140 ans de découvertes n’approuvent pas Darwin
À partir de 1860, tous les adeptes de la théorie de l’évolution, les évolutionnistes, commencent leurs recherches par trouver les « chaînons manquants » entre les espèces vivantes. Pour convaincre les gens de la réalité de cette théorie, il fallait absolument découvrir ces intermédiaires. Le challenge a commencé ! Les cibles de recherche allaient être les océans encore inexploités à l’époque ainsi que l’immense étendue des sous-sols terrestres. En ce qui concerne les océans De 1860 à aujourd’hui, les recherches ont été stériles dans ce sens, mais fertiles dans un autre ! Pourquoi ? Les résultats étaient complètement l’inverse de ce qu’ils pouvaient attendre ! Au lieu de découvrir des êtres vivants intermédiaires de ceux qui existent déjà, ils ont mis à jour de nouvelles espèces inconnues et encore plus mystérieuses (exemple : la faune des rifts océaniques). Donc, rien qui confirme la théorie ! Mais en 1938, une découverte est venue faire la joie des darwinistes : la pêche d’un poisson étrange au large des îles Comores, le coelacanthe. Ils pensaient avoir mis à jour un intermédiaire entre les poissons et les amphibiens, mais son étude plus approfondie a prouvé que ce n’était pas le cas. Il s’agit en réalité d’une espèce voisine des Rhipidistiens, mais pas du tout d’un ancêtre d’amphibien (voir Science et Vie de décembre 1990, et le chapitre IV-1 de ce livre). Sans perdre espoir, les évolutionnistes ont décidé de porter leurs efforts sur le sous-sol de la terre. En ce qui concerne les entrailles de la terre L’exploration des entrailles de la terre pour rechercher des formes intermédiaires non pas vivantes mais fossiles était aussi l’espoir de Darwin, comme il le dit : « Seule une faible fraction de la surface de la terre a été explorée ». Il suggère ainsi qu’un grand nombre de chaînons manquants sont enfouis sous la terre et attendent d’être découverts. Cette colossale quête de fossiles aboutit en 1909 à une étonnante découverte. Les paléontologues ont mis à jour en Colombie britannique, la faune de Burgess, vieille de 600 millions d’années ! Mais là encore, au lieu de trouver des formes intermédiaires, ils n’observent que des formes actuelles connues (méduses...) ainsi que des animaux aujourd’hui disparus ! Cette découverte ne fait que compliquer le problème ! En 1947, ils découvrent en Australie la faune d’Édiacara âgée de 700 millions d’années et constituées de faunes animales connues et inconnues (voir la K7 vidéo « planète miracle » sur ce sujet, très intéressante car ces animaux étranges ont été reconstitués par images de synthèse !) mais toujours pas de chaînons !
À partir de 1860, tous les adeptes de la théorie de l’évolution, les évolutionnistes, commencent leurs recherches par trouver les « chaînons manquants » entre les espèces vivantes. Pour convaincre les gens de la réalité de cette théorie, il fallait absolument découvrir ces intermédiaires. Le challenge a commencé ! Les cibles de recherche allaient être les océans encore inexploités à l’époque ainsi que l’immense étendue des sous-sols terrestres. En ce qui concerne les océans De 1860 à aujourd’hui, les recherches ont été stériles dans ce sens, mais fertiles dans un autre ! Pourquoi ? Les résultats étaient complètement l’inverse de ce qu’ils pouvaient attendre ! Au lieu de découvrir des êtres vivants intermédiaires de ceux qui existent déjà, ils ont mis à jour de nouvelles espèces inconnues et encore plus mystérieuses (exemple : la faune des rifts océaniques). Donc, rien qui confirme la théorie ! Mais en 1938, une découverte est venue faire la joie des darwinistes : la pêche d’un poisson étrange au large des îles Comores, le coelacanthe. Ils pensaient avoir mis à jour un intermédiaire entre les poissons et les amphibiens, mais son étude plus approfondie a prouvé que ce n’était pas le cas. Il s’agit en réalité d’une espèce voisine des Rhipidistiens, mais pas du tout d’un ancêtre d’amphibien (voir Science et Vie de décembre 1990, et le chapitre IV-1 de ce livre). Sans perdre espoir, les évolutionnistes ont décidé de porter leurs efforts sur le sous-sol de la terre. En ce qui concerne les entrailles de la terre L’exploration des entrailles de la terre pour rechercher des formes intermédiaires non pas vivantes mais fossiles était aussi l’espoir de Darwin, comme il le dit : « Seule une faible fraction de la surface de la terre a été explorée ». Il suggère ainsi qu’un grand nombre de chaînons manquants sont enfouis sous la terre et attendent d’être découverts. Cette colossale quête de fossiles aboutit en 1909 à une étonnante découverte. Les paléontologues ont mis à jour en Colombie britannique, la faune de Burgess, vieille de 600 millions d’années ! Mais là encore, au lieu de trouver des formes intermédiaires, ils n’observent que des formes actuelles connues (méduses...) ainsi que des animaux aujourd’hui disparus ! Cette découverte ne fait que compliquer le problème ! En 1947, ils découvrent en Australie la faune d’Édiacara âgée de 700 millions d’années et constituées de faunes animales connues et inconnues (voir la K7 vidéo « planète miracle » sur ce sujet, très intéressante car ces animaux étranges ont été reconstitués par images de synthèse !) mais toujours pas de chaînons !
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