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Il n’y a pas d’écart salarial hommes/femmes

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  • Il n’y a pas d’écart salarial hommes/femmes

    Comme l’explique le WSJ, l’écart de salaire homme femme n’est pas dû à une discrimination sexuelle

    D’après un important groupement féministe pour l’égalité des salaires des femmes, le National Committee for Pay Equity, le 12 avril est la date jusqu’à laquelle les femmes doivent travailler en plus de l’année précédente pour avoir un salaire égal à celui des hommes sur un an : d’après les associations féministes représentées par ce Comité, les femmes touchent 20% de salaires en moins qu’un homme à travail égal… Les faits et la logique montrent pourtant, de façon répétée, qu’il n’en est rien.

    A cette période de l’année, on retrouve un peu partout le même genre d’articles, consacré à l’abhôminable différence de salaire entre les hommes et les femmes.

    Contrepoints avait déjà mentionné, dans quelques articles (ici, notamment), les tripotages statistiques assez grossiers que certains n’hésitent pas à faire pour accréditer le mythe d’une différence notable de salaire entre les hommes et les femmes.

    La manipulation est simple : on prend, pour un secteur donné, toute la masse salariale des femmes et on la divise ensuite par leur nombre. On fait de même côté masculin et on compare les deux. Youpi, la comparaison ne laisse aucun doute : les femmes gagnent moins que les hommes «en moyenne».

    C’est évidemment une parfaite escroquerie intellectuelle puisqu’on n’a pas tenu compte des anciennetés, des parcours professionnels, des différences de temps de travail à la journée et dans l’année, des éventuels barèmes…

    Cette année, un intéressant article du Wall Street Journal nous fournit quelques éléments supplémentaires de réflexion à ce sujet, nourris par la crise récente qui traverse le monde en général et les États-Unis en particulier.

    On note ainsi que les taux de chômage (aux US, dans le cas qui nous occupe ici) sont plus haut pour les hommes (9.3%) que pour les femmes (8.3%). De plus, le taux d’hommes employés a plus chuté pendant l’année (de 71.4% à 70.4%) que pour les femmes (de 58.8% à 58.3%) ; ces chiffres montrent qu’il y a alors plus d’hommes découragés dans leur recherche d’emploi que de femmes.



    La raison structurelle, au moins en cette période de crise, peut être à chercher du côté des secteurs qui emploient traditionnellement les hommes, comme la construction, le BTP ou les transports, secteurs qui ont subi de plein fouet la crise actuelle.

    Or, si l’on accepte que les hommes et les femmes travaillent globalement dans des secteurs différents, on ne devrait pas s’étonner de trouver des différences aussi au niveau des salaires. Tout est, finalement, dans la raison invoquée pour expliquer ces écarts.

    Si l’on choisit la version féministe, on mettra rapidement ces disparités sur le dos d’une méchante discrimination ardemment défendue par les vilains patrons, majoritairement turbolibéraux, donc acoquinés avec le Démon moyennant un pacte signé avec leur sang ou celui d’une victime tenue en esclavage dans une cave sombre.

    Si on s’en tient aux éléments statistiques collectés avec soin, on se rend compte que la thèse Méchants Patrons et discrimination sexiste… ne vaut rien : les femmes employées à temps complet travaillent en moyenne 8.01h par jour, à comparer au 8.75h pour les hommes… Et cette différence de 9% pourrait expliquer, au moins en partie, une différence salariale.

    Un autre élément à prendre en compte et très vite oublié par certaines activistes est le type de travail qu’occupent les hommes et les femmes. Et bingo, statistiquement aussi, un nombre de femmes — suffisant pour être visible sur les grandes masses de populations observées — choisit un travail un peu moins bien rémunéré mais aux horaires plus réguliers et aux conditions mieux adaptées à leurs demandes. Les hommes, a contrario, choisissent des jobs un peu plus risqués, un peu mieux rémunérés mais aux contraintes plus fortes. Cela se traduit d’ailleurs directement dans les accidents sur les lieux de travail, avec une sur-représentation masculine.

    Mais le pompon, c’est que la différence salariale Homme – Femme tend à diminuer voire s’inverser au détriment de l’homme lorsqu’on tient compte de tous les facteurs définissant un poste donné. Une étude faite en 2010 par Reach Advisor a montré que parmi les travailleurs célibataires et sans enfant de 22 à 30 ans, les femmes gagnaient en moyenne 8% de plus que les hommes. Si l’on se rappelle que le taux d’instruction et la qualité des diplômes est notoirement meilleure chez les femmes que chez les hommes et que l’ensemble des économies occidentales font de plus en plus appel — par tertiarisation — à des travaux plutôt intellectuels, cet écart ne surprend pas tant que ça.

    Enfin, à ces éléments statistiques s’ajoute un élément de logique : puisqu’il semble de notoriété publique que les femmes touchent donc systématiquement moins que les hommes à travail égal, pourquoi diable les patrons continuent-ils d’employer des hommes, plus cher de 20 à 30% ? Les employeurs seraient donc assez malins pour discriminer activement les femmes et les empêcher d’accéder aux postes mieux rémunérés, mais trop sots pour le faire avec les hommes. Sauf à rentrer dans le mécanisme intellectuel douteux du complot mondial, on n’explique guère un tel comportement.

    Mais ceci est sans importance puisque le mantra principal, qui pose la discrimination sexuelle comme préalable à toute analyse des différences salariales, est devenu absolument indiscutable au point qu’on ne retrouve plus que lui dans tous les articles de presse.


    source contrepoint.org
    La véritable mosquée est celle qui est construite au fond de l'âme

  • #2
    sans oublier que beaucoup s'arrete de travailler par CHOIX pour les enfants ou alors et toujours par CHOIX sont a temps partielle.

    Et je ne parles pas de toute celles qui bosse comme fonctionnaire pour faire du 9h 16 encore par CHOIX

    la moyenne des salaires entre les hommes et les femmes sont en fait une moyenne de la population active forcement si on se dirige pas vers les bons métiers on gagne moins

    c'est comme les nouvelles technologies tres porteuses et tres remuneratrice ça interresse pas les femmes donc faut arreter avec cette propagande

    et comme dit le gar si ca coute moins cher de recruiter une femme pourquoi prendre des hommes mdr

    LOBBY LOBBY LOBBY
    La véritable mosquée est celle qui est construite au fond de l'âme

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    • #3
      certaines ne se rendent pas compte qu'une partie des féministes, s'est engagée dans un combat pour faire des l'homme et de la femme, des êtres non pas égaux mais identiques en tout point.

      si l'on arrive à considérer injuste, les attributs biologiques d'une femmes, quand on arrive à convaincre, que l'homme et la femme, sont identiques et les différences d'ordre biologique, assimilées à du sexisme, appelant par là à uniformiser les genres en vu de n'en garder qu'un, celui de l'humain, dépourvue d'identité sexuelle, et donc, la suppression du féminin et du masculin, l'ensemble des êtres humains devant exister dans un état asexué où la conscience de soi fait abstraction à tout ce qui se réfère au sexe. il faut se poser des question sur le but, la finalité de tout ceci, amener la société à faire renier la femme et l'homme

      ce féminisme paranoïaque, hystérique, violent et extreme lutte en réalité pour la suppréssion du féminin.
      La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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      • #4
        j'ai pas beaucoup de reaction je suis fier de moi

        ou sont les amazon feministe radicale socialiste mdr
        La véritable mosquée est celle qui est construite au fond de l'âme

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