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De nouvelles révélations sur l’affaire Mami en prison depuis 48 jours

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    pensez-vous que la "photographe" ne savait pas ce qu'elle fesait?.

    Je ne defend pas cheb mami, mais le procedé utilisé est aussi vil que la reponse.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Encore une bien triste nouvelle, tant cheb mami est un bon artiste. Et puis à ma connaissance, il est marié au pays. Est-ce que toute cette affaire est vraie, ou est-ce un coup monté par une maîtresse de passage voulant se venger. On le saura au procès certainement.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    de plus en plus sordide...

    vraiment , ce monde du show bizz est écoeurant !

    et dire que certains les admirent :22:

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Bonsoir morjane

    Je crois bien que Mami, en tant qu'ami de Boutef, a bien franchi la ligne rouge, se croyant à l'abri de son statut de star. Il n'a donc que ce qu'il mérite.

    ceci dit, c'est navrant, encore une fois, que quelqu'un supposé rehausser l'image et le blason algériens nous ramène encore et encore à notre élément "naturel" qui semble-t-il, ne veut pas nous lâcher: prison, excès, manque de respect, violence .............................

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  • De nouvelles révélations sur l’affaire Mami en prison depuis 48 jours

    Incarcéré depuis 48 jours dans une prison parisienne, la justice française n’a toujours pas décidé de la mise en liberté provisoire ou le maintien en détention provisoire du chanteur de raï après l’appel introduit par son avocate. Cheb Mami, qui aurait reconnu une partie des faits qui lui sont reprochés, devra à nouveau répondre aux questions du juge d’instruction du tribunal de Bobigny.

    Depuis le 28 octobre 2006, cheb Mami est incarcéré à la prison de la Santé à Paris. Il y a été placé en détention provisoire par le tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour “violence volontaire, séquestration et menace”, suite à une plainte déposée en 2005 par une reporter photographe avec qui il avait une liaison et qui l’accuse d’avoir voulu la faire avorter “de force”. Fait que la presse des deux rives de la Méditerranée ne cesse de relater depuis que la star mondiale du raï a été arrêtée à l’aéroport d’Orly à Paris, alors qu’elle rentrait d’Alger. Une affaire sur laquelle revient l’hebdomadaire Le Point dans sa dernière livraison en évoquant le “rôle” de Kader, le bras droit de cheb Mami, dans cette “sordide histoire”, comme aime à la qualifier le magazine français qui rappelle que le manager de Mami, Michel Lévy, est lui aussi incarcéré car poursuivi pour complicité. Michel Lévy qui, rapporte Le Point, serait à l’origine du déplacement en Algérie de la jeune femme en compagnie de sa petite fille de trois ans dont le père est le frère d’un chanteur de raï célèbre. “C’est le producteur de cheb Mami qui lui aurait acheté et remis en mains propres les billets pour qu’elle vienne faire un reportage sur un des groupes qu’il produit.”

    Une fois à Alger, à la fin août 2004, c’est un certain Hicham L. qui se serait occupé de la reporter-photographe, notent les rédacteurs de l’article qui indiquent que Hicham L. a été mis sous contrôle judiciaire, bien qu’il nie les faits qui lui sont reprochés.

    Selon les témoignages de l’entourage de la photographe, rapportés par Le Point, Hicham L. “l’aurait conduite dans un bungalow où il l’aurait droguée avec une boisson. Prise d’un malaise, elle aurait alors été conduite de nuit non pas chez le médecin, mais dans la maison même de Mami. Là, au rez-de- chaussée, se tiennent deux femmes et Kader, le bras droit du prince du raï, chargé notamment de sa sécurité. Allongée de force, elle aurait été maintenue au sol et aurait subi durant plusieurs heures une tentative d’avortement”. Un fait dramatique que la reporterphoto a mis entre parenthèses dès le lendemain en réalisant le reportage pour lequel elle avait rejoint Alger.

    Fait que n’ont pas manqué de préciser aux journalistes de l’hebdomadaire français les proches de Mami, de son vrai nom Mohamed Khelifati, qui affirment qu’une fois rentrée à Paris, début septembre 2004, l’ex-compagne de Mami constate après une visite chez le gynécologue qu’elle est toujours enceinte. “Une nouvelle que la reporter annonce au manager Michel Lévy tout en lui réclamant 30 000 euros.” Somme qu’elle destinait à l’avortement, selon les proche de Mami. “Pour prendre en charge le bébé”, rétorquent ceux de la reporter-photo. “

    Le manager de Mami aurait signé à la photographe un chèque de 5 000 euros ainsi qu’une reconnaissance de dette pour la somme restante, le tout assorti d’une clause qui engage les deux parties à ne pas ébruiter l’affaire.” Clause que n’aurait pas respectée le garde du corps de Mami. Kader, dit Kada, qui avait il y a quelque temps affirmé à un quotidien algérien que la photographe était une “récidiviste” parce que ayant manigancé le même scénario à cheb Hasni, aurait appelé la jeune femme pour “l’insulter et la menacer de s’en prendre à sa fille si elle persiste à réclamer son dû”. Suite à quoi elle aurait déposé plainte. S’en est suivie, une année plus tard, l’arrestation de cheb Mami dont la presse aime à rappeler qu’il a été reçu par Jacques Chirac et qu’il est l’ami de Abdelaziz Bouteflika.

    Par le Soir
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