause.

      C'est lors de la généralisation de sa théorie à d'autres maladies, que les effets néfastes provoqués l'ont contraint à baisser les doses en pratiquant des dilutions. À son grand regret, la dilution classique, si elle diminuait les effets toxiques, effaçait également les effets pharmacologiques. Il découvrit alors la méthode de la dynamisation, qui, de manière surprenante selon ses propres dires, conservait et modifiait les effets pharmacologiques de la substance.
      « Ça m'est égal d'être laide ou belle. Il faut seulement que je plaise aux gens qui m'intéressent. »
      Boris Vian

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      • #18
        la suite ...........

        Le cas de l'Oscillococcinum, des laboratoires Boiron, est plus complexe. Le médicament a été conçu par Joseph Roy selon les principes de l'homéopathie, par dynamisation d'oscillocoques, un microbe imaginaire que Roy prétendit découvrir dans divers cas d'infection et en particulier dans des cas de grippe. L'existence de l'oscillocoque n'a jamais été confirmée et les observations de Roy n'ont jamais été reproduites. De ce fait, Oscillococcinum est simplement une préparation à base d'autolysat filtré de foie et de cœur de Anas barbariae (canard de Barbarie) dynamisé à la 200e K, pour laquelle il n'existe pas de pathogénésie complète. Selon certains homéopathes[7], Oscillococcinum n'est donc généralement pas prescrit de façon homéopathique. Son mode de fabrication s'apparente cependant à celui d'autres remèdes homéopathiques et il possède généralement, dans les pays où il est commercialisé, le statut officiel de médicament homéopathique[8].
        Adaptation du soin au patient.

        Ce corollaire découle du principe de similitude, énonce qu'il n'y a pas de soin universel d'une maladie, d'un symptôme, et que l'on peut adapter le soin en fonction du patient. Il s'agit là de ce qui est couramment nommé « individualisation ».

        L'homéopathe analyse les symptômes spécifiques présentés par le patient dans sa globalité et non pas seulement les symptômes classiques de sa maladie. Une pratique ne reposant pas sur cette analyse des symptômes spécifiques du patient n'est pas en droit de se réclamer de l'homéopathie au sens de Hahnemann.

        De ce fait, les mélanges de substances diluées, telles un antigrippal et un sédatif, ne sont pas utilisés dans les spécialités homéopathiques.

        Les substances vendues librement pour des traitements symptomatiques ne respectent pas cette individualisation, puisqu'elles sont présentées comme pouvant traiter le symptôme quelle que soit la personne. Cet argument ad absurdum est utilisé par la communauté scientifique pour qualifier de fraude l'homéopathie.
        La dynamisation (dilution associée à la succussion) [modifier]

        L'effet des substances dépend de la quantité administrée ; Paracelse disait d'ailleurs en substance que « c'est la dose qui fait le poison ». Par exemple, en thérapeutique classique, les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont, selon la dose, antalgiques ou anti-inflammatoires. Ce n'est pas la dilution en soi qui produit cet effet, mais bien la dose finale ; la dilution ne sert qu'à diminuer la dose administrée.

        Les expérimentations d'Hahnemann[5] lui auraient montré que le fait de secouer la solution après chaque dilution permettrait de conserver une certaine efficacité thérapeutique ; cependant, il proscrit l'emploi de sucre pour administrer ses préparations qu'il conseille d'administrer liquide juste après les avoir préparées et sans les laisser reposer. Cette succussion n'aurait pas pour but de bien mélanger la solution avant de la diluer à nouveau, mais de produire des chocs sans lesquels les qualités thérapeutiques du remède homéopathique n'apparaîtraient pas. Ce procédé, sans lequel les dilutions seraient peu ou pas actives, a été nommé « dynamisation » par Hahnemann.

        Le solvant, le plus souvent l'eau et l'alcool, est utilisé pour effectuer des dilutions successives, au dixième (DH) ou le plus souvent au centième (CH) d'une solution de teinture mère. La dilution d'une solution de teinture mère dans 99 volumes de solvant est une dilution d'une centésimale hahnemannienne (1 CH, c'est-à-dire un taux de 0,01, ou encore 1 %), la dilution au centième de celle-ci est une dilution de 2 CH (soit au dix millième T = 0,000 1 = 10-4, ou encore 0,01%). Une dilution de n CH est une dilution de 10-2 × n ; 3 CH représente un millionième, 6 CH un millième de milliardième…

        Les dilutions courantes en France vont jusqu'à 30 CH, le taux de dilution est donc de 10-60. Dans de nombreux pays sont utilisées des dynamisations et dilutions allant jusqu'à 200 CH. Pour donner une idée plus juste :

        * Une goutte d'eau (environ 0,05 mL) dans le lac Léman (88 900 millions de m3) représente une dilution d'environ 6×10-19, soit l'équivalent de 10 CH ;
        * Une molécule d'eau noyée dans la somme des océans sur terre représente une dilution de un pour 8,4×10-45 molécules, soit approximativement 23 CH
        * Une dilution à 40 CH correspond à 1 molécule d'une substance mère dans une masse de solvant supérieur à la masse totale de l'univers (la quantité totale d'atomes de l'univers est estimé à 1080 atomes).

        Plus simplement, on peut dire qu'il n'existe aucune molécule de la substance active dans les préparations homéopathiques. Les substances insolubles sont triturées dans du lactose jusqu'à obtention du seuil de solubilité permettant de préparer la première dilution liquide[9]. Le reste des opérations suit le même procédé que pour les substances solubles.
        La dynamisation de Semen Korsakov [modifier]

        Le Russe Semen Korsakov est l'auteur d'un système de dilution différent, qui porte son nom. Au lieu de changer de flacon à chaque dynamisation, ce procédé vide simplement le flacon après chaque dynamisation, en considérant qu'il demeure environ un centième du volume initial (ce qui est probablement approximatif). Cette méthode a permis d'automatiser le procédé, et a conduit à l'obtention de dynamisations très poussées, jusqu'à un million de fois (MM Korsakov). Hahnemann considéra cette méthode comme aussi efficace que la sienne.[10] En réalité, si le nombre de secousses auxquelles a été soumise la préparation est très élevé (100 millions de coups pour la MMK), la dilution est fortement modifiée, parfois beaucoup plus faible que celle attendue et strictement non mesurable.

        Appliquée à des substances radioactives bêta, on a compté avec la dynamisation hahnemannienne le nombre d'électrons émis. L'expérience a montré qu'il n'y a plus de radioactivité au-delà de 12 CH. Celle-ci persiste pour une dynamisation korsakovienne de 3000 K. Ceci montrerait que la dilution korsakovienne est beaucoup moins poussée que ce que Korsakov lui-même pensait. Cela s'explique probablement par l'interaction entre la substance à diluer et la paroi : les molécules peuvent s'accrocher fortement à la paroi, et le volume n'est alors pas pertinent (le relargage en solution n'est pas proportionnel au volume qui est passé dans le flacon, mais à l'efficacité du lavage de la paroi, c'est-à-dire qu'il n'est pas exponentiel mais logarithmique par rapport au nombre de passages).

        Inversement, si les molécules actives n'ont aucune affinité avec la paroi, cet effet est négligeable et on retombe sur le cas de la dilution hahnemannienne. L'eau étant le meilleur des solvants, dès que l'eau est contenue dans un récipient ou passe dans un conduit, elle détache quelques molécules de la paroi. La pureté de l'eau nécessaire aux dilutions homéopathiques n'existe pas. Passé le cap de 10 CH, les impuretés du solvant sont des millions de fois plus concentrées que la substance-mère de départ. Ces impuretés donnent aussi leur « empreinte » lors des succussions subséquentes, ce qui fait que, quelle que soit la substance-mère de départ… on obtient toujours la même chose à 30 CH : une solution constituée d'eau avec les impuretés de l'eau utilisée et où les composants dilués sont les matières sèches énumérées sur la constide la substance supposée active.

        wikipedia
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        Boris Vian

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        • #19
          sentenza : l'homéopathie utilise le végétal, le minéral et l'animal, à doses très fortement diluées! (voilà pourquoi certains disent qu'il n'y a rien dedans et que ça ne sert à rien).

          à ne pas confondre avec la phytothérapie, qui utilise les plantes pour soigner, notamment en tisanes, décoctions, etc...

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          • #20
            Quand je suis arrivé en europe ( c'etait en plein hiver),je suis passé par une periode ou je toussais tout le temps, du mal à dormir car mon nez coulé non stop, je pouvais pas utiliser d'antibiotique car j'en avais abusé en Algérie ( et pas que de l'ampiciline )

            j'ai commencé à prendre de l'oscillococcinum qu'un medecin avait recommandé à ma mére, j'ai commencé et ça allait beaucoup mieux de jour en jour, cette année par exemple il a neigé et j'ai rien eu , moi qui etait si fragile

            ce qui est bien avec l'homeopathie c'est qu'au lieu de lutter contre les bactéries ,ce médicament renforce ton système immunitaire pour que ton corps puisse se défendre tout seule pour moi ça a marcher pour ce que j'avais....
            ceci dit ,c'est pas ce que je prendrai en cas d'Otite

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            • #21
              Neytiri : exact, l'homéopathie est très recommandé en préventif. Par exemple, quand l'hiver commence, avant d'attraper angines ou grippes, si on y est sujet...

              en tout cas, les granules que je donnais à ma fille pour ses douleurs dentaires (chamomilla vulgaris) m'ont semblé très efficaces! et là, on ne peut pas parler d'effet placebo...

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              • #22
                Hello Parisette,
                oui en preventifs c'est excellent...
                pas d'effet Placebo ,ça c'est certain, dans mon cas en tout cas... je sens mon organisme beaucoup plus résistant , ya pas mieux
                ce qui est bien aussi avec l'homéopathie ,c'est que si ça te fais pas du bien, au moins ça te fais pas de mal , contrairemlent aux antibiotique qui eux rendent les bacteries beaucoupl dans le cas ou c'etait pas ce qu'il fallait ...
                ceci dit :

                IL y'a des cas ou on ne peut pas se contenter de ça et ou les Antibiotiqueq sont OBLIGATOIRE !!

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                • #23
                  c'est clair!!
                  d'ailleurs, un médecin homéopathe (qui a la même formation qu'un médecin classique) dira toujours à son patient quand l'homéopathie a ses limites et quand il faut passer à l'allopathie...

                  moi, là où je me pose des questions, c'est sur l'acupuncture...
                  peut-être que j'essaierai, un jour.

                  Commentaire


                  • #24
                    moi, là où je me pose des questions, c'est sur l'acupuncture...
                    peut-être que j'essaierai, un jour.
                    j'y pensais la dernière fois, j'ai une amie qui en a fait pour perdre du poids
                    et parrait que ça a marché

                    ça me laisse perplexe mais ce qui est sure c'est que c'est pas demain la veille que je vais le faire ( trop peur des piqures )

                    Commentaire


                    • #25
                      chez certaines personnes ça marche, chez d'autres non

                      alors pourquoi ne pas essayer après tout, si ça marche et que ça peux éviter de prendre des "médicaments"

                      autant essayer puique ça n'est pas nocif

                      Commentaire


                      • #26
                        c'est une technique vieille de plusieurs millénaires... ça a fait ses preuves.
                        mais moi aussi, les piqures... brrr! :22:

                        en tout cas si je consulte un acupuncteur un jour, ce sera grâce à du bouche à oreille, parce qu'on me l'a recommandé.. j'irais pas voir le 1er acupuncteur du coin!

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                        • #27
                          Bonjour moloud arazgui
                          Je n'y connais rien je ne vais pas pouvoir te renseigner je n'en prends jamais

                          .
                          **Souvent imitée jamais égalée **
                          Mi ange - Mi démon

                          Commentaire


                          • #28
                            J'ai tendance à ne même pas croire à 100% à la médecine classique.

                            La médecine est là pour faire patienter le malade en attendant à ce que la nature le guérisse, elle est basée en grande partie sur l'anti-douleur.

                            J'ai eu le malheur d'avoir une RSI, qui m'a pourri la vie pendant pas mal de temps, j'ai eu le droit à tout : Neurologue, rhumato, .... EMG, .... et finalement ça allait mieux quand j'ai changé beaucoup de choses. On a failli m'opérer, j'avais même rdv avec un chirurgien de la main !
                            Dernière modification par MisterOver, 08 juillet 2010, 14h51.
                            «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

                            Commentaire


                            • #29
                              Bonjour MisterOver
                              C'est quoi un rsi??

                              .
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                              • #30
                                La médecine est là pour faire patienter le malade en attendant à ce que la nature le guérisse
                                mouai, si j'avais attendu que la nature me guérisse, je serais déjà morte deux fois à 3 mois d'intervalle

                                oui dis nous, c'est quoi une rsi, enfin, dis nous si tu veux hein !

                                Commentaire

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