Métro en retard, averse imprévue... Un rien peut nous mettre de mauvais poil. Des petits instants de mauvaise humeur qui, mis bout à bout, représentent une longue durée dans nos vies, selon un sondage mené par la société Healthspan et relayé par The Telegraph.
Ces banalités du quotidien qui nous collent la ride du lion pour la matinée, on les connaît. La panne de réveil, le PV sur le pare-brise, le bus bondé... La société britannique Healthspan, spécialisée dans les suppléments alimentaires et vitaminiques, s'est amusée à comptabiliser ces petits moments de mauvaise humeur. Résultat : une femme passe au total 10 jours par an à être de mauvais poil, soit cinq heures par semaine. Et parmi les motifs d'énervement relevés par cette étude, certains sont révélateurs du rôle des femmes dans notre société.
Le Telegraph explore ainsi ce sondage qui a demandé à 1000 femmes et à 1000 hommes ce qui les mettait de mauvaise humeur. Côté féminin ? Des choses assez classiques ou clichés comme le surpoids, la météo catastrophique, l'ordinateur qui ne fonctionne pas, l'ongle cassé... Mais aussi des contrariétés qui mettent en évidence la réalité du quotidien : « les enfants qui n'écoutent pas », « un partenaire pas assez à l'écoute », « savoir quoi faire à dîner », « les tâches ménagères », « la pression de son supérieur » ou encore « le manque d'aide ». Selon le sondage, une femme sur sept s'estime plus souvent en colère qu'heureuse.
Éviter les personnes au mauvais karma
La façon dont les hommes et les femmes réagissent aux contrariétés révèle aussi ces différences de vécu. « Les femmes veulent du temps pour elles, quand les hommes comptent sur leur partenaire pour aller mieux », explique la psychothérapeute Sally Brown.
Pour éviter le craquage, 22% des sondées optent pour le sport, 20% pour le shopping. Éviter les personnes au mauvais karma et s'entourer de personnes qui rendent positifs est aussi une piste. Mais pour que certaines ne se passent plus le cerveau au shaker à trouver le menu du dîner, gérer les enfants et se dégager du temps, une vraie conversation sur le partage des tâches ferait plutôt l'affaire.
le figaro
Ces banalités du quotidien qui nous collent la ride du lion pour la matinée, on les connaît. La panne de réveil, le PV sur le pare-brise, le bus bondé... La société britannique Healthspan, spécialisée dans les suppléments alimentaires et vitaminiques, s'est amusée à comptabiliser ces petits moments de mauvaise humeur. Résultat : une femme passe au total 10 jours par an à être de mauvais poil, soit cinq heures par semaine. Et parmi les motifs d'énervement relevés par cette étude, certains sont révélateurs du rôle des femmes dans notre société.
Le Telegraph explore ainsi ce sondage qui a demandé à 1000 femmes et à 1000 hommes ce qui les mettait de mauvaise humeur. Côté féminin ? Des choses assez classiques ou clichés comme le surpoids, la météo catastrophique, l'ordinateur qui ne fonctionne pas, l'ongle cassé... Mais aussi des contrariétés qui mettent en évidence la réalité du quotidien : « les enfants qui n'écoutent pas », « un partenaire pas assez à l'écoute », « savoir quoi faire à dîner », « les tâches ménagères », « la pression de son supérieur » ou encore « le manque d'aide ». Selon le sondage, une femme sur sept s'estime plus souvent en colère qu'heureuse.
Éviter les personnes au mauvais karma
La façon dont les hommes et les femmes réagissent aux contrariétés révèle aussi ces différences de vécu. « Les femmes veulent du temps pour elles, quand les hommes comptent sur leur partenaire pour aller mieux », explique la psychothérapeute Sally Brown.
Pour éviter le craquage, 22% des sondées optent pour le sport, 20% pour le shopping. Éviter les personnes au mauvais karma et s'entourer de personnes qui rendent positifs est aussi une piste. Mais pour que certaines ne se passent plus le cerveau au shaker à trouver le menu du dîner, gérer les enfants et se dégager du temps, une vraie conversation sur le partage des tâches ferait plutôt l'affaire.
le figaro
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