Une étude découvre l’imposture de la chimiothérapie

[absente]

Sid, quoi que je le trouve un peu dangereux dans le sens que, peut etre qu il y a des gens qui ne voudront pas faire la chimio apres.. alors que ça aurait pu les sauver ...

[absent]

Sid, quoi que je le trouve un peu dangereux dans le sens que, peut etre qu il y a des gens qui ne voudront pas faire la chimio apres.. alors que ça aurait pu les sauver ...

Salut Yazou !

Tout reste à prouver !

Il ne faut jamais prendre pour argent comptant tout ce qui est publié sur le net. Il faut en débattre.

C'est le but du post.

D'ailleurs, évaluer la véracité de tels travaux n'est pas du tout à ma porté. Je ne suis ni chercheur, et encore moins un médecin cancérologue.

Par contre, on peut tout à fait chercher des avis sur ce chercheur et/ou des travaux similaires.

[sammy]

difficile de demander à un patient atteint d'un concert de ne pas suivre le traitement prescrit par le médecin ....remplacer la chimio, un traitement qui a fait ses preuves par le curcuma ,reste un choix difficile à faire pour quelqu'un qui risque sa vie ..d'autant plus que les spécialistes ne résonnent pas encore à l’unisson quant à la fiabilité des conclusions de ses études


rebi i3afina ou yechfi tous les concéreux inchalah

[mkh]

Par contre facile de lui demander avant qu'il ne le choppe de prendre ses précautions pour ne pas l'attraper. .. Mais aucune volonté des États! Arrosés par les multinationales pharmaceutiques!

[absent]

Par contre facile de lui demander avant qu'il ne le choppe de prendre ses précautions pour ne pas l'attraper. .. Mais aucune volonté des États! Arrosés par les multinationales pharmaceutiques!

Effectivement mkh, de ce que j'ai compris, c'est un traitement préventif à suivre à partir de 40 ans, un mois par an.

Comme tu l'as dit, le mois de ramadhan pour serait tout indiqué.

[xenon]

Il faut faire attention les amis à la qualité scientifique des articles publiés et des commentaires qui y sont traits.

[absente]

en effet Sid mais je me disais que la chimio est tres éprouvante pour beaucoup, du coup, un malade pourrait se dire pourquoi il souffrait pour un remede qui peut etre le rendrait encore plus malade ?


Sammy, justement, mtn je cuisine bcoup avec du curcuma, surtout dans les soupes.

[sammy]

Par contre facile de lui demander avant qu'il ne le choppe de prendre ses précautions pour ne pas l'attraper. .. Mais aucune volonté des États! Arrosés par les multinationales pharmaceutiques!

même si l'Etat décide de mener des compagnes de sensibilisation, le problème ne réside pas uniquement dans notre mode alimentaire ...c'est un tout ...c'est notre mode de vie qui est à revoir ....à quoi sert de manger des fruits et des légumes s'ils sont génétiquement modifiés et s'il sont emballés dans du plastique qui contient du goudron et si on continue à utiliser des appareils qui dégagent des ondes électriques ,magnétique et j'en sais quoi encore et qu'on respire en plus l'air polluée par les voitures par la fumée de cigarette par les usines ...etc

yazou c'est bien de manger des antioxydants en prévention mais certain pourraient refuser de suivre le traitement chimique à cause de ses études publiées sur le net alors qu'on connait pas leur fiabilité

[absent]

xenon a dit:

Il faut faire attention les amis à la qualité scientifique des articles publiés et des commentaires qui y sont traits.

T'as raison.

Quoique ce chercheur reconnu a plus de 90 ans maintenant, et a publié ses travaux depuis bien longtemps (1946).

Donc il n'est pas né de la dernière pluie.

Voir la biographie détaillée de ses recherches :

http://www.gernez.asso.fr/#/docteur-...gernez/4169274

Biographie résumée : Docteur ANDRE GERNEZ

• Ancien médecin-chef à l’hôpital de Roubaix.
• En 1944, à 21 ans il est médecin.
• Ses travaux en biologie et cancérologie l’amènent à poser des postulats nouveaux.
• 1966 il revisite le principe fondamental de la biologie cellulaire.
• 1971 une étude de INSERM confirme sa théorie de prévention Active du cancer.
• En 1979 il reçoit le prix Hans Adalbert Schweigart pour sa découverte sur « la théorie unifiée du cancer » le jury est composé de 40 prix Nobel.
• Auteur de Néo-postulats biologiques et pathogéniques, La Carcinogénèse mécanisme et prévention
• 1969, Le Cancer dynamique et éradication 1969, Lois et règles de la Cancérisation 1970.

[mkh]

Le professeur André Gernez est celui qui a découvert les cellules souches c'est un crac ignoré car n'allant pas dans le sens des multinationales. Une fois qu'on lève le voile de ce système plus rien ne nous étonne... Nixxon a dit en direct dans les 70s que le cabcer était sur le point d'être éradiqué en ayant decouvert les travaux de Gernez...
Si vous faites des croisements shoananesques vous comprenez plein de trucs...

[absent]

André Gernez - Médaillé d'or au SENAT - 26 Octobre 2012

Docteur André Gernez : Médaillé d'or au SENAT Français le 26 Octobre 2012

Le 26 octobre 2012, le Docteur André Gernez a reçu la Grande Médaille d'Or de la Société d'Encouragement au Progrès, au Sénat, à Paris. Cette distinction lui a été attribuée pour l'ensemble de ses travaux, notamment de biologie humaine et de médecine.

[absent]

Pour info, sachez que cette méthode de traitement du cancer explicité et prouvée scientifiquement par le Pr André Gernez , n'est pas dénoué de tout fondement.

Loin de là.

Il s'avère que c'est une pratique ancestrale d'abstinence temporaire pour purifier le sang, et résulte d'un travail empirique millénaire.

Les Phéniciens, les Assyriens, les Perses, les Lacédémoniens, les Gaulois avaient leurs jeûnes sacrés.

Déjà, Gallien la conseillait comme traitement interne de la cancérisation.

Cette loi s'en retrouve dans toutes les religions, sous forme de ramadan, carême, jeûne brahmanique, etc.

[bsibsa]

Il y a eu un reportage sur Arte il y a quelques mois sur la thérapie par le jeûne et sur sa pratique en Russie (il doit être disponible sur youtube).

J'ai travaillé avec des Russes et j'ai eu l'occasion de m'y rendre plusieurs fois dans le passé. On m'a expliqué qu'à l'époque soviétique, on apprenait aux enfants les vertus de la diète au même titre que le sport et la musique, d'autant qu'il était déjà d'usage de se purger au printemps, par des bouillons et des décoctions.
C'est tout un mode de vie, une culture de la diète pour conserver la santé le plus longtemps qui rend cette thérapie acceptable.

[absent]

Effectivement bsibsa, j'avais le titre d'un livre il y a quelques semaines sur le net.

Je fais une p'tite recherche, et voilà son résumé :

Le jeûne, une nouvelle thérapie ?"
Auteur : Thierry de Lestrade
En librairie le 19 septembre 2013



Et si le jeûne était une méthode simple et efficace pour traiter de nombreuses maladies ? Question provocante, scandaleuse même, pour certains tenants du dogme médical.

Pourtant, depuis le docteur Henry Tanner qui jeûna quarante jours en 1880 à New York sous la surveillance de ses confrères, jusqu’au biologiste américain Valter Longo qui fait jeûner aujourd’hui des souris atteintes de cancer avec des résultats stupéfiants, les études scientifiques sur le jeûne ne manquent pas.

Qui sait par exemple que chercheurs et médecins russes, depuis les années 1950, ont soigné par le jeûne des milliers de patients ?

C’est cette histoire que Thierry de Lestrade restitue dans ce livre remarquablement documenté, fruit d’une longue enquête.

Jeûner est-il dangereux ?
Quels sont les mécanismes du jeûne ?
Peut-on en mesurer les effets ?
Quelle est son action sur les cellules cancéreuses ?

À toutes ces questions, et à bien d’autres, les chercheurs ont donné des réponses, souvent surprenantes. Se dessine alors une autre histoire de la médecine, où l’approche globale du soin a été écartée au profit d’une vision du corps comme simple assemblage de pièces interchangeables.

Or, dans les pays occidentaux, cette médecine moderne ne parvient pas à enrayer la baisse de l’espérance de vie en bonne santé. Face à ce constat, la pratique du jeûne, si ancienne, apparaît comme une thérapie nouvelle.

Le jeûne agit comme un révélateur. Car s’il fait peur au niveau individuel – qui n’a pas peur du manque ? –, il effraie encore plus sur le plan collectif.

Sommes-nous prêts à penser le monde autrement ?
À penser notre système de santé autrement, à penser notre rapport au soin et au corps différemment ?

Dans une société où la logique consumériste est poussée à l’absurde, le jeûne pose une question paradoxale : « Moins peut-il être plus ? ».

[absent]

Le jeûne comme thérapie contre le cancer
Le Monde | 07.10.2013 à 18h05 | Pascale Santi

Pratique ancestrale et religieuse, le jeûne fait de plus en plus d'émules.

Au-delà d'une tendance pour "se purifier", il apparaît comme un nouveau moyen de se soigner. C'est en tout cas ce que montre Le Jeûne, une nouvelle thérapie ?, écrit par Thierry de Lestrade, réalisateur de documentaires, plusieurs fois primé. Le livre est d'ailleurs le prolongement d'un film, au titre identique, coréalisé avec Sylvie Gilman. Ce sujet, rediffusé sur Arte le 19 septembre, a suscité de nombreux questionnements et des débats parfois virulents.

Plutôt mal vu en France, le jeûne commence cependant à être pratiqué par des patients atteints d'un cancer.

Sans remettre en question les bénéfices des traitements chimiques pour agir contre le cancer, l'Américain Valter D. Longo, professeur de biogérontologie à l'université de Californie, a montré, dans une étude menée sur des souris (Science Translational Medicine, mars 2012), que le jeûne suivi dans des conditions précises (ne pas manger mais boire de l'eau deux jours avant chaque chimiothérapie, être accompagné) augmenterait les chances de survie et protégerait des effets secondaires de la chimiothérapie.

Le fait de ne pas manger induit du stress sur les cellules tumorales en les fragilisant, les cellules saines se mettant, à l'inverse, au repos, décrit-il.

"Tous les mécanismes ne sont pas encore clairs, même si nous en comprenons les principes", explique M. Lungo, qui avance plusieurs explications : taux de glucose abaissé, amélioration de l'immunité, facteurs de croissance...

DOUZE CENTRES HOSPITALIERS SUR LES RANGS

Douze centres hospitaliers sont sur les rangs pour lancer des essais randomisés, dont le service de cancérologie de l'hôpital Avicenne (Bobigny), dirigé par le professeur Laurent Zelek.

"Si les gens le font de façon raisonnable, ce n'est probablement pas délétère", explique-t-il. Mais, pour l'instant, ces projets sont au point mort faute de financements.

"Si j'avais mené des études sur un nouveau médicament avec de tels résultats, je recevrais des propositions, des aides financières...", souligne dans le livre le chercheur Andreas Michalsen, spécialiste de naturopathie à l'hôpital de la Charité, à Berlin. En Allemagne, le jeûne est plus répandu, 15 % à 20 % des habitants y ayant eu recours.

Des dizaines d'études ont été réalisées depuis les années 1960 en Russie, notamment par le médecin russe Youri Nikolaev, mort en 1998 à l'âge de 92 ans, mais elles sont restées inconnues en Occident.

Atteints de troubles psychiatriques, de maladies de peau, d'hypertension, de polyarthrite rhumatoïde, d'obésité... deux tiers des patients se sentent mieux grâce au jeûne, explique Thierry de Lestrade. L'auteur s'est lui-même soumis à l'expérience, et s'est rendu pour ce faire à la clinique Buchinger, qui pratique le jeûne thérapeutique.

Nombre de personnes malades n'ont pas attendu l'avis de leur médecin pour tenter l'expérience. Mais la plupart n'osent pas lui en parler. Dans tous les cas, le jeûne permet de reprendre possession de son corps, assurent certains patients, d'être "dans le faire" plutôt que dans l'attente, face au traitement souvent lourd.

Le MONDE - 7-10-2013