Une Fetwa l’a déclaré illicite en Arabie Saoudite: Pas d’internet pour la femme !
Par Rubrique Radar de Liberté.
"Le principe du tutorat pour la femme musulmane sera désormais élargi même à… la navigation sur le net. En Arabie Saoudite, la toile mondiale vient d’être interdite d’accès aux femmes par une fetwa édictée par deux “cheikhs” wahhabites sous prétexte que ces dernières seraient “démoniaques et vicieuses”, selon le journal koweitien Al-Qabas.
Ainsi, Adnane Al-Khamis et Sâad El-Ghamidi “professent” que la femme serait naturellement portée sur la luxure et qu’il faut l’empêcher de surfer sur le net. Ils lui laissent cependant une porte “ouverte” : qu’elle soit aux côtés de son mari ! En clair, la femme n’a le droit de consulter internet qu’en présence de son conjoint, chargé de contrôler la conformité des sites aux préceptes de l’islam.
Au-delà du caractère bassement rétrograde d’une telle fetwa, il est à se demander si une femme chercheur dans ce pays devrait aussi avoir collé à ses basques son mari du matin au soir. C’est ce que l’on pourrait appeler la confiance virtuelle ! "
Le dernier paragraphe est particuliérement amusant. Une femme chercheur en Arabie! Quel sens de l'humour!
Elle chercherait peut être du pétrole? Les ricains ont tout trouvé déja!
Par Rubrique Radar de Liberté.
"Le principe du tutorat pour la femme musulmane sera désormais élargi même à… la navigation sur le net. En Arabie Saoudite, la toile mondiale vient d’être interdite d’accès aux femmes par une fetwa édictée par deux “cheikhs” wahhabites sous prétexte que ces dernières seraient “démoniaques et vicieuses”, selon le journal koweitien Al-Qabas.
Ainsi, Adnane Al-Khamis et Sâad El-Ghamidi “professent” que la femme serait naturellement portée sur la luxure et qu’il faut l’empêcher de surfer sur le net. Ils lui laissent cependant une porte “ouverte” : qu’elle soit aux côtés de son mari ! En clair, la femme n’a le droit de consulter internet qu’en présence de son conjoint, chargé de contrôler la conformité des sites aux préceptes de l’islam.
Au-delà du caractère bassement rétrograde d’une telle fetwa, il est à se demander si une femme chercheur dans ce pays devrait aussi avoir collé à ses basques son mari du matin au soir. C’est ce que l’on pourrait appeler la confiance virtuelle ! "
Le dernier paragraphe est particuliérement amusant. Une femme chercheur en Arabie! Quel sens de l'humour!
Elle chercherait peut être du pétrole? Les ricains ont tout trouvé déja!
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