Bonsoir,
Je voulais partager avec vous, un rêve d'enfant et lire vos rêves d'enfants.
Petit, en lisant une pub sur un magazine, j'ai éte intépellé par une pub que je n'oubleriais jamais. La pub etait sur The Wall Steer Journal qui était présentait avec un jus d'orange. La pub disait que les homme d'affaires en se revaiillant, boivent un jus d'orange et lisent le Wall StreeT Journal.
A cette époque, je n'ai retenue que le sublime verre de jus d'orange préssé, inutile de vous dire qu'a cette époque, pour un enfant issue d'une famille modeste pour ne pas dire pauvre, c'etait un vrai fantasme.
En grandissant, j'ai compris que cette image du Wall Street Journal ne m'a jamais quitté et ce n'etait que le début d'un amour passionné avec l'économie et la politqiue.
Quand mes camarades joué dansl a rue , à l'age de 7 ans je scrutait les colonnes économqiues des journaux algeriens. Vosu allez rire je lisais même les journaux qui servait d'emabllage d'aliments quand ma mére achetait des trucs au marché ou bien je piquais le journal que mon pére allah yerhmou me ramené avec lui le soir.
Depuis, mon amour pour l'economie ne c'est jamais afaiblis.....
Des hommes comme Stiglitz, le prix nobel d'economie, Eric IzralevticH des echos, jacques Attali l'ancien conseiller de ou mitterand, Georges Soros, Ignas de Wendel (l'arriére grand pére du Baron Selleire), Les Scheider, Les Rotshilds, Tatcher,.Laksmi N Mittal., le mangnat indien de l'acier ....sont mes idoles
Maitenant, en lisant des magazines tel que The Economist, L'expansion, ou des quotidiens tel que les echos ou le Wall street Journal je me rappele cette inonnence enfantile, ou la moindre dépéche economqiue lue sur une colonne du quotidien d'el moudjahed me donne toute une joie.
Avec le temps, en lisant, le petit enfant de condition humble, qui peut se permettre d'acheter the Wall Street Journal a fait bien du chemin et le jus de fruit n'est plus ce fantasme qu'il etait
Comment va se trerminer se rêve d'enfant ? Seul le bon Dieu en détient les secrets.
Stanisllas
je serais heureux de lire vos rêves d'enfants
Je voulais partager avec vous, un rêve d'enfant et lire vos rêves d'enfants.
Petit, en lisant une pub sur un magazine, j'ai éte intépellé par une pub que je n'oubleriais jamais. La pub etait sur The Wall Steer Journal qui était présentait avec un jus d'orange. La pub disait que les homme d'affaires en se revaiillant, boivent un jus d'orange et lisent le Wall StreeT Journal.
A cette époque, je n'ai retenue que le sublime verre de jus d'orange préssé, inutile de vous dire qu'a cette époque, pour un enfant issue d'une famille modeste pour ne pas dire pauvre, c'etait un vrai fantasme.
En grandissant, j'ai compris que cette image du Wall Street Journal ne m'a jamais quitté et ce n'etait que le début d'un amour passionné avec l'économie et la politqiue.
Quand mes camarades joué dansl a rue , à l'age de 7 ans je scrutait les colonnes économqiues des journaux algeriens. Vosu allez rire je lisais même les journaux qui servait d'emabllage d'aliments quand ma mére achetait des trucs au marché ou bien je piquais le journal que mon pére allah yerhmou me ramené avec lui le soir.
Depuis, mon amour pour l'economie ne c'est jamais afaiblis.....
Des hommes comme Stiglitz, le prix nobel d'economie, Eric IzralevticH des echos, jacques Attali l'ancien conseiller de ou mitterand, Georges Soros, Ignas de Wendel (l'arriére grand pére du Baron Selleire), Les Scheider, Les Rotshilds, Tatcher,.Laksmi N Mittal., le mangnat indien de l'acier ....sont mes idoles
Maitenant, en lisant des magazines tel que The Economist, L'expansion, ou des quotidiens tel que les echos ou le Wall street Journal je me rappele cette inonnence enfantile, ou la moindre dépéche economqiue lue sur une colonne du quotidien d'el moudjahed me donne toute une joie.
Avec le temps, en lisant, le petit enfant de condition humble, qui peut se permettre d'acheter the Wall Street Journal a fait bien du chemin et le jus de fruit n'est plus ce fantasme qu'il etait
Comment va se trerminer se rêve d'enfant ? Seul le bon Dieu en détient les secrets.
Stanisllas
je serais heureux de lire vos rêves d'enfants
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