INFO RTL - Des images à caractère pornographique et pédopornographique ont été retrouvées dans l'un des téléphones de Jamel G, qui a assassiné vendredi la fonctionnaire du commissariat de Rambouillet Stéphanie Monfermé.
Les enquêteurs ont retrouvé des images pornographiques et pédopornographiques dans l'un des téléphones de Jamel G., le Tunisien radicalisé qui a assassiné vendredi 23 avril la fonctionnaire du commissariat de Rambouillet Stéphanie Monfermé, selon des informations de RTL confirmées de source judiciaire. Ces images pornographiques mettent en scène des "personnes transsexuelles" et des "enfants mineurs" selon la même source judiciaire, qui n'est pas en mesure de préciser leur nombre.
Jamel G., 36 ans, a été décrit dimanche 25 avril par le procureur national antiterroriste, Jean-François Ricard, comme un individu à la fois radicalisé et en proie à des troubles de la personnalité. Ces nouveaux éléments viennent "conforter le profil d'un individu perturbé qui prend la voie le terrorisme pour résoudre ses tourments personnels", selon une source proche de l'enquête.
À ce stade aucun élément préparatoire de son passage à l'acte n'a pu être retrouvé, selon la même source. Ce mardi 26 avril au soir, la garde à vue du père de l'assaillant a été levée, sans aucune charge. Deux personnes sont toujours interrogées par les policiers anti-terroristes.
Emmanuel Macron a annoncé qu'il se rendrait aux obsèques privées de Stéphanie Monfermé, la mère de famille de deux enfants poignardée à mort. Un hommage national présidé par le Premier ministre Jean Castex se tiendra vendredi 30 avril à Rambouillet.
Les enquêteurs ont retrouvé des images pornographiques et pédopornographiques dans l'un des téléphones de Jamel G., le Tunisien radicalisé qui a assassiné vendredi 23 avril la fonctionnaire du commissariat de Rambouillet Stéphanie Monfermé, selon des informations de RTL confirmées de source judiciaire. Ces images pornographiques mettent en scène des "personnes transsexuelles" et des "enfants mineurs" selon la même source judiciaire, qui n'est pas en mesure de préciser leur nombre.
Jamel G., 36 ans, a été décrit dimanche 25 avril par le procureur national antiterroriste, Jean-François Ricard, comme un individu à la fois radicalisé et en proie à des troubles de la personnalité. Ces nouveaux éléments viennent "conforter le profil d'un individu perturbé qui prend la voie le terrorisme pour résoudre ses tourments personnels", selon une source proche de l'enquête.
À ce stade aucun élément préparatoire de son passage à l'acte n'a pu être retrouvé, selon la même source. Ce mardi 26 avril au soir, la garde à vue du père de l'assaillant a été levée, sans aucune charge. Deux personnes sont toujours interrogées par les policiers anti-terroristes.
Emmanuel Macron a annoncé qu'il se rendrait aux obsèques privées de Stéphanie Monfermé, la mère de famille de deux enfants poignardée à mort. Un hommage national présidé par le Premier ministre Jean Castex se tiendra vendredi 30 avril à Rambouillet.
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