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En Indonésie, un homme a fait revenir l'eau en plantant des arbres, seul, pendant 24 ans !

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  • #16
    Envoyé par Risk
    ca me rappel cette fameuse citation de je ne sais quel auteur...
    Je pense que tu parles de la formule: «Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait.»
    On l'attribue à Mark Twain qui avait un formidable sens de la formule (certains l'ont attribuée à tort à Che Guevara).

    Il y a un magnifique dessin animé d'un homme qui a passé une grande partie de sa vie à planter des arbres:



    "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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    • #17
      Merci Cher Benam pour la précieuse information ainsi que la vidéo
      La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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      • #18
        Merci cher Benam pour ta vidéo ci-dessus. Quelle évasion et que de bon sens !

        Si je ne devais retenir qu'une chose, ce serait l'expression "obstination dans la générosité"; me disant quel dommage que celle-ci se soit transformée au fil du temps en obstination pour la rapacité.

        Je note aussi que cette oeuvre grandiose est la résultante d'un drame humain majeur pour cet homme. Comme quoi, il faut tomber bien bas dans la vie pour ensuite espérer se relever, voire s'élever et reconstruire durablement (vaincre l'adversité et lutter contre le désespoir - dixit la vidéo). C'est presque un passage obligé, un prix obligatoire à payer !!

        Et oui, la citation est bien de Mark Twain, qui voulait sans doute souligner que pour réaliser de grandes choses, il faut toujours une certaine dose d'inconscience et ........ pourquoi pas d'gnorance; du moins telle que nous la considérons.

        Merci encore et porte toi bienne
        Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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        • #19
          Merci Risk. Merci Scootie.

          Les deux vidéos sont une illustration de l'adage: «Un million de pas commencent par un pas.»

          Elles me rappellent un célèbre récit que l'on m'a fait lire il y a bien longtemps, quand le monde était en noir et blanc, le son mal synchronisé et qu'il pleuvait, neigeait, faisait froid et sombre tout au long des mois d'hiver et que nos ancêtres n'étaient presque plus les Gaulois:
          Au cours d'une partie de chasse, un émir voit au loin un homme en train de creuser un trou dans un champ. Il va vers lui. C'est un très vieil homme.
          L'émir lui demande: «Salam brave homme ! Que faites-vous là ?»
          — Je plante des arbres, lui répond le vénérable vieillard.
          — C'est quoi comme arbres ?
          — Des palmiers-dattiers.
          — Et ils commenceront à donner des fruits comestibles dans combien de temps ? demande l'émir
          — Dans une dizaine d'années.
          — Et vous espérez vivre jusque là pour manger ces fruits ?
          — Ils ont planté et nous avons mangé, nous plantons et ils mangeront.
          Un autre exemple d' "obstination dans la générosité" (comme il a dit lui Scootie).
          "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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          • #20
            Hello Benam - C'est aussi un peu pour cela qu'à chaque fois que le monde connaît une tragédie majeure, il m'arrive de penser que, si ce n'est pas un signal divin, c'est peut-être un juste retour pour les excès en tous genre de l'Homo Sapiens, une mise en garde qu'il ne faut pas négliger.

            Ceci dit, comment écouter, bien réagir lorsqu'on est happés par les impératifs de ce qui est pompeusement appelé la vie moderne ? C'est excessivement difficile de se soustraire à l'effet boule de neige qui s'y cache; à moins d'être prêt à se marginaliser de cette société et avoir la patience d'attendre que les événements te donnent raison.

            A ce propos, j'ai récemment lu un livre très intéressant de quelqu'un ( en plus il est des nôoootres, mais il n'est pas comme les ôootres ) qui a sauté le pas il y a bien longtemps et qui ne s'en porte pas plus mal aujourd'hui: le titre c'est "Vers la sobriété heureuse" de Pierre RABHI.
            Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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            • #21
              Bonjour,

              Plaisir de lire vos échanges.




              Benam,

              Merci pour la vidéo,
              Il y a un magnifique dessin animé d'un homme qui a passé une grande partie de sa vie à planter des arbres:


              L'Homme qui plantait des arbres est une nouvelle écrite en 1953 par l'écrivain français Jean Giono pour « faire aimer à planter des arbres », selon ses termes. Dans ce court récit, le narrateur évoque l'histoire du berger Elzéard Bouffier, qui fait revivre sa région, en Haute Provence, entre 1913 et 1947, en plantant des arbres. Bien qu'il s'agisse d'une fiction, la nouvelle parvient à inciter le lecteur à croire à l'existence réelle du berger et de sa forêt.

              Écrite à la suite d'un concours du magazine américain Reader's Digest, la nouvelle a eu un retentissement mondial. Elle est aujourd'hui considérée comme un manifeste à part entière de la cause écologiste. En effet, le berger ne parvient pas seulement à créer une forêt : celle-ci a des conséquences sociales et économiques, qui permettent aux villages des alentours d'accueillir de nouvelles familles alors qu'ils étaient menacés de désertification. Avant même l'invention de la notion de développement durable, la nouvelle en donne ainsi une illustration poétique.

              La nouvelle véhicule de nombreux messages : écologiques, humanistes, politiques. L'histoire d'Elzéard Bouffier est en effet considérée dans la littérature écologiste comme une parabole de l'action positive de l'homme sur son milieu et de l'harmonie qui peut s'ensuivre. La nouvelle est également une ode au travail, à l'opiniâtreté, à la patience, à l'humilité, et à la ruralité.

              Le récit de Giono a donné lieu à un film d'animation canadien du même titre en 1987, réalisé par l'illustrateur Frédéric Back et lu par Philippe Noiret, et qui a obtenu plus de quarante prix à travers le monde.

              L'Homme qui plantait des arbres est aujourd'hui reconnue comme une œuvre majeure de la littérature d'enfance et de jeunesse et elle est, à ce titre, étudiée en classe.





              Wikipedia.

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