D'apres vous qu'elle est la personne la plus representative de l'Algerie en terme d'images,je m'explique qu'elle est le premier visage ou le premier objet qui se projete lorqu'on évoque l'Algerie?ses hommes,son payasage,ses histoires.....
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Qu'elle image a t'on de l'Algerie?
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Moi je pense à l’Emir Abd El Kader, ensuite à une oasis, un dromadaire, un palmier, les figues de barbarie, une femme qui roule le couscous dans une bassine en bois, une jeune fille qui porte son pain au four communal, l’odeur du café pilé, la sieste, une intense lumière chaude, une citronnade, la fraîcheur de la nuit !L'Homme s'obstine à inventer l'Enfer dans un monde paradisiaque. Jacques Massacrier
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la famille, le partage, la convivialité, la sieste, le pain "khmir ", le café de l'après midi, le desert, la corniche, les petites ruelles, le haik, l'ambre et le jasmin, les jardin de maison, les palmerais, le mouton, de dromadaire, l'olive et l'huile d'olive, les grenadine et les figues, les maison de pierre et d'argile et effectivement l'odeur du café .....
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Salut à toutes et à tous,
trés intéressante question que celle qui vient d'être posée.
moi par contre, cela me fait penser tout de suite au gachis, je m'explique:
- la distance qui sépare ce que nous aurions pu être et ce que nous sommes.
- la distance qui sépare ce que nous étions et ce que nous sommes.
- les occasions que nous avons laissé passé.
- tout le temps perdu.
- et les chances qui s'ameunuisent au fil du temps.
- enfin, toute la beauté citée Amelle, par exemple, dont on ne peut profiter pleinement et qu'on atendance a perdre.
C.B.
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mon pays!!
la première image qui me vient en pensant à mon beau et cher pays c'est mes amis avec qui je passais plus de temps, le visage des miens qui est plein d'innocence et qui sont plongés dans le désœuvrement complet.
De ma grand mère qui a réussi un des plus dur challenge qui est de survivre à toute les misères y compris perdre son mari à 26 ans et voir ses p'tits enfants désemparés et fuyants dans toute les directions; et garder toujours son coeur, son sourire et sa bonté.La vie est trop courte, mais l'espoir demeure.
avoir confiance en soi est l'essence de la réussite.
Vive l'Algérie prospère et vive nos Martyrs.
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Re bonsoir à tous,
Clémence,
Je peux comprendre ton point de vue néanmoins... En fait ça me fait penser à cette histoire du billet de 20$ que j'ai lu sur un autre forum... Le billet froissé, sali, foulé au pied... Mais qui a toujours la même valeur.
Bonne question en tout cas...
Vous pouvez répeter la question ?
Si ce n'est pas Stéphanie de Monaco, pour moi, ce pourrait être un grosse déprime doublé d'un caprice en plein hiver devant la baie d'Annaba. Il pleut, le ciel est plombé, la mer s'accorde en gris à mon humeur, en fait, tout est accordé ; il m'en faut à peine plus pour devenir irrascible. A ce moment je me dis seulement : Mais qu'est-ce que je fais là!?
Sinon, ça pourrait être au printemps le nettoyage des escaliers du jardin au jet d'eau par deux presque jeunes filles et qui se finit dans de grands éclats de rire essouflés en bataille rangée (et propre!) jet contre seau (j'aurais du mal après ça à prétendre que je me fous du luxe).
OU encore une expédition équipé de jerricans pour aller puiser au fond du chateau, près duquel se retrouvent tous les petits du quartier, l'eau qui n'a pas pu s'écouler faute de pression. Le genre de péripéties qui font se tirer les cheveux aux parents mais qui agrémentait drôlement notre quotidien d'enfants d'une liberté habituellement non autorisée et de toilettes allégées.
Ou peut-être une pluie au Sahara vers la fin du mois d'octobre, je voulais tant voir le désert vert... Et puis quand j'ai vu défilé les routes défoncées, arrachées, disparues, les camionneurs par dizaines poirotant sous la chaleur dans ce coin paradisiaque (!) ou s'érige la station Naftal au centre des gorges d'Arak avec en face un barrage militaire, et un peu partout près ou loin de la route, des chameaux seuls, éparpillés, éguarrés par la fulgurante montée des eaux et divaguant deci, delà, loin des troupeaux et des pasteurs qui ne prenaient d'ailleurs pas la peine de les chercher, j'ai été saisie d'un brusque remord d'avoir souhaité l'ondée. Un remord vite effacé du regard malicieux et bienveillant d'Ahmed mon ami targui. Juste un regard disant ce à quoi servirait le passage de cette eau dès le printemps suivant et pourquoi les nomades paraissaient si tranquille, en paix, dans ce lieu plein de mystère et d'une richesse incomparable...
Ou pour finir, toujours au sud, il y a près de Tamanrasset une source gazeuse (Tahabort, je crois). Le restaurant a fermé mais on peut toujours y faire ses réserves et boire directement à la source dans un godet de plastique rouge cette eau dont on dit par là bas que celui qui en boit à Tam un jour reviendra.
Bon week-end à tous et bon courage aux autres :wink:
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