Etats-Unis: Un détenu a mis enceintes quatre gardiennes de prison, qui auraient permis à son gang de régner sur un centre de détention de Baltimore.
Une enquête fédérale sur un gang opérant de l'intérieur de la prison a mené à l'inculpation de 25 personnes.
Parmi elles, treize gardiennes de la prison ont été inculpées pour avoir aidé les malfrats à régner sur l'établissement en faisant passer des téléphones portables, des pilules sur ordonnance et d'autres produits de contrebande dans leurs sous-vêtements, chaussures et cheveux.
En échange, avec l'argent qu'ils gagnaient en prison, les malfrats achetaient des voitures de luxe que les surveillantes pouvaient conduire.
Au cœur de cette enquête se trouve l'un des leaders du gang, Tavon White. Il serait devenu le père de cinq enfants, depuis son incarcération en 2009 au Baltimore City Detention Center. Quatre gardiennes seraient tombées enceintes du prisonnier.
Tatouages sur le cou et le poignet
Le Washington Post révèle que deux d'entre elles se sont même fait tatouer le prénom du détenu. L'une sur le cou, l'autre sur le poignet, précise le journal américain.
Une enquête fédérale sur un gang opérant de l'intérieur de la prison a mené à l'inculpation de 25 personnes.
Parmi elles, treize gardiennes de la prison ont été inculpées pour avoir aidé les malfrats à régner sur l'établissement en faisant passer des téléphones portables, des pilules sur ordonnance et d'autres produits de contrebande dans leurs sous-vêtements, chaussures et cheveux.
En échange, avec l'argent qu'ils gagnaient en prison, les malfrats achetaient des voitures de luxe que les surveillantes pouvaient conduire.
Au cœur de cette enquête se trouve l'un des leaders du gang, Tavon White. Il serait devenu le père de cinq enfants, depuis son incarcération en 2009 au Baltimore City Detention Center. Quatre gardiennes seraient tombées enceintes du prisonnier.
Tatouages sur le cou et le poignet
Le Washington Post révèle que deux d'entre elles se sont même fait tatouer le prénom du détenu. L'une sur le cou, l'autre sur le poignet, précise le journal américain.
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