C’est une pratique qui constitue une véritable menace pour des milliers d’étudiantes.
Après le cas de harcèlement sexuel signalé à la cité universitaire de jeunes filles de Dergana, c’est au tour des étudiantes résidentes à Ouled Fayet de faire part de leur situation qui devient de plus en plus inquiétante. Plusieurs d’entre elles ont tenu à dénoncer les innombrables «pressions» dont elles sont les cibles. Certaines d’entre elles, constamment harcelées, ont même été contraintes à quitter les bancs de l’université. La situation est qualifiée de catastrophique par les résidentes de ladite cité, alors que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique n’ose pas lever le petit doigt pour mettre fin à ce genre d’agissements. «Les harcèlements sexuels et moraux sont permanents, les provocations allant jusqu’aux menaces voire agressions physiques, ne cessent de s’abattre sur nous, cela sans parler du manque de sécurité à l’intérieur même de la cité», confie une étudiante résidente à la cité U de Ouled Fayet, hier, lors du rassemblement organisé à la faculté des sciences sociales et humaines de Bouzaréah
.
suite
http://www.lexpressiondz.com/T20041129/ZA4-5.htm
Ceux qui habitent Alger savent que les résidences univeristaires de Ellaia et Benaknoun sont devenue synonyme de lieux ou trouver des filles faciles. Toute le monde est complice administration, surveillant, servicede l'ordre, rabateuse à l'interieur des citées, macro....
Je plaint les filles de bonnes familles qui attérissent dans ces residences universitaires
Après le cas de harcèlement sexuel signalé à la cité universitaire de jeunes filles de Dergana, c’est au tour des étudiantes résidentes à Ouled Fayet de faire part de leur situation qui devient de plus en plus inquiétante. Plusieurs d’entre elles ont tenu à dénoncer les innombrables «pressions» dont elles sont les cibles. Certaines d’entre elles, constamment harcelées, ont même été contraintes à quitter les bancs de l’université. La situation est qualifiée de catastrophique par les résidentes de ladite cité, alors que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique n’ose pas lever le petit doigt pour mettre fin à ce genre d’agissements. «Les harcèlements sexuels et moraux sont permanents, les provocations allant jusqu’aux menaces voire agressions physiques, ne cessent de s’abattre sur nous, cela sans parler du manque de sécurité à l’intérieur même de la cité», confie une étudiante résidente à la cité U de Ouled Fayet, hier, lors du rassemblement organisé à la faculté des sciences sociales et humaines de Bouzaréah
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http://www.lexpressiondz.com/T20041129/ZA4-5.htm
Ceux qui habitent Alger savent que les résidences univeristaires de Ellaia et Benaknoun sont devenue synonyme de lieux ou trouver des filles faciles. Toute le monde est complice administration, surveillant, servicede l'ordre, rabateuse à l'interieur des citées, macro....
Je plaint les filles de bonnes familles qui attérissent dans ces residences universitaires
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