Suite au scandale de la SG, on entend beaucoup les banquiers parler de leur indépendance... Dans l'optique libérale, les entreprises n'ont en effet pas de compte à rendre aux politiques...
Seulement voilà, les politiques nous représentent (du moins, dans les statuts...) nous, citoyens et consommateurs.
Or, en tant que citoyen aussi bien qu'en tant que consommateur, nous avons, nous, obligation d'utiliser les services des banques..., que l'on pourrait (sujet à débattre) considérer comme un "service public".
Conclusions : On est obligé de consommer (les "services" des banques)... mais pas de choisir ce que l'on consomme (prérogative unique des banques et de leurs "ententes" et alignement des politiques commerciales), encore moins de ne pas consommer, situation tout à fait unique et privilégiée parmi tous les autres secteurs soumis aux lois de la concurrence (un "gateau" de clients garantis, à se partager entre un nombre restreint d'opérateurs... Si c'est pas cadeau (de Noël) ça le semble...)
Question : Si les banques n'ont pas de compte à rendre à nos représentants (les élus), ne devrait-on pas demander à ces élus (qui ont préalablement, participé à la mise en place de cette situation dont, en tant que consommateurs obligatoires, nous sommes otages) de nous délier de nos obligations envers les banques... à savoir : Légiférer pour nous donner le droit de ne pas faire appel aux banques pour percevoir nos salaires, ou les récupérer en cash contre remise d'un chèque, gérer nos epargnes, nos placements...
Bref, nous donner le droit de consommer... ou pas, comme il est de mise pour tout le reste de l'activité économique et commerciale ?
C'est plus ou moins clair, ne vous gênez pas pour affiner...
(En dehors du fait que ma question est faussement naïve et délibérement provocatrice...)
PS : désolée pour les fautes d'orthographe.
Seulement voilà, les politiques nous représentent (du moins, dans les statuts...) nous, citoyens et consommateurs.
Or, en tant que citoyen aussi bien qu'en tant que consommateur, nous avons, nous, obligation d'utiliser les services des banques..., que l'on pourrait (sujet à débattre) considérer comme un "service public".
Conclusions : On est obligé de consommer (les "services" des banques)... mais pas de choisir ce que l'on consomme (prérogative unique des banques et de leurs "ententes" et alignement des politiques commerciales), encore moins de ne pas consommer, situation tout à fait unique et privilégiée parmi tous les autres secteurs soumis aux lois de la concurrence (un "gateau" de clients garantis, à se partager entre un nombre restreint d'opérateurs... Si c'est pas cadeau (de Noël) ça le semble...)
Question : Si les banques n'ont pas de compte à rendre à nos représentants (les élus), ne devrait-on pas demander à ces élus (qui ont préalablement, participé à la mise en place de cette situation dont, en tant que consommateurs obligatoires, nous sommes otages) de nous délier de nos obligations envers les banques... à savoir : Légiférer pour nous donner le droit de ne pas faire appel aux banques pour percevoir nos salaires, ou les récupérer en cash contre remise d'un chèque, gérer nos epargnes, nos placements...
Bref, nous donner le droit de consommer... ou pas, comme il est de mise pour tout le reste de l'activité économique et commerciale ?
C'est plus ou moins clair, ne vous gênez pas pour affiner...
(En dehors du fait que ma question est faussement naïve et délibérement provocatrice...)
PS : désolée pour les fautes d'orthographe.
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