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Un médecin algérien victime de racisme de la part du système médical français

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  • Un médecin algérien victime de racisme de la part du système médical français

    Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

  • #2
    tous les médecins algériens ont des choses a dire sur le système français....un conseille , tirez vous en suisse ou au canada ou je ne sait ou , mais ne rester pas chez ces cons
    tu tombe je tombe car mane e mane
    après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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    • #3
      Le chirurgien Rédha Souilamas quitte l'hôpital Pompidou

      Spécialiste de la greffe pulmonaire, le chirurgien Rédha Souilamas reconnu internationalement, dénonce son parcours semé d’embuches dans un livre " la couleur du Bistouri", aux éditions Naive.

      Né à Cherchell, en Algérie, Rédha Souilamas est chirurgien des hôpitaux de Paris, spécialisé dans la greffe pulmonaire. En contraste avec un parcours exceptionnel et une renommée internationale, son histoire professionnelle, semée d’embûches, est une illustration saisissante du plafond de verre et des attitudes hostiles qui le consolident.

      Rédha Souilamas a réalisé 130 greffes pulmonaires et publié 49 publications scientifiques mais sa carrière en France fut ponctuée de discriminations et de brimades. Il écrit son histoire dans un livre « la couleur du Bistouri » où il constate que le système de promotion au sein de l ‘AP-HP est basée sur les réseaux plutôt que sur les compétences. Ses origines algériennes auraient également freiné sa carrière.

      Après des années de combat, le chirurgien a préféré rejoindre une prestigieuse institution de santé américaine où son travail est reconnu.

      ======================

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      • #4
        Ne parlons même pas de la France !

        C'est vraiment malheureusement de telle lumière ne soit pas honorés dans leur propre pays : l'Algérie ! :22:
        Dernière modification par absent, 17 février 2014, 23h06.

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        • #5
          Après des années de combat, le chirurgien a préféré rejoindre une prestigieuse institution de santé américaine où son travail est reconnu.
          lui reste plus qu'a oublier son expérience française ...
          tu tombe je tombe car mane e mane
          après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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          • #6
            traks a dit:
            lui reste plus qu'a oublier son expérience française ...
            Effectivement !

            Même les français y vont. Car sous payé. Alors des algériens ?!

            J'ai des amis médecins spécialitses qui sont en France, et qui ont recommencé tous leur doctorat depuis zéro (passé leur vie à étudier et se faire valoir), pour être reconnu.

            Et pire que çà, ils se doivent de faire 3 à 4 fois mieux plus qu'un simple français pour prétendre avoir une place.

            Et même si tu as une place, ne prétend jamais avancer dans ta carrière.

            Tout est fait pour que tu patines surplace !

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            • #7
              Et ça c'est rien d'où ma colère quasi permanente je sais de quoi je parle !
              des goujats ils sont pratiquement 80% ici en France

              lorsque je vois des responsables algériens brader et donner le pays encore et encore et encore à de vrais paysans (arrivistes qui veulent esclavager les Algériens ) comme ils l'étaient eux mêmes du temps des aristocrates

              mais il faut savoir que c'est un régal pour eux d'écraser un Algérien et le bloquer socialement scientifiquement et moralement et particulièrement s'il est bon !
              La cerise sur le gâteau c'est qu'ils vont aller prodiguer leur remèdes aux algériens qui dirigent le pays en grugeant le pauvre peuple à travers des idiots qui ne connaissent rien de l'histoire de France ni même la raison pour laquelle la France a occupé le pays.

              mais tant que les algériens eux même font pareil avec les algériens que voulez vous

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              • #8
                En Algérie ce n'est pas mieux non plus et pour cause ... le pays est prisonnier d'une histoire dramatique

                En Algérie beaucoup sont aussi bêtes que les Français qui font ça ici en France ...
                C'est impardonnable car ils écrasent des algériens comme eux
                Dernière modification par Aloha, 17 février 2014, 22h50.

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                • #9
                  Mais pourquoi il a attendu autant d'années avant de plier bagage ?
                  De toutes les façons , il a plus de chance d'évoluer et de percer dans un pays ou on ne précise pas ses origines sur son CV
                  « Celui qui ne sait pas hurler , Jamais ne trouvera sa bande " CPE

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                  • #10
                    PremierJour a dit:
                    Mais pourquoi il a attendu autant d'années avant de plier bagage ?
                    De toutes les façons , il a plus de chance d'évoluer et de percer dans un pays ou on ne précise pas ses origines sur son CV
                    Je pense qu'il y a d'abord la barrière de la langue ! Et à mon avis, elle plus "psychologique" qu'autre chose.

                    Autrement, aucune de ces lumières ne restera en France !

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                    • #11

                      Chaque fois que les journalistes algériens, évoquent le cas d’un Algérien il est toujours question d’un un praticien reconnu de réputation mondiale, et un des meilleurs de son domaine …

                      Le cas des Médecins Algériens qui ont émigré pour s'installer par facilité en France, au lieu de choisir d’autres pays, archi connu, nous savons que la majorité d'entre eux y ont été employés au noir dans des hôpitaux, pour des salaires de forçats

                      La situation est due à la réglementation qui régit la profession et aux prés requis nécessaires à la formation dans la spécialisation.

                      Le chirurgien cité est par ailleurs peu clair dans ses explications et suspect de mensonges par omission. Arrivé en France et admis dans un service de chirurgie, première question que l'on se pose comment en est-il arrivé à opérer et à apprendre sa spécialité ? Selon Les normes qui posent un praticien et lui donnent des droits que personne ne lui contestera, il aurait du faire reconnaitre son diplôme algérien, ce qui est très difficile ensuite présenter le concours de l'internat et réussir à se classer parmi les premiers pour pouvoir opter pour la chirurgie. Ce qui est plus vraisemblable c'est qu'il a été employé dans les mêmes conditions misérables qu'offrent les hôpitaux publics aux étrangers , des postes de "faisant fonction" Les toubibs deviennent des assistants des praticiens hospitaliers qui ont les diplômes reconnus , disponibles et corvéables à merci, toujours de garde, accomplissant des petits gestes sous la responsabilité des titulaires de poste. Notre toubib n'a dans ce cas pas le droit de signer une ordonnance. Il est tenu à la rédiger sous le nom de son chef de service.

                      Le combat des médecins à diplôme étranger a permis cependant à la majorité, après des dizaines d'années de leur état indigne, de régulariser leur situation en passant des examens pour obtenir des équivalences et devenir spécialistes dans des hôpitaux publics ou privés. Les médecins oranais, connaissent leur confrère psychiatre qui émigré, il y a une vingtaine d'années en France avec un DEMS de spécialité s'est imposé dans son domaine pour devenir un consultant apprécié sur les chaînes de télévision et qui depuis cette année a été nommé Professeur de l'Assistance Publique de Paris après avoir rempli toutes les conditions exigées par ses pairs, et sur un décret signé par le Président de la République.
                      D'autres médecins d'origine algérienne qui avaient entamé un cursus au même titre que tous les Français, brillants sont au sommet de la carrière universitaire et vraiment des "pontes' dans leur domaine. Professeurs, ils sont des barons titulaires à vie d'un servie où ils sont maîtres après Dieu.

                      Revenons sur notre cas, notre homme parle d'ostracisme et d'être placardisé pour travail insuffisant. Il a donc introduit un dossier de reconnaissance de sa spécialité qui a été rejeté par la Commission d'Equivalence qui au jugé de son expérience prouvée, opérations effectuées par ce dernier ont été jugées peu nombreuses pour justifier le titre de spécialiste.
                      Pour le côté déontologie, le fait de porter le problème dans la rue n'arrange pas la situation. Quant à la prétendue proposition venant des USA, elle reste à démontrer. Dans tous les domaines techniques la compétence prime le diplôme, sauf en médecine. Pour exercer aux USA la loi est très stricte. En premier passer un examen de culture générale qui prouve sa bonne connaissance de la langue. Puis satisfaire à tous les examens exigés pour tous les médecins . Une sommité étrangère connue pour ses travaux particuliers qui sollicite un travail dans les hôpitaux marikanis peut y être invitée comme Professeur étranger pour une période déterminée au cours de laquelle si l’invité confirme ses compétences et veut rester au pays et exercer la médecine humaine, il est appelé à passer les examens prévus par la loi.
                      Mieux si notre algérien retourne au pays il n'aura le droit d'exercer que la médecine générale qu’autorise
                      son diplôme de fin d'études médicales. Pour la chirurgie, il doit soumettre un dossier devant une Commission d’équivalence, qui jugera non pas de ce que les colonisés admettent comme évident - formé fil kharaj, donc ayant des connaissances et une pratique supérieure aux Algériens - mais de la réalité. Si les juges sont de l'avis de leurs pairs fransaoui, le candidat est admis à se mettre à niveau, soit en reprenant à zéro sa chirurgie en s'inscrivant au DEMS, soit à passer quelques années dans un service universitaire formateur. Cas d'un neuro chirurgien formé en Suisse qui rentré en Algérie –« pour rendre service » - nommé d'emblé professeur par les administratifs des Ministères concernés. Nommé chef de service au CHU d'Oran, il a vite montré ses insuffisance. Habitué à travailler, en second dans les services de neurochirurgie qui ne traitaient en général qu’a froid des cas adressés par d'autres confrères avec des diagnostics déjà portés et des dossiers médicaux détaillés , assisté par de nombreux techniciens , le suisse, tombé dans une équipe de spécialistes russes et d'un généraliste algérien qui y travaillait depuis plus d’une décennie notre suisse montra vite ses limites . Comme il veillait en chef suivre tous les admis entouré de son staff d’étudiants et même de résidents – futurs spécialistes
                      , il devint un danger public.

                      Alger envoya un Spécialiste militaire pour une enquête discrète. Après une inspection du service et audition confraternelle des praticiens algériens du service, il revint à Alger pour remettre rapport. Le Professeur venu de Suisse fut maintenu dans son grade, équivalence accordée par le Ministre de l'Enseignement Supérieure algérien mais prié de rejoindre un service de neurochirurgie algérois pour y passer quelques années le temps de dominer la pratique algérienne.

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                      • #12
                        J'ai des amis médecins spécialitses qui sont en France, et qui ont recommencé tous leur doctorat depuis zéro (passé leur vie à étudier et se faire valoir), pour être reconnu.

                        Et pire que çà, ils se doivent de faire 3 à 4 fois mieux plus qu'un simple français pour prétendre avoir une place.

                        Et même si tu as une place, ne prétend jamais avancer dans ta carrière.
                        faux
                        tu n'as qu'à bien lire le long post que je viens de publier pour comprendre le cas des médecins à diplôme étranger

                        la pratique médicale en France obéit à des lois précises, et pour le privé elle est sous la coupe d'un Conseil de l'Ordre reconnu pour son corporatisme outrancier et son racisme prononcé . Les médecins étrangers et les Arabes en particulier y sont considérés comme indésirables. N'oublions pas que du temps de Vichy , les mêmes toubibs responsables des valeurs de leur profession ont donné à la Gestapo leurs confrères juifs pour ensuite leur interdire d'exercer sur le territoire français.

                        pour le secteur public , le manque aigu de personnel , à tous les échelons, à obligé le Ministère - dans un premier temps- à permettre aux Algériens venus avec des diplômes étrangers d'exercer dans les conditions connues. Salaire sous le SMIG , dans des postes d'urgence qui arrangent et les médecins chefs de service libérés pour vaquer à leur clientèle privé et le budget des hôpitaux qui pour le prix d'un médecin du cru emploi quatre étrangers.

                        depuis , la majorité des médecins étrangers régularisée, les Gaulois , craignant la colonisation à rebours par des immigrés de classe moyenne, instruite et compétente mais musulmane a donné des ordres pour ne plus recruter d'Algériens. La préférence sera accordée aux ressortissants de la CE et si par obligation des postes restaient dépourvus les accorder à d'autres arabes mais non Algériens.

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                        • #13
                          C'est vraiment malheureusement de telle lumière ne soit pas honorés dans leur propre pays : l'Algérie ! :22:
                          tous les émigrés qui tentent de revenir en Algérie , depuis l'indépendance sont mal vus

                          les "compétences" qui ont réellement la possibilité de vivre dans le pays qui les a formé sont très peu nombreux. Les rares qui avaient tenté le retour étaient des illuminés atteints pas un patriotisme aigu , qui crurent obligatoire, du temps de la Révolution triomphante et du prestige de BOUMEDIENE de revenir chez eux pour y apporter leur compétences , furent rapidement découragés et contraints à repartir. Les responsables de tous les services de l'état , anciens petits chaouchs des français, anciens moujaheds marsiens, agents de la SM , tous aussi insultes que rusés ne voulaient pas de collaborateurs qui remettraient en doute leur légitimité

                          ceux qui malgré tous d'accrochèrent parce que aussi engagés durant la révolution que les planqués du pouvoir ou couverts par des amis qui ne doutaient de leur sincérité devinrent des suspects pour les citoyens eux mêmes encore plus pour la SM . Leurs collègues ne comprenaient pas comment ils sont retournés dans un bled , qu'eux n'aspirent qu'à quitter, alors que la SM , toujours à leurs basques essayait de les confondre en découvrant le pourquoi de leur retour.

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                          • #14
                            tous les médecins algériens ont des choses a dire sur le système français....un conseille , tirez vous en suisse ou au canada ou je ne sait ou , mais ne rester pas chez ces cons
                            au canada ils finiront chauffeur de taxi ..
                            ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                            On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                            • #15
                              tous les médecins algériens ont des choses a dire sur le système français....un conseille , tirez vous en suisse ou au canada ou je ne sait ou , mais ne rester pas chez ces cons
                              Je pense que ce qualificatif te convient bien, il montre en tous cas ta bêtise
                              Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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