J'ai remarqué tout autour de moi que les déceptions amoureuses avaient tendance à se succéder ces temps ci... (Bon ok c'est aussi mon cas... bande de relous xD ) et qu'il en est de même ici.
Donc me voila donc parti à la recherche d'une explication purement scientifique de ce qu'on appelle communément "Amour" et qui nous conduit à tant de désespoir... Pour essayer de comprendre ce qui a pu entraîner ces désastres successifs...
Pour être honnête je n'ai pas eu à chercher bien loin, reste que le fait d'être étudiant en Biologie m'a facilité la tache d'assimilation...
Loin du monde protocolaire des thèses de recherches, j'ai trouvé au fait la réponse à ma question dans un livre de Frédérique Beigbeder "L'amour dure trois ans" (que je vous conseille de lire au passage), qui lui même l'a déniché dans un magazine féminin...
C'est fou le fouillis d'informations qu'on trouve sur ces trucs la...
De plus vulgariser à l'origine... C'est sans mal que j'ai pu m'en inspirer pour vous expliquer ce qui engendre ce sentiment vieux comme le monde, et qui a fait coulé tellement, tellement d'encre...
Alors qu'on nous bombarde à la télosh avec des feuilletons bidons, et autres pubs à la noix qui nous exposent la thèse de l'amour immortel et infini... On est forcé de constater, que scientifiquement, c'est une toute autre histoire...
Comme c'est dit dans le titre du roman de notre jet-seteur national l'amour ça ne dure de base que 3 ans... Il y a le moyen de repousser cette limite mais ça impose un changement de statut: On en parlera dans un autre article pour ne pas se mélanger les pinceaux.
L'amour naît au fait suite à un pic ponctuel et éphémère de dopamine, de noradrénaline, de prolactine de lulibérine et d'ocytocine... Cela prépare notre cerveau à recevoir des signaux positifs et amplifiés de notre vision de l'autre... c'est ce qui se passe lors de ce qu'on appelle coup de foudre...
Des lors on rentre dans une phase où on idéalise l'autre, ces défauts s'effacent pour laisser place à un avatar rayonnant qui nous attire vers lui et nous subjugue...
L'exaltation qui en résulte, on l'a doit à une toute petite molécule la PEA, la Phényléthylamine... On rentre alors dans un cycle d'euphorie et on est transporté par une joie incontrôlable...
Le coup de foudre n'a dans les faits rien de magique, les récepteurs des neurones du système lymbique sont tout simplement saturés de PEA.
Donc à moins de croire qu'il y a de la magie dans les drogues... Un mythe est bien tombé...
La tendresse elle se régénère grâce aux endorphines qui nous apaisent et amplifient ce sentiment de bien-être et de confiance qui nous pousse à aller vers l'autre...
De plus notre corps sécrète des "phéromones", molécules qui chez bon nombre d'animaux attirent la gente opposée, mais permet aussi de stabiliser d'après des recherches récentes le cycle menstruel chez la femme quand elle est en contact permanent avec son partenaire...
Ce qui entretient ce doux rêve qu'est l'amour...
Mais... Le Hic, parce qu'il y en a bien un, c'est que les récepteurs disposés sur nos neurones, perdent leur sensibilité aux différents neuromédiateurs et autres hormones, et plus particulièrement à la PEA...
En effet, la monotonie aidant, nos systèmes nerveux et hormonaux ne nous fournissent plus ce cocktail détonnant qui nous faisait voir la vie en rose... Pire l'attirance pour notre partenaire va en diminuant, alors que celle envers des personnes tierces augmente...
Au fait notre système lymbique n'est plus préparé à recevoir les stimuli du bonheur et l'amour dépérit petit à petit jusqu'à atteindre le seuil fatidique des trois ans... L'amour qu'on portait à notre partenaire disparaît alors totalement... Rien de significatif n'a du être fait pour renforcer cet idylle...
Encore une fois dans notre roman source, on trouve des données statistiques pour confirmer cette explication scientifique... En effet, une passion dure en moyenne 317,5 jours soit un peu moins d'une année, après l'effet s'estompe, et on se retrouve donc logiquement Paris avec deux couples sur trois qui divorcent dans les trois années qui suivent la cérémonie...
Et d'après les annuaires démographiques des Nations Unies, Ben vous n’allez pas être surpris... La majorité des divorces se passent tout juste après la troisième année de vie commune, et ce dans la quasi-majorité des peuplades de cette planète bleue...
Trois ans... Et bien sur c'est un maximum, ça peut être moins, tout dépend au fait de notre comportement pour préserver cet amour... Tout dépend aussi du degré d'attachement qu'on a l'un pour l'autre... Donc tout dépend de ces petites décharges, des ces molécules du bonheur...
Vous savez donc maintenant que l'amour ben ce n’est pas si féerique que ça... Que si vous vous prenez un râteau, que vous pouvez vous en remettre, que le meilleur remède c'est le temps, et que la nature vous a déjà bien armé pour faire face à ces déceptions...
Mais de vous à moi, on va bien se taper une grimace le jour où on se fera encore une fois jeté... n'est ce pas?
Votre serviteur Quasard ^^
Peut etre à bientôt un prochain article dédié au Mythe d'Aphrodite =)
Laissez donc vos impressions et votre avis
Donc me voila donc parti à la recherche d'une explication purement scientifique de ce qu'on appelle communément "Amour" et qui nous conduit à tant de désespoir... Pour essayer de comprendre ce qui a pu entraîner ces désastres successifs...
Pour être honnête je n'ai pas eu à chercher bien loin, reste que le fait d'être étudiant en Biologie m'a facilité la tache d'assimilation...
Loin du monde protocolaire des thèses de recherches, j'ai trouvé au fait la réponse à ma question dans un livre de Frédérique Beigbeder "L'amour dure trois ans" (que je vous conseille de lire au passage), qui lui même l'a déniché dans un magazine féminin...
C'est fou le fouillis d'informations qu'on trouve sur ces trucs la...
De plus vulgariser à l'origine... C'est sans mal que j'ai pu m'en inspirer pour vous expliquer ce qui engendre ce sentiment vieux comme le monde, et qui a fait coulé tellement, tellement d'encre...
Alors qu'on nous bombarde à la télosh avec des feuilletons bidons, et autres pubs à la noix qui nous exposent la thèse de l'amour immortel et infini... On est forcé de constater, que scientifiquement, c'est une toute autre histoire...
Comme c'est dit dans le titre du roman de notre jet-seteur national l'amour ça ne dure de base que 3 ans... Il y a le moyen de repousser cette limite mais ça impose un changement de statut: On en parlera dans un autre article pour ne pas se mélanger les pinceaux.
L'amour naît au fait suite à un pic ponctuel et éphémère de dopamine, de noradrénaline, de prolactine de lulibérine et d'ocytocine... Cela prépare notre cerveau à recevoir des signaux positifs et amplifiés de notre vision de l'autre... c'est ce qui se passe lors de ce qu'on appelle coup de foudre...
Des lors on rentre dans une phase où on idéalise l'autre, ces défauts s'effacent pour laisser place à un avatar rayonnant qui nous attire vers lui et nous subjugue...
L'exaltation qui en résulte, on l'a doit à une toute petite molécule la PEA, la Phényléthylamine... On rentre alors dans un cycle d'euphorie et on est transporté par une joie incontrôlable...
Le coup de foudre n'a dans les faits rien de magique, les récepteurs des neurones du système lymbique sont tout simplement saturés de PEA.
Donc à moins de croire qu'il y a de la magie dans les drogues... Un mythe est bien tombé...
La tendresse elle se régénère grâce aux endorphines qui nous apaisent et amplifient ce sentiment de bien-être et de confiance qui nous pousse à aller vers l'autre...
De plus notre corps sécrète des "phéromones", molécules qui chez bon nombre d'animaux attirent la gente opposée, mais permet aussi de stabiliser d'après des recherches récentes le cycle menstruel chez la femme quand elle est en contact permanent avec son partenaire...
Ce qui entretient ce doux rêve qu'est l'amour...
Mais... Le Hic, parce qu'il y en a bien un, c'est que les récepteurs disposés sur nos neurones, perdent leur sensibilité aux différents neuromédiateurs et autres hormones, et plus particulièrement à la PEA...
En effet, la monotonie aidant, nos systèmes nerveux et hormonaux ne nous fournissent plus ce cocktail détonnant qui nous faisait voir la vie en rose... Pire l'attirance pour notre partenaire va en diminuant, alors que celle envers des personnes tierces augmente...
Au fait notre système lymbique n'est plus préparé à recevoir les stimuli du bonheur et l'amour dépérit petit à petit jusqu'à atteindre le seuil fatidique des trois ans... L'amour qu'on portait à notre partenaire disparaît alors totalement... Rien de significatif n'a du être fait pour renforcer cet idylle...
Encore une fois dans notre roman source, on trouve des données statistiques pour confirmer cette explication scientifique... En effet, une passion dure en moyenne 317,5 jours soit un peu moins d'une année, après l'effet s'estompe, et on se retrouve donc logiquement Paris avec deux couples sur trois qui divorcent dans les trois années qui suivent la cérémonie...
Et d'après les annuaires démographiques des Nations Unies, Ben vous n’allez pas être surpris... La majorité des divorces se passent tout juste après la troisième année de vie commune, et ce dans la quasi-majorité des peuplades de cette planète bleue...
Trois ans... Et bien sur c'est un maximum, ça peut être moins, tout dépend au fait de notre comportement pour préserver cet amour... Tout dépend aussi du degré d'attachement qu'on a l'un pour l'autre... Donc tout dépend de ces petites décharges, des ces molécules du bonheur...
Vous savez donc maintenant que l'amour ben ce n’est pas si féerique que ça... Que si vous vous prenez un râteau, que vous pouvez vous en remettre, que le meilleur remède c'est le temps, et que la nature vous a déjà bien armé pour faire face à ces déceptions...
Mais de vous à moi, on va bien se taper une grimace le jour où on se fera encore une fois jeté... n'est ce pas?
Votre serviteur Quasard ^^
Peut etre à bientôt un prochain article dédié au Mythe d'Aphrodite =)
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