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Ils vivent sur un volcan !

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  • Ils vivent sur un volcan !

    A hassi Messaoud, ils construisent au alentours d’installations pétrolières très dangereusement.
    des constructions ont été réalisées d’une manière illicite près de ces installations très dangereuses telles que les unités de GPL, de production de pétrole, de gaz, sur des chemins menant vers des puits…. c’est une réelle situation critique et un sérieux problème au quel il faut y remédier.http://www.liberte-***********/edit.php?id=33297

    Hassi Messaoud connue en tant que zone industrielle (pétrolière)… elle se trouve sur un énorme gisement…et dans certains zones de ce gisement carrément en Fort GOR (GAZ).. C’est une bombe souterraine..avec des habitation au dessus. Qu’elle situation dangereuse. Et puis ces habitations ttes proches des torches..(l'air Pollué)

    Thirga,

  • #2
    salut et merci thirga
    ça prouve l'absence de l'etat et l'anarchie qui regne dans notre pays!!!

    dani

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    • #3
      Mais ils font vraiment n'importe quoi.Entendre des choses pareilles me mettent dans une colère folle! Mais ça leur arrive de réfléchir avant d'entreprendre queelque chose.J'en doute.
      Quand le sage montre la lune l'idiot regarde le doigt.

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      • #4
        Ce qui est étonnant c’est que les terrains ont été vendus (et se vent toujours) et les permis de construire ont été délivrés par les autorités locales sans prendre en considération le cote Risque « danger » et même pas le cote environnemental.

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        • #5
          !!!!!!!!!

          c lamentable...ca me fais rappeler l'histoire de BAB EL OUAD...une ville construite dans le lit d'une riviere!!!!! le resultat a ete un desastre...lors de la HAMLA , ce qui s'est passe c tt simplement un oued qui a reprit son lit...la nature quoi!!!! et juste pour ca des milliers de gens sont morts!!!!

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          • #6
            Mes amis ne vous fiez pas aux apparences, ces nouvelles mesures n’émanent pas d’un vraie sentiment de responsabilité de la part de nos dirigeants, mais plutôt du fait que Hassi Messaoud ne fait presque plus partie de l’algerie, ça appartient maintenant aux compagnies pétrolieres américaines, et si on veut chasser les habitants de la ville, c’est plus pour la sécurité du site que la sécurité de ces pauvres algériens. Dire qu’on a besoin d’une autorisation pour visiter une ville « officiellement » algérienne, c’est scandaleux !

            MC,
            Prouver que j'ai raison serait accorder que je puis avoir tort.
            Beaumarchais

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            • #7
              Dire qu’on a besoin d’une autorisation pour visiter une ville « officiellement » algérienne, c’est scandaleux !
              Certes, mais c'est le prix à payer pour la sécurité d'une region qui assure à elle seule plus de 90% de nos exportations.

              Quant aux fameuses constructions, je pense que l'urbanisation anarchique est un sport national où les coupables sont à la fois les autorités et les citoyens.

              On a vu les conséquences dramatiques de ce type d'anarchie dans la côte algéroise (Boumerdès, Bordj El Bahri...etc) lors du séisme.

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              • #8
                Quant aux fameuses constructions, je pense que l'urbanisation anarchique est un sport national où les coupables sont à la fois les autorités et les citoyens.
                tout a fait.. Et des habitations sur un pipe-line...lisez : http://www.elwatan.com/2005-01-12/2005-01-12-11565

                Mais dieu merci on commence a revoir et prendre au sérieux tout ça...plusieurs constructions ont été démolies….des déménagements…

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                • #9
                  La ville est classée Zone à risques majeurs

                  “Plus de construction à Hassi-Messaoud” a declare le ministre de l’interieur et des Collectivités locales.
                  “Si les habitants de cette ville mesuraient à sa juste valeur le risque auquel cette ville est exposée, ils seraient les premiers à demander de partir vers un autre site.” Ce commentaire est de Nourredine Yazid Zerhouni. Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales.

                  Le rapport des experts mis à contribution par le ministère de l’Énergie et la Société nationale des hydrocarbures, Sonatrach, définit clairement les risques encourus par les riverains des puits et autres pipelines qui traversent la ville. Ils sont au nombre de quatre : l’explosion, l’incendie, la contamination et la pollution.

                  http://www.liberte-***********/edit.php?id=33500

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