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HAUSSE DU PRIX DU POULET Les explications des professionnels

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  • ahras
    a répondu
    ACA

    ou c'est parce que tu ne vis pas en Algérie ?


    T'inquiète les viandes sont tellement pas chères que beaucoup à force d'en consommer sont devenus obeses , c'est un véritable problème .

    Une heure de travail permet d'acheter un kilo de viande de bœuf ou d'agneau , de saumon , ou 2 poulets .

    En Algérie, pour un salaire mensuel de 30000 DA, on achète 20 kg (1kg=1500DA) de viande
    Au Canada, Pour un salaire mensuel de 2000 $ , on achète 133 Kg ( 1kg=15$) de viande.
    Dernière modification par ahras, 10 octobre 2020, 00h26.

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  • Space
    a répondu
    l'estomac quand tu nous tiens

    une pause digestive ne leur fera pas de mal , bien au contraire
    cela permet à l'estomac de se nettoyer et se réparer

    mais va faire comprendre ça à certains bouffons

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  • ACAPULCO
    a répondu
    si le boycotte devient systématique et suivi par tout le monde
    hélas il y a beaucoup de gens qui ont beaucoup de fric en Algérie , ils ne boycotteront jamais leur ventre

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  • Space
    a répondu
    Ils mangeront quoi à part les légumes , la viande est intouchable , autant le poisson , peut-être les sauterelles ou les asticots , c'est plus énergétique, gratuits et halal
    Personne n'en mourra si il ne bouffe pas du poulet ou autres viandes pendant quelques jours , si le boycotte devient systématique et suivi par tout le monde à chaque fois que les prix frôlent l'indécence , ils chuteront forcement
    un commerçant préfére vendre son produit que de le voir pourrir au fond de sa boutique

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  • Chouan
    a répondu
    La boucherie Ouzoubair (Marocain) à Charleville me propose du poulet hélas halal!!!
    10 Kg de cuisses 14.50 €
    10 Kg de filet de poulet 55.00 €
    10 Kg de pilons de poulet 32.00 €
    10 Kg d'ailes de poulet 25.00 €
    3 Kg de bœuf haché 5% de Mg 24.00 €

    Malgré que c'est du hala, je lui ai passé commande.

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  • ACAPULCO
    a répondu
    Ils mangeront quoi
    pourquoi tu met pas "nous" , tu te considère pas comme Algérien ? ou c'est parce que tu ne vis pas en Algérie ?

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  • Scootie
    a répondu
    L'augmentation du prix du poulet, ainsi que d'autres produits à venir, n'est rien d'autre que la première marche arrière de l'état quant à sa politique passée qui consistait à subsidier les prix pour acheter la paix sociale.

    Lorsque le tour de la baguette à 10 DA augmentera de 50 à 100% d'un coup, beaucoup d'algériens comprendront alors ce qui est entrain de s'opérer dans ce pays.

    Et nul doute que David Banner va alors perdre la boule et arracher toutes ses fringues (sauf le slip) pour devenir Hulk le vert de rage

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  • ahras
    a répondu
    le boycott est un moyen d'action très efficace

    Ils mangeront quoi à part les légumes , la viande est intouchable , autant le poisson , peut-être les sauterelles ou les asticots , c'est plus énergétique, gratuits et halal.

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  • Space
    a répondu
    le prix est excessif , si tout le monde arrêtait de consommer du poulet , ils seront obligés de baisser leur prix , d'autant que le poulet ,comme toutes les viandes ne se conserve pas trop longtemps , ils vont finir par casser les prix

    le boycott est un moyen d'action très efficace

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  • ACAPULCO
    a crée une discussion HAUSSE DU PRIX DU POULET Les explications des professionnels

    HAUSSE DU PRIX DU POULET Les explications des professionnels

    Le prix du poulet a augmenté d’un cran ces jours-ci. Une hausse qui a parfois dépassé les 100 dinars par kilogramme. Les professionnels de la filière avicole évoquent une baisse de l’offre due à la faillite d’un grand nombre d’aviculteurs.
    Rym Nasri - Alger (Le Soir) - La viande de poulet a renoué avec la flambée des prix. Sur les étals des marchands de volaille, le poulet éviscéré ne descend pas à moins de 360 dinars le kilogramme. Il y a quelques jours, il était cédé entre 240 et 260 dinars. Très significative, cette hausse de prix est sérieusement ressentie par les ménages.
    Les professionnels de la filière la justifient par la baisse de production, notamment en cette période où les restaurants et les fast-foods ont repris leur activité. D’autant plus, précise le président du Conseil interprofessionnel de la filière avicole de la wilaya de Tipasa et membre du Conseil national interprofessionnel de la filière avicole, Noureddine Aïd, près de 60% des aviculteurs ont cessé leur activité en moins de deux ans. «Depuis 2019, un grand nombre de personnes ont quitté l’élevage. Elles ont subi des pertes consécutives qui ont conduit à leur faillite», explique-t-il.
    Mais qu’est-ce qui a provoqué la faillite de ces aviculteurs ? Noureddine Aïd pointe du doigt la surproduction en repro chair (poulets mâle et femelle destinés à la production des œufs). Selon lui, les besoins du marché national en ce produit sont de cinq millions cinq cent mille par an, alors qu’actuellement, la disponibilité est plus de neuf millions. «Au moment où la production nationale est entre 2 et 2,5 millions repro chair, l’importation, elle, reste toujours ouverte et introduit plus que les besoins du marché local. En 2019, nous nous sommes retrouvés avec presque dix millions de repro chair», dit-il.
    Cette situation, souligne-t-il, engendre une surproduction qui se répercute directement sur le prix du poulet et qui va baisser. «Parfois, ces baisses de prix peuvent atteindre 150 dinars par poulet et provoquent des pertes énormes à l’aviculteur», dit-il encore.
    Pour lui, seule la limitation des quantités à importer du repro chair permettra de réguler la filière en amont et en aval et de stabiliser le prix du poulet sur le marché.
    Pour rappel, le Conseil national interprofessionnel de la filière avicole (CNIFA) a établi un cahier des charges qui a été soumis au ministre de l’Agriculture. Il définit les quantités exactes qu’il faut importer, le nom de l’importateur et le nom de l’éleveur qui va procéder à sa mise en place.
    Selon le président du Conseil interprofessionnel de la filière avicole de la wilaya de Tipasa, sa signature par le ministère de l’Agriculture est prévue en janvier prochain. «La signature de ce cahier des charges permettra de stabiliser les prix pour les aviculteurs et pour les consommateurs», affirme-t-il.
    Il souligne, par ailleurs, l’augmentation du prix de l’aliment de volaille. En un mois et demi, son prix a augmenté à trois reprises», a-t-il souligné.
    Ry. N.
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