Christopher McKinlay n'a pas cherché l'amour en ligne, il a provoqué la rencontre avec son âme soeur grâce à sa science des mathématiques. Alors doctorant en maths à l'université de Californie à Los Angeles (UCLA), il a piraté le site de rencontres en ligne américain OKCupid afin d'augmenter ses chances de trouver la partenaire parfaite pour son profil.
Tout n'a pas été aussi facile pour lui qu'une équation : «Ce n'est pas comme si nos profils correspondaient et nous aurions automatiquement une relation parfaite. C'était juste un mécanisme pour nous retrouver au même endroit. J'ai utilisé OKCupid pour la trouver.» a expliqué le jeune homme au site américain Wired. Retour sur une expérience geeko-romantique inédite.
Un profil des plus originaux
En juin 2012, Christopher, 35 ans, s'ennuie devant son ordinateur à trois heures du matin dans son petit box d'une unité de recherches de la célèbre université californienne. Comme 40 millions d'Américains, il s'est inscrit sur un site de rencontres en ligne après neuf mois de célibat. Il a choisi OKCupid, un service créé en 2004 par un autre génie des maths diplômé d'Harvard. Mais le taux d'affinités avec des jeunes femmes ne dépasse jamais le seuil fatidique des 90%. Il sort avec plusieurs candidates, avant de prendre en main son destin afin de dénicher un « perfect match» parmi les 80 000 femmes de Los Angeles réferencées.
Le Parisien
Tout n'a pas été aussi facile pour lui qu'une équation : «Ce n'est pas comme si nos profils correspondaient et nous aurions automatiquement une relation parfaite. C'était juste un mécanisme pour nous retrouver au même endroit. J'ai utilisé OKCupid pour la trouver.» a expliqué le jeune homme au site américain Wired. Retour sur une expérience geeko-romantique inédite.
Un profil des plus originaux
En juin 2012, Christopher, 35 ans, s'ennuie devant son ordinateur à trois heures du matin dans son petit box d'une unité de recherches de la célèbre université californienne. Comme 40 millions d'Américains, il s'est inscrit sur un site de rencontres en ligne après neuf mois de célibat. Il a choisi OKCupid, un service créé en 2004 par un autre génie des maths diplômé d'Harvard. Mais le taux d'affinités avec des jeunes femmes ne dépasse jamais le seuil fatidique des 90%. Il sort avec plusieurs candidates, avant de prendre en main son destin afin de dénicher un « perfect match» parmi les 80 000 femmes de Los Angeles réferencées.
Le Parisien
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