La ministre déléguée au ministère de l’Intérieur, chargée de la citoyenneté, a suggéré qu’à terme les imams de France pourraient célébrer des mariages homosexuels et donc reconnaître l’union entre personnes du même sexe
C'est ensuite un parfait exemple des problèmes que peut susciter l'application de normes propres à un univers X dans le traitement de choses émanant d'un univers Y : un imām n'est pas un "prêtre" inspiré du Saint-Esprit et le mariage en Islam n'est pas un "sacrement" mais un contrat social. Ce contrat est soumis à un certain nombre de règles scriptuaires connues, préétablies et immuables, qui font que tout "mariage" qui ne leur est pas conforme est tout bonnement nul et non avenu par définition, qu'il soit célébré par un imām ou pas, sachant que la présence de ce dérnier ne fait même pas partie desdites conditions requises pour qu'un mariage musulman soit valide et reconnu.
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