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Le pur sang arabe
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bonsoir nadifleur
alors comme ça tu aimes le cheval arabe
tu as le gout du luxe
un poème connu au meilleur animal courage noblesse pureté qui dis mieux oeilfermé
« Lorsque Dieu a voulu créer les chevaux, il a dit au vent du Sud : je vais créer de toi une créature en qui je placerai la puissance de mes amis, l’avilissement de mes ennemis, le rempart des gens qui m’obéissent.
- Crée ! » dit le vent.
Allah prit alors de ce vent une poignée et créa un cheval auquel il dit :
« Je te nomme et te crée Arabe,
Je lie le bien aux crins de ton toupet ;
Le butin sera pris grâce à ton dos.
La puissance est avec toi où que tu sois.
Je te préfère à toutes bêtes de somme, dont je te fais le Seigneur.
Je te rends sympathique à ton maître.
Je te fais capable de voler sans ailes, ;
Tu es destiné à la poursuite et à la fuite.
J’imposerai à ton dos des hommes qui me glorifieront,
Et proclameront ma grandeur et mon unité.
Et lorsqu’ils me glorifieront tu me glorifieras aussi ;
Et lorsqu’ils proclameront ma grandeur, tu la proclameras aussi ;
Et lorsqu’ils attesteront mon unité, tu l’attesteras aussi5. »
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Bonsoir Vympel&yazou
Oui, j'aime beaucoup le Cheval, et mes goûts heuuu oui de luxe
Prochainement, je dois faire une "course" avec de Fabuleuses Belles Bêtes Pure Sang Arabe!....
Merci à vous❤️ ❤️ Two souls with but a single thought ❤️ Two hearts that beat as one❤️ ❤️
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bonsoir yazou
c'est qui qui avait tué son cheval pour nourrir des invités ? Omar Ibn khatab ? ( radhia Allahou 3anh ) , il l'aimait tellement, je crois qu il y a fait un poème pour lui.
le riche venait pour acheté le cheval
Prochainement, je dois faire une "course" avec de Fabuleuses Belles Bêtes Pure Sang Arabe!
allons allons il y a très peu de course de chevaux arabe !
en plus c est pas son domaine lui la vitesse même si il est rapide !
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yazou
Cette histoire se passe dans un coin reculé de l’Arabie saoudite, où le désert s’étend à perte de vu, à une époque où le cheval et le chameau étaient les seuls moyens de voyager.
Un jour, un riche marchand amoureux de chevaux et, plus particulièrement, de purs sangs arabes, entendit parler d’un cheval extraordinaire : Un pur-sang de grande valeur qui n’avait jamais perdu la moindre course de vitesse. Son endurance était absolument prodigieuse ; elle était telle que le cavalier se fatiguait souvent avant le destrier. La couleur de sa robe était noir ébène. Il était de toute beauté.
Il avait beau posséder plus de 1000 chevaux, sa passion dévorante lui faisait toujours rechercher les plus beaux, les plus forts et les plus endurants. D’entendre tant de louanges de cette monture, le riche marchand entreprit de faire le voyage lui-même avec des gardes et des servants jusqu’au village du propriétaire pour la lui racheter à prix d’or.
Le voyage était long et pénible à cause de la distance et de la chaleur du désert, et dangereux aussi à cause de leur cargaison en or et des pillards qui rodaient. Mais el-hamdoulillah ils atteignirent leur destination sans encombre. Une fois sur les lieux, le marchand envoya un messager pour prévenir le propriétaire du cheval de son arrivée.
uand ils arrivèrent, ils se présentèrent devant un Bédouin d’un âge avancé. Il se dégageait une grande force et une grande bonté de ce vieil homme qui insista pour leur offrir l’hospitalité malgré leur apparente pauvreté.
Le vieux Bédouin prit congé d’eux pour demander à sa femme de préparer un festin pour le souper, car il réalisait bien que c’était un invité de marque qui allait manger sous sa tente ce soir. Il les laissa avec son fils. Il montait avec beaucoup d’aisance un beau cheval noir, puissant et fougueux.
Le marchand était ébahi par la prestance du cheval. Il n’en avait jamais vu de pareil auparavant.
Du premier coup d’œil, il fut convaincu de sa valeur et se jura de convaincre le vieil homme de le lui vendre ce soir pendant le repas.
La nuit tomba et ce fut bientôt l’heure du repas. Une délicieuse odeur de viande et de galette chaude flottait dans l’air, mais le marchand, obnubilé par l’acquisition du cheval, ne pensait même pas à la faim. Dans une grande tente décorée pour l’occasion, on leur servit du lait de brebis frais, un délicieux tajine et toutes sortes de mets délicieux. La viande était tendre et juteuse. Les gâteaux au miel délicieux… Ce ne fut que lors du service du thé à la menthe que le marchand en vint aux faits.
Il expliqua au bédouin qu’il venait de très loin pour acquérir son cheval et qu’il était prêt à le lui racheter à prix d’or. Le vieil homme resta silencieux. Lorsque le marchand lui demanda quelle était sa réponse, il expliqua tout simplement que le cheval n’était plus. Pour faire honneur à ses invités, le vieil homme avait fait sacrifier son cheval pour nourrir tous les convives.
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merci vym je venais de la lire, et j allais posté, oui en effet, apres l'avoir lu, c'est la meme
mais je ne sais pas ou est ce que je l'ai lu avant, surement en Arabe..
http://*********-**********/decouvre...uin-de-90-ans/
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Merci, Il est trop beau
Dans l'oeil d'un pur-sang arabe,
Tout l'amour,
toute la tendresse du monde,
toute l'intelligence,
toute la fougue du guerrier du désert.
L'oeil d'un pur-sang arabe,
il est grand, rond, exorbité,
avec une pointe pour la larme,
il est bas sur la tête,
dégageant une grande capacité cérébrale,
il est bien à l'extérieur de la tête,
pour d'un coup, embrasser le monde,
Je dirais qu'il pense... le regard posé sur l'horizon,
" l'oeil est le miroir de l'âme "
Aurait-il donc une âme, mon pur-sang arabe?
Jean-Marc Valerio❤️ ❤️ Two souls with but a single thought ❤️ Two hearts that beat as one❤️ ❤️
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