Avant les disques, on a enregistré de la musique sur des cylindres, traduits "qouadîs" pluriel de "qâdous":
Le phonographe est un appareil destiné d'abord à graver, puis à reproduire du son (paroles ou musiques) par un procédé purement mécanique.
Ce terme désigne les appareils utilisant un cylindre ou des cylindres amovibles et les appareils mécaniques à plateau utilisant des disques amovibles.
Le phonographe a été le premier appareil de reproduction sonore destiné au public et qui a servi autant dans les salons privés que dans des cafés en tant qu'instrument de musique à monnayeur.
Il a servi également à transporter des informations ou des directives parlées2 et aussi comme moyen d'apprentissage des langues.
Étymologiquement, le mot « phonographe » dérive du grec ancien : φωνή (phonè) : la voix ; γράφειν (graphein) : écrire. Le procédé originel du phonographe, né dans les dernières décennies du xixe siècle, est remplacé par le gramophone, mais pour le grand public, l'appellation phonographe, raccourcie en phono, désignera longtemps ce type d'appareils.
D'autres appellations voient le jour au fil des années et des avancées technologiques (dont la stéréophonie au milieu du xxe siècle) : tourne-disque, platine tourne-disques, électrophone, pick-up, conjointement au magnétophone, appareils qui sont ensuite eux-mêmes éclipsés par les techniques de reproduction sonores nées de la numérisation.
Ce type d'appareils est de retour au xxie siècle pour le « scratch vinyle » des DJ. Il est dans le même esprit utilisé comme média intermédiaire pour la production de disques numérisés de Rock 'n' roll après l'émergence du son électronique, et pour la restitution des vieux « 78 tours ».
Ce terme désigne les appareils utilisant un cylindre ou des cylindres amovibles et les appareils mécaniques à plateau utilisant des disques amovibles.
Le phonographe a été le premier appareil de reproduction sonore destiné au public et qui a servi autant dans les salons privés que dans des cafés en tant qu'instrument de musique à monnayeur.
Il a servi également à transporter des informations ou des directives parlées2 et aussi comme moyen d'apprentissage des langues.
Étymologiquement, le mot « phonographe » dérive du grec ancien : φωνή (phonè) : la voix ; γράφειν (graphein) : écrire. Le procédé originel du phonographe, né dans les dernières décennies du xixe siècle, est remplacé par le gramophone, mais pour le grand public, l'appellation phonographe, raccourcie en phono, désignera longtemps ce type d'appareils.
D'autres appellations voient le jour au fil des années et des avancées technologiques (dont la stéréophonie au milieu du xxe siècle) : tourne-disque, platine tourne-disques, électrophone, pick-up, conjointement au magnétophone, appareils qui sont ensuite eux-mêmes éclipsés par les techniques de reproduction sonores nées de la numérisation.
Ce type d'appareils est de retour au xxie siècle pour le « scratch vinyle » des DJ. Il est dans le même esprit utilisé comme média intermédiaire pour la production de disques numérisés de Rock 'n' roll après l'émergence du son électronique, et pour la restitution des vieux « 78 tours ».
Le disque microsillon, appelé aussi microsillon et par synecdoque, vinyle, a été le principal support de diffusion d'enregistrement sonore commercial pendant la seconde moitié du xxe siècle. Après sa quasi disparition au début des années 1990, ce support analogique connaît un relatif renouveau depuis les années 2000 alors que le CD décline face à la musique en ligne.
Le gramophone est un appareil ancien permettant de jouer mécaniquement un morceau de musique enregistré sur un disque phonographique en métal, cire puis gomme-laque jusqu'à l'époque des 78 tours, qui possède des propriétés d'enregistrement et/ou de reproduction mécanique du son. Il fait suite au phonographe à cylindre de Thomas Edison. Il a été breveté par Émile Berliner.
Ce nom, qui est à l'origine une marque déposée, est bien souvent remplacé par l'appellation de phonographe, voire « phono », celui-ci concernant théoriquement uniquement les appareils à cylindre. Mais ce terme reste utilisé majoritairement par le grand public, qui l'étend à tous les appareils d'autrefois lisant mécaniquement les disques 90 tours, puis 78 tours par minute.
Le procédé du phonographe, né au xixe siècle, fut progressivement remplacé au siècle suivant par le gramophone, puis le pick-up ou platine tourne-disques, conjointement au magnétophone, qui furent ensuite eux-mêmes éclipsés par les techniques de reproduction sonores permises par la numérisation.
Les gramophones ne seront fabriqués que jusqu'à l'époque des 78 tours, et n'existeront plus pour les microsillons, qui s'écoutent électriquement et avec des têtes de lecture beaucoup plus légères.
Ce nom, qui est à l'origine une marque déposée, est bien souvent remplacé par l'appellation de phonographe, voire « phono », celui-ci concernant théoriquement uniquement les appareils à cylindre. Mais ce terme reste utilisé majoritairement par le grand public, qui l'étend à tous les appareils d'autrefois lisant mécaniquement les disques 90 tours, puis 78 tours par minute.
Le procédé du phonographe, né au xixe siècle, fut progressivement remplacé au siècle suivant par le gramophone, puis le pick-up ou platine tourne-disques, conjointement au magnétophone, qui furent ensuite eux-mêmes éclipsés par les techniques de reproduction sonores permises par la numérisation.
Les gramophones ne seront fabriqués que jusqu'à l'époque des 78 tours, et n'existeront plus pour les microsillons, qui s'écoutent électriquement et avec des têtes de lecture beaucoup plus légères.
Un tourne-disque, ou tourne-disques1, est un appareil électronique destiné à restituer un enregistrement sonore réalisé sur disques microsillons. Successeur électronique du phonographe, il comprend principalement une platine tourne-disque, un amplificateur et un ou plusieurs haut-parleurs. Il peut être « de table » ou portatif.
Une platine, platine tourne-disque ou « table de lecture », ne comprend que les mécanismes d’entraînement et de lecture des disques. C’est la forme la plus courante de tourne-disques depuis la fin des années 1970.
Une platine, platine tourne-disque ou « table de lecture », ne comprend que les mécanismes d’entraînement et de lecture des disques. C’est la forme la plus courante de tourne-disques depuis la fin des années 1970.
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