Bonjour,
Les reporters de guerre m'ont toujours fascinés car ils sont au coeur de l'action et ils y vont pour nous. Avec eux où sans eux d'autres hommes sont là et ce sont les photographes.
La magie d'un bon photographe est d'immortaliser un instant . De figer sur la pellicule, un visage, un paysage, un homme bléssé. Ce sont des magiciens.
Alors j'ai découvert ce portrait de Mohamed Messara. Il a travaillé à l'opinion, au Matin et un beau jour il a décidé d'aller en Irak. J'ai aimé lire cet article et je voulais vous le faire découvrir aussi car il travaille au mépris du danger pour son art et sa passion et c'est beau.
Un extrait:
"Aujourd’hui Moh est en Irak où personne n’a vraiment envie d’aller. Il pleut des bombes et l’atmosphère n’est pas bonne à respirer. La mort est au bout de chaque rue. L’autre jour, un reporter de guerre américain, pourtant rompu à ce genre de situation, confiait qu’« ici les journalistes n’ont qu’une envie, partir au plus vite ». Les plus irréductibles d’entre eux ont préféré y rester, à leur corps défendant, juste pour faire leur boulot, même si Baghdad, Felloudja ou « les autres contrées chaudes, c’est la merde », comme le soulignait nerveusement Moh qui a choisi de témoigner, en zoomant sur tout ce qui fait la vie et la mort en Irak. « La réalité, c’est que des gens meurent tous les jours à cause de cette guerre. Ici, la violence se déchaîne un peu partout, chaque jour un peu plus. Ne nous voilons pas la face. Une invasion est par essence injuste et ce que vivent les Irakiens est insoutenable », commente Moh, lui qui brave les dangers presque inconsciemment. Il a choisi l’épreuve du terrain parce qu’il a la chance de le faire pour de multiples raisons, contrairement à certains de ses confrères occidentaux, limités à suivre l’évolution de la situation à partir de leur chambre d’hôtel « bunkerisé ».
Je vous invite à lire la suite: Être photographe à Baghdad
Cordialement
Les reporters de guerre m'ont toujours fascinés car ils sont au coeur de l'action et ils y vont pour nous. Avec eux où sans eux d'autres hommes sont là et ce sont les photographes.
La magie d'un bon photographe est d'immortaliser un instant . De figer sur la pellicule, un visage, un paysage, un homme bléssé. Ce sont des magiciens.
Alors j'ai découvert ce portrait de Mohamed Messara. Il a travaillé à l'opinion, au Matin et un beau jour il a décidé d'aller en Irak. J'ai aimé lire cet article et je voulais vous le faire découvrir aussi car il travaille au mépris du danger pour son art et sa passion et c'est beau.
Un extrait:
"Aujourd’hui Moh est en Irak où personne n’a vraiment envie d’aller. Il pleut des bombes et l’atmosphère n’est pas bonne à respirer. La mort est au bout de chaque rue. L’autre jour, un reporter de guerre américain, pourtant rompu à ce genre de situation, confiait qu’« ici les journalistes n’ont qu’une envie, partir au plus vite ». Les plus irréductibles d’entre eux ont préféré y rester, à leur corps défendant, juste pour faire leur boulot, même si Baghdad, Felloudja ou « les autres contrées chaudes, c’est la merde », comme le soulignait nerveusement Moh qui a choisi de témoigner, en zoomant sur tout ce qui fait la vie et la mort en Irak. « La réalité, c’est que des gens meurent tous les jours à cause de cette guerre. Ici, la violence se déchaîne un peu partout, chaque jour un peu plus. Ne nous voilons pas la face. Une invasion est par essence injuste et ce que vivent les Irakiens est insoutenable », commente Moh, lui qui brave les dangers presque inconsciemment. Il a choisi l’épreuve du terrain parce qu’il a la chance de le faire pour de multiples raisons, contrairement à certains de ses confrères occidentaux, limités à suivre l’évolution de la situation à partir de leur chambre d’hôtel « bunkerisé ».
Je vous invite à lire la suite: Être photographe à Baghdad
Cordialement
Commentaire