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L’ambassade d’Algérie à Washington veut établir le contact avec les compétences parmi la diaspora établie aux États-Unis. Le but étant de les convaincre de participer activement à l’effort de développement du pays.
La rencontre initiée par l’Ambassadeur d’Algérie à Washington Madjid Bouguerra, ainsi que le consul général à New York, Sabria Boukadoum visait à toucher le maximum de compétences hautement qualifiées parmi la communauté algérienne étable dans ce pays.
Des membres du Conseil d’administration de la Fondation algéro-américaine pour la culture, l’éducation, la science et la technologie (AAF-CEST), présidée par le professeur Taha Merghoub, étaient également présents à cette rencontre. L’ambassadeur d’Algérie a expliqué que le but de cette démarche est de développer un réseau d’étudiants et de professionnels algériens dans le domaine des sciences et de la santé aux États-Unis et de promouvoir des échanges scientifiques, des programmes éducatifs, de formation et de networking, en établissant des ponts entre les groupes de recherches en Algérie et aux États-Unis.
De son côté, le Pr Merghoub, qui est membre associé au laboratoire Memorial Sloan Kettering Cancer Center et dirigeant de la banque de données du service de mélanome et d’immunothérapie, a insisté, tout au long de son intervention, sur le fait que « la seule façon d’aider le pays est d’interagir avec des interlocuteurs en Algérie qui ont la même motivation ». Pour cette personnalité influente aux États-Unis, le secteur privé pourrait jouer un rôle important dans l’accompagnement de ces initiatives. « Il suffit de définir l’approche de cette coopération», a-t-il soutenu.
À travers cette initiative, l’Algérie ferait les yeux doux aux compétences algériennes établies aux États-Unis. Encore faut-il les convaincre de la bonne foi des autorités et de la disponibilité des conditions requises pour asseoir une véritable coopération à un tel niveau de connaissance.
Ça sera, en tout cas, une tâche ardue pour les autorités, notamment après l’amendement d’une constitution qui écarte de certains postes clés, une diaspora pourtant hautement qualifiée.
Algerie focus
La rencontre initiée par l’Ambassadeur d’Algérie à Washington Madjid Bouguerra, ainsi que le consul général à New York, Sabria Boukadoum visait à toucher le maximum de compétences hautement qualifiées parmi la communauté algérienne étable dans ce pays.
Des membres du Conseil d’administration de la Fondation algéro-américaine pour la culture, l’éducation, la science et la technologie (AAF-CEST), présidée par le professeur Taha Merghoub, étaient également présents à cette rencontre. L’ambassadeur d’Algérie a expliqué que le but de cette démarche est de développer un réseau d’étudiants et de professionnels algériens dans le domaine des sciences et de la santé aux États-Unis et de promouvoir des échanges scientifiques, des programmes éducatifs, de formation et de networking, en établissant des ponts entre les groupes de recherches en Algérie et aux États-Unis.
De son côté, le Pr Merghoub, qui est membre associé au laboratoire Memorial Sloan Kettering Cancer Center et dirigeant de la banque de données du service de mélanome et d’immunothérapie, a insisté, tout au long de son intervention, sur le fait que « la seule façon d’aider le pays est d’interagir avec des interlocuteurs en Algérie qui ont la même motivation ». Pour cette personnalité influente aux États-Unis, le secteur privé pourrait jouer un rôle important dans l’accompagnement de ces initiatives. « Il suffit de définir l’approche de cette coopération», a-t-il soutenu.
À travers cette initiative, l’Algérie ferait les yeux doux aux compétences algériennes établies aux États-Unis. Encore faut-il les convaincre de la bonne foi des autorités et de la disponibilité des conditions requises pour asseoir une véritable coopération à un tel niveau de connaissance.
Ça sera, en tout cas, une tâche ardue pour les autorités, notamment après l’amendement d’une constitution qui écarte de certains postes clés, une diaspora pourtant hautement qualifiée.
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