Préambule : je ne savais absolument pas où inscrire mon texte. Il ne peut s'inscrire dans "Le café du Village" lequel me semble quelque peu dispersé et futile; il ne peut s'inscrire dans "Islam et Humanité" celà aurait semblé provoquant; Par certains aspect il aurait pu paraître poétiquement dans "la rue des petites perles" mais il n'est ni en vers ni en vert; Il va au delà de la technologie et de la science pure et dure; bien sûr il y a là une musique et peut-être un cinéma mais ... et quant à "Bouillon de Culture" les foules auraient eu peur si j'en crois les statistiques de fréquentations alors j'ai choisi "Le Grand Débat" d'abord par défaut puis, à la réflexion, parce que c'était bien le "châpeau" qu'il méritait.
Je vous offre ce texte.
Comme l'Hymalaya se dresse vers le ciel et son centre le Soleil;
Comme les arbres de toutes les régions du monde se dressent vers le ciel et son centre le Soleil;
Comme la plus humble des fleurs dresse sa tête vers le ciel et son centre le Soleil;
Les animaux lèvent leurs têtes vers le ciel et son centre le Soleil;
Et la plus récente espèce du monde vivant - l'homo sapiens - se dresse vers le ciel et regarde son centre : le Soeil.
Et là, une schyzophrénie s'installe chez le plus fragile des êtres vivants.
Au lieu de fixer le centre, ce Soleil qui lui fait de l'ombre, il ne voit que le ciel car il ne peut supporter d'être ébloui.
Alors il se détourne du Soleil, donc du centre, pour aller errer, vagabonder dans la périphérie, rèver comme on ne peut le faire qu'au milieu d'un désert d'un ciel qui ne serait plus seulement rempli d'étoiles plus petites que le Soeil et, comme un mirage, il croit voir ce qui lui donnerait une capacité de pouvoir, une puissance non maîtrisable car insaisissable, non prouvable..mais non improuvable. Une puissance indestructible quoi!
L'idée chemine et un jour c'est l'éblouissement. Mais oui! bien sûr! Ce n'est pas que le ciel est neant et le soleil trop éblouissant. C'est que nous n'avons pas su en tirer parti.
Moi, humain, je suis né pour remplir le ciel et même que celà serait très utile car....si je ne parle plus au nom de moi-même mais au nom d'une puissance invisible, non palpable, non prouvable mais non improuvable (sauf peut-être par la raison mais dans l'espèce humaine...bof!) il ne sera plus possible de s'opposer à...voyons...cette divinité, qui sera évidemment omniprésente de toute éternité (tiens, c'est pas mal si j'ai crée quelque chose pour l'éternité...) donc puisque je parle en son nom il deviendra très difficile de s'opposer à MOI.
Alors se leva le premier "mono" pour discipliner sa bande de contestataires permanents, de rebelle à toute autorité émanant de son semblable, d'anarchistes (au sens péjoratif) en herbe par essence....
Il se nommait Abraham (le père des Nombres) selon une "école de pensée" et Ibrahim selon l'école nouvelle qui voulut supplanter la première, et il créa le monothéisme, tueur de la poésie naturelle, du sacré spontané, du respect de la création,.
Précurseur, il inventa la pensée unique avant que l'on en parle et pour mieux asseoir sa vision et détourner les humains du centre du Ciel (le Soleil) il préféra son pâle reflet : la Lune.
Depuis 4.500 ans les humains sont dans l'obscurité car ils préfèrent rèver dans la nuit que de vivre au soleil.
Vivre est bien trop dangereux apparamment.
J'ai écrit ce texte pour toutes et tous en me disant qu'il y en aurait bien une ou un pour me comprendre dans ma quête respectueuse du Sacré.
LA VIE.
Je vous offre ce texte.
Comme l'Hymalaya se dresse vers le ciel et son centre le Soleil;
Comme les arbres de toutes les régions du monde se dressent vers le ciel et son centre le Soleil;
Comme la plus humble des fleurs dresse sa tête vers le ciel et son centre le Soleil;
Les animaux lèvent leurs têtes vers le ciel et son centre le Soleil;
Et la plus récente espèce du monde vivant - l'homo sapiens - se dresse vers le ciel et regarde son centre : le Soeil.
Et là, une schyzophrénie s'installe chez le plus fragile des êtres vivants.
Au lieu de fixer le centre, ce Soleil qui lui fait de l'ombre, il ne voit que le ciel car il ne peut supporter d'être ébloui.
Alors il se détourne du Soleil, donc du centre, pour aller errer, vagabonder dans la périphérie, rèver comme on ne peut le faire qu'au milieu d'un désert d'un ciel qui ne serait plus seulement rempli d'étoiles plus petites que le Soeil et, comme un mirage, il croit voir ce qui lui donnerait une capacité de pouvoir, une puissance non maîtrisable car insaisissable, non prouvable..mais non improuvable. Une puissance indestructible quoi!
L'idée chemine et un jour c'est l'éblouissement. Mais oui! bien sûr! Ce n'est pas que le ciel est neant et le soleil trop éblouissant. C'est que nous n'avons pas su en tirer parti.
Moi, humain, je suis né pour remplir le ciel et même que celà serait très utile car....si je ne parle plus au nom de moi-même mais au nom d'une puissance invisible, non palpable, non prouvable mais non improuvable (sauf peut-être par la raison mais dans l'espèce humaine...bof!) il ne sera plus possible de s'opposer à...voyons...cette divinité, qui sera évidemment omniprésente de toute éternité (tiens, c'est pas mal si j'ai crée quelque chose pour l'éternité...) donc puisque je parle en son nom il deviendra très difficile de s'opposer à MOI.
Alors se leva le premier "mono" pour discipliner sa bande de contestataires permanents, de rebelle à toute autorité émanant de son semblable, d'anarchistes (au sens péjoratif) en herbe par essence....
Il se nommait Abraham (le père des Nombres) selon une "école de pensée" et Ibrahim selon l'école nouvelle qui voulut supplanter la première, et il créa le monothéisme, tueur de la poésie naturelle, du sacré spontané, du respect de la création,.
Précurseur, il inventa la pensée unique avant que l'on en parle et pour mieux asseoir sa vision et détourner les humains du centre du Ciel (le Soleil) il préféra son pâle reflet : la Lune.
Depuis 4.500 ans les humains sont dans l'obscurité car ils préfèrent rèver dans la nuit que de vivre au soleil.
Vivre est bien trop dangereux apparamment.
J'ai écrit ce texte pour toutes et tous en me disant qu'il y en aurait bien une ou un pour me comprendre dans ma quête respectueuse du Sacré.
LA VIE.
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