Zigonet
La Justice a demandé à Jean Caby, la charcuterie industrielle, de verser la somme de 4 700 euros à un particulier au titre d'indemnités. Ce dernier s'était cassé une dent sur une saucisse de la marque.
En février 2008, un client de la marque Jean Caby mord dans une saucisse de la charcuterie industrielle et se casse une dent sur un morceau de quartz de quelques millimètres. Avec son ami présent lors du repas comme témoin, il décide alors de porter l'affaire devant la Justice.
Les tribunaux ont alors fait appel à une expertise qui a bien confirmé le lien de causalité entre le morceau de quartz et la dent cassée. Lundi, ils ont donc condamné Jean Caby à verser la somme de 4 700 euros au plaignant. "Mon client travaille dans la restauration. Cette dent en moins créait un préjudice esthétique. Et il a dû avancer les frais dentaires pour se faire poser une prothèse (...) Le caillou ne pouvait venir que de la saucisse", explique Emmanuel Ludot, l'avocat du plaignant.
De son côté, la société Jean Caby a expliqué vouloir faire appel de la décision de justice. Ainsi, un porte-parole de l'entreprise explique : "Le process industriel comporte de nombreux filtres très fins qui interdisent l'intrusion d'un élément étranger dans la chair à saucisse".
La Justice a demandé à Jean Caby, la charcuterie industrielle, de verser la somme de 4 700 euros à un particulier au titre d'indemnités. Ce dernier s'était cassé une dent sur une saucisse de la marque.
En février 2008, un client de la marque Jean Caby mord dans une saucisse de la charcuterie industrielle et se casse une dent sur un morceau de quartz de quelques millimètres. Avec son ami présent lors du repas comme témoin, il décide alors de porter l'affaire devant la Justice.
Les tribunaux ont alors fait appel à une expertise qui a bien confirmé le lien de causalité entre le morceau de quartz et la dent cassée. Lundi, ils ont donc condamné Jean Caby à verser la somme de 4 700 euros au plaignant. "Mon client travaille dans la restauration. Cette dent en moins créait un préjudice esthétique. Et il a dû avancer les frais dentaires pour se faire poser une prothèse (...) Le caillou ne pouvait venir que de la saucisse", explique Emmanuel Ludot, l'avocat du plaignant.
De son côté, la société Jean Caby a expliqué vouloir faire appel de la décision de justice. Ainsi, un porte-parole de l'entreprise explique : "Le process industriel comporte de nombreux filtres très fins qui interdisent l'intrusion d'un élément étranger dans la chair à saucisse".
Commentaire