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Une marocaine enceinte tuée par les miliciens Kadhafistes à Misrata

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  • Une marocaine enceinte tuée par les miliciens Kadhafistes à Misrata

    Une femme marocaine enceinte de sept mois a été maltraitée et brutalisée jusqu'à la mort par des mercenaires subsahariens pro-Kadhafi durant le siège de la ville libyenne de Misrata, rapporte mardi le quotidien français +Libération+, citant un témoin marocain.

    Ahlam, qui travaillait comme cuisinière dans le restaurant Al-Elmtiaze, un établissement prisé de Tripoli Street à Misrata, a été prise en otage sur son lieu de travail, en compagnie de l'un de ses collègues, Aziz Yahya, ainsi que la famille de celui-ci.

    Ce père de famille marocain, qui a survécu à ce drame avec sa femme et son fils, fait un témoignage bouleversant sur les horreurs, maltraitances ou viols qu'ils avaient subis durant leur captivité qui aura duré plus d'un mois, jusqu'à l'arrivée des rebelles.

    Selon lui, le 18 mars, une vingtaine de soldats de Kadhafi ont pris d'assaut le restaurant après l'avoir mitraillé pendant de longues minutes. "Ils ont occupé les deux étages du dessus pendant trente-cinq jours, nous traitant comme des animaux, moi, ma femme Haouria, et mon garçon Amine qui a 12 ans", raconte-il à l'envoyé spécial de Libération, Jean-Louis Le Touzet.

    Le deuxième jour, Ahlam, la trentaine, "a été giflée et poussée violemment par trois mercenaires qui faisaient partie du groupe des vingt, dans une pièce qui servait de salon pour prendre le thé", a dit Aziz qui a identifié parmi les soldats, trois subsahariens: "un Nigérien, un Malien et un Tchadien". Ce dernier, leur chef, était le plus cruel du groupe et s'appelait "Koula", se souvient-il.

    "La cuisinière, juste avant de se faire brutaliser, a demandé au nom d'+Allah le miséricordieux+ de ne pas la maltraiter étant donné son état: elle pouvait accoucher d'un moment à l'autre. De longues minutes plus tard, les trois mercenaires sont ressortis de la pièce. La femme se tenait le ventre à deux mains, en pleurs, et c'est alors que le Tchadien s'est dirigé vers elle et lui a +shooté+ dans l'entre-jambe +comme si c'était un ballon+", ajoute-il.

    "Ahlam est tombée sur le dos, décrit Aziz, puis le Tchadien l'a, à nouveau, frappée au ventre. Elle s'est mise à vomir du sang puis n'a plus bougé. Tout cela s'est passé devant mon petit (12 ans) et ma femme. On ne pouvait rien faire. Si on bougeait, ils nous tuaient", témoigne-t-il.

    "Le Tchadien dit alors en arabe aux deux gars : +Trouvez une pelle sur un char et enterrez-la+. Les deux mercenaires traînent la femme par les pieds dans l'escalier en béton", a ajouté Aziz qui se souvient du bruit de la tête contre les marches. "Ils la balancent ensuite dans un pick-up, comme un sac".

    Après le décès d'Ahlam, la famille Yahya a vécu le calvaire pendant plus d'un mois, jusqu'au jeudi 21 avril, jour où les rebelles ont pris le contrôle de la ville. En les voyant entrer dans l'immeuble, Aziz crie : "Je suis Marocain, cuisinier et j'ai une femme et un enfant avec moi".

    Les rebelles, dans l'escalier, leur font signe de descendre et les couvrent en arrosant la rue : "On a dû courir 200 mètres pour se mettre à l'abri. J'ai cru qu'on allait mourir", poursuit-il, précisant que les soldats de Kadhafi étaient alors déjà partis.

    Selon le journaliste de +Libération+, Aziz et sa famille se trouvaient lundi à la clinique Al-Hekma, et cherchaient instamment à évacuer Misrata, voire la Libye.

    MAP

  • #2
    elle n'a jamais eu d'enfants. Llay r'hamha, elle était cuisinière dans un restaurant appartenant à des marocains, qui ont eu la vie sauve.

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    • #3
      ..Allah yarham..

      ..c'est lâche et inhumain..!
      ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
      On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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      • #4
        une histoire á dormir debout!

        pourquoi une marocaine? zaama parceque le caniche s'est présenté pro guerre contre la Libye?

        On veut ns dessiner les libyens comme étant plus barbares que les sionistes!

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        • #5
          la traduction en française please ,c'est dans la CHARTE..
          et la source ?

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          • #6
            Ca doit être cet article non?:


            Des sbires kadhafistes ont fait vivre l’horreur au cuisinier marocain d’un restaurant de Tripoli Street, détenu plus d’un mois avec sa famille.


            Par JEAN-LOUIS LE TOUZET Envoyé spécial à Misrata
            Ils sont arrivés à vingt, le 18 mars, en treillis bleutés, juste après le coucher du soleil, dans le restaurant Al-Elmtiaze dont la spécialité était le poulet grillé. Ils ont mitraillé pendant de longues minutes ce qui était l’établissement le plus prisé de Tripoli Street. Le patron,

            Commentaire


            • #7
              un cuistot marocains? ce n'est pas une femme alors ?tout un un fromage pour ça.? car deux ou trois type l'ont passé a tabac car son pays a fait le mauvais choix...on n'est en plein délire

              si c'est cela l'article ,et bien moi aussi je peut en poster sur les misères qu'on vécu les algériens a cause des mensonges sur "l'aide algerienne " par les membre du c.n.t..et croyez moi ,c'est pas beau..

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              • #8
                Une Marocaine enceinte sauvagement assassinée par les mercenaires de Kadhafi à Misrata (Libération)

                Une femme marocaine enceinte de sept mois a été maltraitée et brutalisée jusqu'à la mort par des mercenaires subsahariens pro-Kadhafi durant le siège de la ville libyenne de Misrata, rapporte mardi le quotidien français +Libération+, citant un témoin marocain.

                Ahlam, qui travaillait comme cuisinière dans le restaurant Al-Elmtiaze, un établissement prisé de Tripoli Street à Misrata, a été prise en otage sur son lieu de travail, en compagnie de l'un de ses collègues, Aziz Yahya, ainsi que la famille de celui-ci.

                Ce père de famille marocain, qui a survécu à ce drame avec sa femme et son fils, fait un témoignage bouleversant sur les horreurs, maltraitances ou viols qu'ils avaient subis durant leur captivité qui aura duré plus d'un mois, jusqu'à l'arrivée des rebelles.

                Selon lui, le 18 mars, une vingtaine de soldats de Kadhafi ont pris d'assaut le restaurant après l'avoir mitraillé pendant de longues minutes. "Ils ont occupé les deux étages du dessus pendant trente-cinq jours, nous traitant comme des animaux, moi, ma femme Haouria, et mon garçon Amine qui a 12 ans", raconte-il à l'envoyé spécial de Libération, Jean-Louis Le Touzet.

                Le deuxième jour, Ahlam, la trentaine, "a été giflée et poussée violemment par trois mercenaires qui faisaient partie du groupe des vingt, dans une pièce qui servait de salon pour prendre le thé", a dit Aziz qui a identifié parmi les soldats, trois subsahariens: "un Nigérien, un Malien et un Tchadien". Ce dernier, leur chef, était le plus cruel du groupe et s'appelait "Koula", se souvient-il.

                "La cuisinière, juste avant de se faire brutaliser, a demandé au nom d'+Allah le miséricordieux+ de ne pas la maltraiter étant donné son état: elle pouvait accoucher d'un moment à l'autre. De longues minutes plus tard, les trois mercenaires sont ressortis de la pièce. La femme se tenait le ventre à deux mains, en pleurs, et c'est alors que le Tchadien s'est dirigé vers elle et lui a +shooté+ dans l'entre-jambe +comme si c'était un ballon+", ajoute-il.

                "Ahlam est tombée sur le dos, décrit Aziz, puis le Tchadien l'a, à nouveau, frappée au ventre. Elle s'est mise à vomir du sang puis n'a plus bougé. Tout cela s'est passé devant mon petit (12 ans) et ma femme. On ne pouvait rien faire. Si on bougeait, ils nous tuaient", témoigne-t-il.

                "Le Tchadien dit alors en arabe aux deux gars : +Trouvez une pelle sur un char et enterrez-la+. Les deux mercenaires traînent la femme par les pieds dans l'escalier en béton", a ajouté Aziz qui se souvient du bruit de la tête contre les marches. "Ils la balancent ensuite dans un pick-up, comme un sac".

                Après le décès d'Ahlam, la famille Yahya a vécu le calvaire pendant plus d'un mois, jusqu'au jeudi 21 avril, jour où les rebelles ont pris le contrôle de la ville. En les voyant entrer dans l'immeuble, Aziz crie : "Je suis Marocain, cuisinier et j'ai une femme et un enfant avec moi".

                Les rebelles, dans l'escalier, leur font signe de descendre et les couvrent en arrosant la rue : "On a dû courir 200 mètres pour se mettre à l'abri. J'ai cru qu'on allait mourir", poursuit-il, précisant que les soldats de Kadhafi étaient alors déjà partis.

                Selon le journaliste de +Libération+, Aziz et sa famille se trouvaient lundi à la clinique Al-Hekma, et cherchaient instamment à évacuer Misrata, voire la Libye.

                MAP

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                • #9
                  la traduction en française s'il vous plaît, C'EST DANS la CHARTE ..
                  et la source?
                  Selon le Journal (Libération) français, le mardi 26 avril, citant un témoin oculaire, que la femme marocaine a été enceinte de sept mois a été maltraité et agressé sauvagement à mort aux mains des mercenaires d'Afrique sub-saharienne, pro-Kadhafi, pendant le siège de la ville de Misurata, Libye.

                  Les rêves ont eu lieu, qui a travaillé restaurant Ktbachp (franchise), connu sous le nom des rues de Tripoli Misurata, son importance comme otage, avec un de ses collègues a appelé Aziz Yahya, ainsi que sa famille.

                  Le Seigneur a fait cette famille marocaine, qui a survécu à la tragédie avec sa femme et son fils, des témoignages choquants sur les actes odieux et les attaques et les viols qu'ils ont subis pendant leur détention, qui a duré plus d'un mois, jusqu'à l'arrivée des rebelles.

                  Il a expliqué que le 18 Mars dernier, ont fait irruption dans une vingtaine de soldats du restaurant après Kadhafi a tiré dans sa direction pendant quelques minutes long.

                  Il a raconté à l'Envoyé spécial (Libération), Jean-Louis Le Tousey comment »ils occupaient deux étages du 35 jours, au cours de laquelle ils nous traitent comme des animaux, ma femme et moi nymphe, et mon fils, Amin, qui à l'âge de 12 ans."

                  Aziz a dit qu'il était le deuxième jour ont été les rêves, qui est dans la trentaine ", giflé et le paiement violemment par trois mercenaires faisaient partie d'un groupe de vingt personnes, dans le hall était une coutume de boire du thé», et ajoute qu'il a reconnu parmi les soldats sur l'Afrique trois sub-saharienne Grands », et ils sont le Nigeria, le Mali et le Tchad." Celui-ci, leur chef, le plus difficile dans le groupe et nommé "Khola».

                  »Le cuisinier, juste avant l'exposition à la réprimande, j'ai demandé au nom de Dieu le Miséricordieux qui ne sont pas maltraités en raison de leur état de santé:. Où il était possible de donner naissance à n'importe quel moment de longues minutes après que, sur de mercenaires trois de la salle Le rêve de se tenant le ventre à deux mains. , elle a pleuré, quand il est allé tchadien Nhohaa et de pied, comme si il avait jeté balle. "

                  Il a décrit Aziz comment "rêves est tombé sur le dos, avant de retourner pour frapper du Tchad dans l'estomac. Ont commencé à vomir du sang, puis n'a pas aller au-delà. Tout cela se passait en face de mon fils (12 ans) et ma femme. N'était-ce pas en mesure de faire quoi que ce soit. Si nous agissons, Ils allaient nous tuer. "

                  Aziz a déclaré, "Le Tchad dit à ses compagnons en arabe», «Abgesa pour Advinaha et une pelle." Les nuages de ses pieds dans le tiroir, dit-il, ajoutant qu'il se souvient de la voix de rêve, un tiroir du haut s'est écrasé, en disant: "Ils ont ensuite jeter dans un camion pick-up comme s'il s'agissait d'un sac."

                  Après la mort de rêves, le sort de la famille Yahya a vécu pendant plus d'un mois, jusqu'à ce que le jeudi 21 avril, le jour où les rebelles ont pris le contrôle de la ville. Et après avoir vu leur marche en architecture, Aziz a crié "Je suis marocain, cuisiner avec moi et ma femme et mon fils."

                  Les rebelles leur a demandé de descendre de l'apparition de l'escalier », a déclaré Aziz," Nous avons couru une distance de 200 mètres pour se cacher. Je pensais que nous allons mourir », expliquant que les soldats Kadhafi avait disparu.

                  Selon la presse (Libération), Aziz et sa famille ont été lundi 25 avril clinique de la sagesse, et il est urgent cherchant à quitter le Misurata, la Libye, mais chacun d'eux.

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                  • #10
                    ont la poster en même temps le keyboardzapper

                    Commentaire


                    • #11
                      Allah yer7emha...C'est le summum de la sauvagerie....kadhafi, sa famille, ainsi que son clan doivent être taillés en morceaux....pourvu qu'un drone les réduise en cendre.

                      Commentaire


                      • #12
                        C'est un double meurtre pourquoi n'ont-ils pas eu pitié d'elle ne serait-ce que a cause du bébé...

                        Commentaire


                        • #13
                          taghityi

                          une histoire á dormir debout!

                          pourquoi une marocaine? zaama parceque le caniche s'est présenté pro guerre contre la Libye?

                          On veut ns dessiner les libyens comme étant plus barbares que les sionistes!
                          Y a vraiment des commentaires qui dégoutes !

                          Purée c'est quoi ces "frères" ! comment ne pas aimer le sionistes quand on lis ca de "nos frères" à longueur de journée

                          Les sionistes contrairement a ceux dont tu fais parti ne s'en prennent pas à leurs frères.
                          Dernière modification par Le prolétaire, 26 avril 2011, 23h10.

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                          • #14
                            Y a vraiment des commentaires qui dégoutes !
                            c'est la propagande et les mensonges derrieres les frappes de l'OTAN qui sont dégoutantes!

                            AlJazeera a montré il y a quelques jours une famille marocaine qui aurait été sauvée par les insurgés, avec plein de valises et de sac sur un pick up, jamais aljazeera aurait raté une histoire sur une femme enceinte torturée et mutilée!

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                            • #15
                              petit çà peit les choses vont se révéler et la folie de Kadhafi sortira au grand jour.

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